« Loin de moi le bruit mat des caresses de l’eau
Sur le plat de mes rames, fini ce doux frottement
Ce son qui accompagne les rameurs jouvenceaux
Et les quitte dès qu’ils sont devenus plus brillants. »
Quelle drôle d’idée d’avoir eu envie de parler ainsi de l’aviron ! C’est la faute des rameurs et des lieux merveilleux qu’ils fréquentent. S’ils ne m’avaient pas inspiré, je n’en serais pas là et vous non plus.
Alors, laissez-...
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