Un boss d'enfer

Je remercie les éditions BMR pour leur confiance et leur envoi. 3ème romance de Noël et je dois dire que je ne suis pas déçue. La couverture est très représentative du héros masculin qui, de prime abord peut paraître froid et distant et le résumé promettait une histoire teintée d'humour.

En parlant d'humour, Victoria en détient beaucoup, beaucoup trop… J'ai pas arrête de rire en lisant ses réparties, sa maladresse et des fois je me disais « Non, elle a pas osé dire ça !!! » et bien si, elle ose et qu'est ce que c'est bon. Victoria porte à elle seule le roman et heureusement car l'histoire n'a qu'un seul point de vue, le sien. Pétillante, maladroite, mais avec un grand coeur, elle est prête à tout, (sauf à fermer sa bouche) pour les gens qu'elle aime. le coeur sur la main, elle fait souvent (toujours) passer les autres avant elle. C'est d'ailleurs pour sauver un refuge qu'elle accepte la proposition de son Boss de l'accompagner pour les fêtes dans sa famille. Ici pas question de se faire passer pour sa petite amie, elle sera son assistante et c'est tout. Pourtant, le cyclope, comme il est surnommé, ne fait pas frissonner la jeune femme ou en tout cas pas de peur. J'ai adoré la façon dont à son contact elle évolue. Prenant de plus en plus d'assurance, elle va venir bousculer les rigidités de la maison d'Enfer et mettre au jour les dérives du maître des lieux.
De son côté, le cyclope apparait comme quelqu'un de froid, distant, qui mène son monde à la baguette. Pourtant, on comprend rapidement que c'est une carapace qu'il s'est créé pour se protéger, mais surtout pour protéger les autres. Comment pourrait-il en être autrement quand on découvre l'enfance qu'il a vécue ? La présence de Victoria et son franc parlé va réchauffer son coeur de glace et lui prouver que lui aussi a le droit de penser à lui. Comme nous n'avons pas son point de vue, il est difficile de savoir ce qu'il pense, mais les descriptions de l'auteure nous permettent néanmoins d'en avoir une bonne idée. Attirée par Victoria, il essaie tout de même de la maintenir à distance. Persuadé qu'il n'attire pas les femmes à cause de son oeil en moins et que celles qui lui tournent autour ne sont attirés que par son argent, il a dû mal à faire le premier pas. J'ai d'ailleurs beaucoup aimé l'opération mise en place par l'héroïne pour le faire craquer. Au fil des pages, il va lui aussi se révéler et envolé la timidité, Alexandre fait monter la tension et flamber les sous-vêtements. Loin d'être faible, il va tout remettre en cause pour se révéler dans toute sa beauté intérieure. Doté d'un humour tout aussi mordant que Victoria, chacune de ses piques m'a fait mourir de rire et les échanges entre les deux sont épiques.
La relation entre les deux est professionnelle et même si c'est sous la contrainte que Victoria accepte sa nouvelle mission. Les échanges entre eux sont épiques et peu à peu les sentiments et l'attirance s'installent. C'est un Slow burn qui prend son temps. Les personnages apprennent à se connaître et se tournent autour pour notre plus grand bonheur. Noël au manoir d'Enfer n'est ni joyeux ni familial et pourtant il va permettre à nos deux héros de se rapprocher. Malheureusement, le rapprochement entre Alexandre d'Enfer et sa vulgaire assistante sans une once de sang noble dans les veines ne va pas être du goût de tout le monde et les ennuis vont commencer. Cette romance est tout sauf simple, pleine de rebondissements et hautement addictive.
Les personnages secondaires habillent magnifiquement ce roman. Les membres de la famille d'Enfer sont pour certains détestables, voir hautement détestables et d'autres révèlent leur fragilité et leur mal-être. Cette famille totalement dysfonctionnelle nous entraîne dans son histoire et ses secrets. Perdue dans cette étrange famille, Victoria peut néanmoins compter sur son meilleur ami qui s'avérera d'un soutien inestimable et lui permettra de prendre la plus grande décision de sa vie. Si les personnages secondaires sont nombreux, je regrette que l'intrigue autour du frère disparu ne soit pas plus développée et que surtout l'intrigue avec Papa d'Enfer soit aussi vite expédiée. J'aurais aimé plus de détails qu'on soit présent lors des scènes qui vont aboutir au résultat final et du coup je reste un peu sur ma faim.

