Splendeurs et misères est un livre agréable, dont la forme est plaisante, je dois l'admettre. Mais la forme empiète sur le fond, voilà le hic. Dans
le Père Goriot, dans
Illusions Perdues, dans
le Colonel Chabert, la forme n'empiétait pas sur le fond : c'était elle qui conférait au fond toute sa puissance. Tel est le défaut de Splendeurs et misères ! Voilà pourquoi l'oeuvre ambitieuse ne réussit pas ! Cette oeuvre reste une oeuvre agréable, plaisante, bien entendu ; mais elle n'est que ça. Là réside le problème de
Splendeurs et misères des courtisanes.
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