Ce roman est pour moi l'occasion de découvrir la plume d'Ophidia Baker et je dois dire que ce fut un coup de coeur. Son humour, ses descriptions et la tension qu'elle fait naître entre les personnages m'ont totalement subjuguée. J'ai aimé que cette histoire bouscule un petit peu les codes de la romance de Noël avec la noirceur de la famille d'Enfer, tout en mettant l'accent sur le partage et l'amour. Je retiendrai surtout les nombreux fou-rire qui ont accompagné ma lecture et salue une fois de plus la maîtrise d'Ophidia qui est capable de nous faire mourir de rire puis de nous émouvoir d'une scène à l'autre. Pour une romance de Noël originale dans un joli petit village dirigé par une famille de psychopathe, c'est chez Ophidia Baker que ça se passe.

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Coup de ❤ pour cette romance de Noël.
J'ai découvert avec la plume de l'autrice que j'ai trouvé pétillante et addictive. J'ai passé un excellent moment de lecture en compagnie de Victoria et Alexandre.

Victoria est une jeune femme franche, entière, drôle et sans filtre. Certaines de ses répliques étaient absolument hilarantes, sans parler de ses monologues intérieurs.
Alexandre est un personnage complexe tantôt taciturne tantôt taquin. Il se cache derrière une attitude fermée pour ne pas souffrir davantage. Son histoire est si triste. L'arrivée de Victoria dans sa vie lui apporte une vraie bouffée d'oxygène. Cette dernière le voit tel qu'il est : protecteur, tendre et romantique. Elle ne le voit pas comme un homme défiguré et borgne. Auprès de lui, elle se sent vivante et entière.

Leur relation est emplie de taquineries, de complicité, de tendresse et de passion. Des obstacles se dressent entre eux mais leur amour est une évidence. J'ai aimé voir Victoria succomber à un coup de foudre, elle qui n'y croit pas.

Fan absolument des épilogues, j'ai été ravie par les 2 bonus supplémentaires.

D'ordinaire, je ne suis pas attirée par les romances patron-employée car je ne suis pas une grande fan de ce trope. Pourtant, celle-ci a capté mon regard. Probablement grâce à sa couverture déjà, qui dans une ambiance hivernale met en avant un homme qui me faisait penser à l'acteur Alexander Ludwig qui incarnait Bjorn dans la série Vikings. Non pas que je sois une grande fan de l'un ou de l'autre mais cela m'a incité à en savoir plus sur ce titre, en plus de ce héro borgne en couverture d'une histoire romantique. le résumé a fini par me convaincre car il m'a laissée espérer des dialogues savoureux. Et puis, j'ai bien aimé le nom du héro. Alexander d'Enfer pour un boss, y a moyen de bien s'amuser avec ce patronyme surtout quand celle qui lui fait face n'a aucun filtre et dit tout ce qu'elle pense.

Et je ne me suis pas trompée! Cette romance a répondu à toutes mes attentes, si ce n'est plus car elle s'est éloignée des codes de ce type de trope. Exit le patron arrogant et sûr de lui, qui souffle le chaud ou le froid, qui s'amuse avec l'attirance ressentie par son employée et qui la fait tourner en bourrique. Alexandre m'a beaucoup plu, tant pour sa gentillesse, sa prévenance, ses failles et son passé que je n'avais pas deviné au début. Quant à Victoria, elle m'a beaucoup fait rire! On peut dire qu'elle ne manque pas de courage et n'a pas honte de son franc parler même s'il la met parfois dans des situations embarrassantes. Si la familiarité s'installe très (trop?) rapidement entre nos deux héros, je n'ai douté à aucun moment de leur alchimie. C'est un très beau couple que j'ai pris plaisir à voir naître.

A l'humour se mêle une ambiance compliquée, tendue, la famille d'Alexandre n'étant pas particulièrement aimante et agréable. Les révélations la concernant sont bien dosées, la famille d'Enfer ayant pas mal de « cadavres dans le placard ». C'est peut-être d'ailleurs le seul reproche que je ferais à ce roman. A cause de ce cumul de drames, l'histoire manque pour moi de profondeur, de crédibilité parfois, et tous m'ont paru trop peu développés. C'est dommage car l'autrice aborde des sujets graves et j'aurais aimé qu'on s'arrête un peu plus longuement sur certains d'entre eux et sur leurs conséquences.

Ceci dit, ce petit bémol n'entache en rien mon ressenti global sur ce livre et je ne peux que t'encourager à le lire. Avec son atmosphère froide et sa petite touche de Noël, cette lecture correspond bien à la saison actuelle!
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Dès les premières pages, je suis tombée sous le charme de Victoria. J'ai beaucoup aimé son franc-parler, son courage, son altruisme. Les échanges entre elle et Alexandre ajoutent une dose de légèreté à l'histoire ainsi que du dynamisme.

Je n'ai pas trouvé que la romance était rapide, malgré le fait qu'ils tombent amoureux l'un de l'autre en quelques jours, car une connexion sans filtre s'est établi entre eux dès le début. Ils ont affronté beaucoup de choses dont la famille d'Alexandre. Les intrigues m'ont tenu en haleine.
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Victoria dit Vic est d'une franchise à toute épreuve, c'est d'un rafraîchissant, j'ai adoré ce point de caractère. Elle est généreuse, courageuse, se préoccupe plus des autres que d'elle-même, une catastrophe ambulante et elle est bénévole depuis plus de vingt-ans dans un refuge pour chevaux.

Alexandre son patron très taciturne, secret, un mystère pendant une bonne partie de l'histoire. Leur rencontre est épique, car elle est en train de parler de lui de façon peu flatteuse à son meilleur ami et il l'aborde comme ça (voir citation de mon montage).

Il doit se rendre dans sa famille ce qui n'était pas du tout au programme pour lui donc il lui demande de l'accompagner pour Noël, car il a besoin de son assistante pour continuer à travail. Sa famille est comment dire très spéciale et il porte bien leur nom en tout cas vu que c'est D'enfer et c'est le cas, elle est arrivée dans la maison de l'enfer.

Romance qui parle de différence vu qu'Alexandre est borgne est ne le cache pas, leur rapprochement se fait tout doucement, on a pas mal de révélations tout du long et certaines, je m'y attendais pas du tout. Et on n'oublie pas l'humour présent tout du long de l'histoire. Une jolie lecture ou on ne peux que passer un bon moment.

Même si ce livre avait tout pour plaire, il y a quelques « détails » qui m'ont un peu « turlupinée ». Cela dit, son originalité vient surtout du physique atypique du héros, qui est borgne (et ne cache pas son "oeil blanc")…..En même temps, je suis comme l'héroïne, Victoria : Ce genre de « défaut » physique ne me rebute pas (contrairement à certains personnages dans le livre qui n'hésitent pas à exprimer leur dégoût vis-à-vis de lui….Sympa…).
Je vais d'abord faire la liste des éléments que j'ai apprécié dans ce livre : Déjà, l'héroïne, qui n'a pas la langue dans sa poche et qui fait parfois des gaffes (notamment au début du récit), j'aime aussi son humanité, son courage, son empathie et son humour. En plus, elle est bénévole dans un refuge pour chevaux, que demander de plus pour montrer qu'elle a vraiment bon coeur !

Le héros, Alexandre d'Enfer, est sexy (oui, même s'il est borgne !)…Il parait d'abord « antipathique et asocial » puisque même ses employés le craignent et le surnomment « le cyclope »…..Hors, une fois que Victoria est obligée de l'accompagner dans une petite station montagnarde où sa famille possède un manoir (et une partie du village), notre héros nous montre un tout autre aspect de sa personnalité, qui est fort séduisant (d'ailleurs, l'héroïne tombera peu à peu sous son charme…C'est le but, vous allez me dire, dans une romance)….

Donc, au niveau de la romance entre nos deux héros, je n'ai rien à redire, j'ai beaucoup apprécié leur alchimie et leurs petits piques du départ (un peu un « enemies to lovers » comme je les aime) mais maintenant je vais aborder les détails que j'ai moins aimé, certains parfois totalement WTF et si j'étais l'auteure, Ophidia Baker, je retravaillerais ces éléments pour les rendre un peu plus crédibles….Car là, on a parfois l'impression d'être dans une mauvaise comédie romantique de feuilleton américain, où tout part à vau-l'eau.

Déjà, il y a la famille très dysfonctionnelle d'Alexandre….Ils sont très très riches….Et ils sont surtout très caricaturaux dans leur manière de traiter les autres et de gérer leurs propres problèmes !!!!

En conclusion, l'auteure Ophidia Baker a voulu nous faire partager une jolie romance de noël avec deux personnages qui n'avaient rien en commun, pour cela, je suis contente d'avoir lu ce livre, mais les mystères et les complots concernant la famille d'Enfer m'ont semblé trop tirés par les cheveux pour que je les apprécie !

A un moment, il faut savoir doser « les obstacles » que doivent rencontrer les héros de romance pour enfin devenir un couple…..

En parlant de dosage, une dernière remarque : Au départ, j'avoue, j'ai bien ri à certaines métaphores que disait l'héroïne pour décrire les situations dans lesquelles elle se trouvait ou nous décrire, à nous lecteurs, ses sentiments….Mais au bout d'un moment, utiliser constamment des images, des comparaisons pour décrire un sentiment, ou une action, cela devient lourdingue ! Il faut savoir doser !!! Je persiste et signe !!!!! Tout est une question de dosage et dans ce livre, il y a beaucoup trop de "too much" !

Alors, est-ce que je vous recommande ce livre ? Non, pas forcément, surtout si vous aimez les histoires « claires » avec des personnages cohérents et crédibles….Par contre, si vous aimez les comédies romantiques WTF avec des situations parfois totalement burlesques, oui, là, vous pouvez tenter cette lecture ! (en plus, les joutes verbales entre nos deux héros, au début du livre sont assez succulentes !)…..Après tout, il faut quand même que je sois honnête avec vous : malgré ses défauts, je suis allée jusqu'au bout du livre, ce qui n'est pas le cas de certains autres livres que j'ai commencé cet automne mais malheureusement abandonné car certains éléments ne me plaisaient pas, mais alors vraiment pas !….

Ma note : 15,5/20

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~ Voilà la saison des romances de Noël est officiellement lancée. Je suis ravie de le faire avec cette romance, je découvre une plume séduisante, pleine d'humour, de spontanéité et de franchise. J'ai vraiment apprécié ma lecture.

~ Victoria est une jeune femme, qui n'a pas la langue dans sa poche et sa franchise lui a souvent fait défaut. Elle commence un nouveau travail dans une nouvelle agence, travail dont elle a énormément besoin. Mais dès le premier jour elle va se faire remarquer, elle se fait surprendre par son nouveau boss à parler de lui en toute franchise à son ami. Elle qui pensait être viré, va se retrouver embarquer pour les fêtes de fin d'année, dans la famille de son nouveau boss. Et quelle famille me direz-vous, les D'Enfer sont une famille d'atypique et pas forcément des plus sympathique, au contraire. Une semaine, où elle va découvrir une autre facette de son patron, mais aussi des aspects plus personnel, qui vont la faire tombé sous son charme. Mais comment pourrait-elle tomber amoureuse aussi rapidement ?

~ Alexandre vient d'une famille de la haute société, mais si l'on en croit les autres il ne fait pas partie de l'élite à cause de son physique.
Effectivement il a une particularité, il est borgne et de ce fait il ne se sent plus à la hauteur pour l'amour. Trop de déceptions, de femmes vénales sont venus à bout de ses espoirs, mais la pétillante Victoria risque bien de remettre en cause cet état de fait. Mais au milieu d'une famille aussi mesquine, et mal-en-point, pourrait-il espérer passer des fêtes de fin d'année dans la joie et la bonne humeur ? Il va vite tombé sous le charme de son assistante qui va se révéler être une personne qui donne sans compter et qui aidera du mieux qu'elle peut Alexandre.

~ Une romance de Noël fort sympathique, pétillante, avec deux personnages aux caractères forts. Une romance qui bouscule un peu les codes de la beauté, un personnage masculin très attachant. Il faut voir au-delà des apparences, car on peut y déceler de vrais trésors. J'ai beaucoup apprécié les joutes verbales entre les différents protagonistes, je me suis vraiment régalé. Un seul petit bémol, une fin et un dénouement un peu trop rapide, avec une question en suspens.

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Un Boss d'Enfer – Ophidia Baker

Une romance MAGNIFIQUE... Tendre, drôle, captivante. MAIS avant de vous raconter un peu l'histoire comme je vous le fais d'habitude… Cette fois-ci, je vous fais un petit passage de mon ressenti. J'en ai cruellement besoin!

« Ci-gît Victoria Pottier, victime collatérale d'un Noël D'Enfer. »

BON! Au début, je me croyais dans une romance d'Halloween. Tant mieux, j'ai lu ce livre quelques jours avant cette fête… MAIS NONNNN, j'étais loin du compte! le personnage nous parlait de sirène, de maquillage (je ne vous en dis pas plus)… pour finalement comprendre qu'il s'agissait d'une romance de Noël. Ne pas lire la quatrième de couverture peut parfois me nuire et me jouer des tours! hihi!
Ensuite, notre personnage féminin est… folle, et je l'adore! Avec sa répartie maladive et non contrôlée, sa douceur excessive et son empathie attendrissante, son humour bizarre et son côté sadique obscure, un rien trop franche et avec une malchance impossible, nous avons ici un personnage HAUT en couleurs, avec un drôle de mélange de toutes sortes d'émotions… qui m'a drôlement surprise. Laissez-vous charmer par son histoire!

Victoria Pottier est la nouvelle assistante du cruellement appelé « le Cyclope », ou comme certains se plaisent à l'appeler « gosse de riches », Alexandre D'Enfer. Un homme au charme fou, au « cul d'enfer » (peut-être pour cela qu'il porte ce nom, se demande-t-elle souvent?!) et qui est désormais son boss. Et toutes les circonstances sont contre elle, puisque le Cyclope entend une conversation « peu élogieuse » sur lui-même et insiste donc lourdement pour qu'elle l'accompagne pendant les vacances des fêtes…

« -Il faut croire que j'ai dû laisser ma voiture avec chauffeur d'insupportable gosse de riches avec votre cerveau.
Un partout, balle au centre. »

Rapidement, les évènements se corsent. Victoria croyait pouvoir profiter de ces quelques jours pour travailler avec son nouveau boss, gagner de l'argent pour son pensionnat pour chevaux ET relaxer par la même occasion. « Après tout, troquer une semaine dans la grisaille de la ville et de l'open space pour un séjour à la montagne dans un hôtel quatre étoiles serait plutôt une bonne opération. » Cependant, elle ne s'attendait pas à ce que la famille du Cyclope soit aussi… sinistre. Froide. Certes, Victoria est prête à tout pour ne pas se laisser marcher sur les pieds et leur montrer de quel bois elle est faite.

« Je préfère déplaire aux autres et être franche plutôt qu'être faux-cul comme tout le monde l'est aujourd'hui. »

Doucement, tendrement, le Cyclope deviendra Alexandre, puis Alex, aux yeux de Victoria. Il est différent de la famille D'Enfer, plus attentionné. Il prend soin des autres, mais cache également beaucoup d'informations, de secrets. Malgré tout, elle se sent de plus en plus attirée par cet homme énigmatique… mais c'est sans compter qu'elle se retrouve coincée pour les fêtes avec le vieux Fossile (le père d'Alex) et Mister Pervers Univers (le frère d'Alex). Survivra-t-elle à cette offre d'emploi ou, tout simplement, à son boss tout droit sorti de l'Enfer (c'est vite dit)?

« À cet instant, deux hypothèses s'offrent à moi : ou bien il est aussi poissard que moi et nous risquons fort de ne pas revenir indemnes de cette semaine bucolique; ou bien je lui ai transmis ma poisse légendaire, et… eh bien, même conclusion. »

La couverture est très représentative de notre personnage masculin, j'ai adoré. Brute, charmante, attirante, tout comme son histoire. Cette romance est d'une telle douceur, d'une telle tendresse. Et les personnages : j'ai adoré! Ok, ce n'est pas totalement vrai, j'ai adoré celui de Victoria! J'ai aimé celui d'Alex (mais un peu moins son côté soumis). Néanmoins, l'auteure a une plume addictive. Avec une touche d'humour (intense), de passion (Joey? Haha) et de compassion. Wow! En ce temps des fêtes qui approche, quoi de mieux pour réchauffer notre coeur qu'une romance aussi entraînante et chaudement emballante. Vous ne pouvez qu'être emporté par la plume d'Ophidia Baker.

« …J'ai décidé de lancer l'opération ACPC. Autrement dit : « Aujourd'hui, le Cyclope passe à la casserole. » Oui. J'ai conscience que dit comme ça, ça fait un peu folle furieuse nymphomane addict du zizi sexuel. Mais bon, le gars, c'est comme s'il avait mis le feu à ta maison, qu'il est aussi pompier et qu'il t'annonce : « Ne vous inquiétez pas, madame, je repasse l'an prochain pour les calendriers, on en reparlera à ce moment-là. » Et tout ça après six mois… Six putains de mois d'abstinence. »

Hilarante. Touchante. ATTACHANTE. Une romance FABULEUSE, envoûtante et extraordinairement unique. Une histoire qui vous mettra totalement dans l'ambiance de Noël, même si nous sommes à l'Halloween! Hihi! Bonne lecture! 12/10

« Nan, mais allô les gens : depuis quand entraîner son mec vers un couloir non éclairé n'est pas l'indication d'un « Ne pas déranger » en lettres capitales rouges clignotantes? »

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Résumé :
Victoria est la maladresse incarnée. Premier jour de travail en tant qu'assistante de direction de l'agence Phénix Web, et elle se fait surprendre à parler (de manière peu élogieuse) de son patron. Mais loin de s'en formaliser, Alexandre D'Enfer, alias le Cyclope, apprécie son franc parler ! Si son patron porte à merveille ce surnom, c'est parce que, derrière cette impressionnante barbe rousse et ses cheveux désordonnés, se cache un oeil aveugle.
Il décide de l'embarquer avec lui, contre la promesse d'un généreux chèque, dans sa somptueuse maison d'enfance car des soucis familiaux requièrent sa présence. Victoria pense que son patron est un insupportable gosse de riche, mais elle accepte, sans réaliser dans quoi elle met les pieds. Entre un père détestable, un frère impoli et une soeur déprimée, Victoria n'est pas certaine de réchapper de ce manoir de l'enfer indemne. Si ce n'est pour Alexandre, dont le charme, contre toute attente, ne la laisse pas indifférente…

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Victoria vient de commencer à travailler dans l'entreprise Phenix Web en tant qu'assistance de direction, et elle se fait surprendre à critiquer un peu son patron. Son patron, Alexandre d'Enfer est borgne, mais aussi très séduisant. Au lieu de la virer, Alexandre lui demande de partir avec lui pendant les vacances de Noel dans la maison familiale (en échange quand même d'un CDI et d'un généreux chèque).
Ses parents n'étant pas là pour les fêtes, elle décide d'accepter le job et elle n'est pas au bout de ses peines et de ses surprises…
Je n'en dis pas plus et je vous laisse découvrir cette romance de Noel.
J'ai bien aimé l'histoire, originale, les personnages touchants (surtout Alexandre et Victoria) mais aussi la soeur d'Alexandre qui n'a pas une vie facile malgré les apparences. J'ai eu beaucoup d'empathie pour les victimes du père et du frère d'Alexandre, qui sont l'un comme l'autre des affreux personnages.
L'histoire nous montre qu'une fois encore, les apparences sont souvent trompeuses.
Le livre sort mercredi et il est déjà en pré commande.

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J'ai adoré lire et investir l'histoire de Victoria. Son franc parler, son humour, son dévouement, sa sensibilité qu'elle tente de cacher derrière son côté terre-à-terre.La lecture est plaisante et les métaphores utilisées offrent des sourires au passage.