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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Entreprise délicate que de nous parler des mondes cannibales du cinéma italien sans trop choquer les âmes sensibles.
Il a beau savoir qu'il s'agit de cinéma de seconde zone, le lecteur, comme le spectateur j'imagine, se prend au jeu et accepte, parfois avec réticence, ces situations scabreuses, décrites avec beaucoup d'habileté par Daniel Bastié.
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Attention, âmes sensibles s'abstenir ! Pour tou.te.s les autres, n'hésitez pas à venir découvrir le genre cinématographique du cannibale movie avec un nouveau livre présent dans notre bibliothèque partagée « Les mondes cannibales du cinéma italien…d'Umberto Lenzi à Ruggero Deodato » de Daniel Bastié. Vous pourrez ainsi découvrir un des chefs-d'oeuvre absolus du cannibale movie et du cinéma d'horreur, dont le film "maudit" de Ruggero : Deodato, Cannibal Holocaust
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J'adore les nanars et les films de cannibales sont un parfait exemple de ce sous-genre du cinéma. Gore, trashs, malsains, érotiques ! Enfin un livre qui revient sur ces longs métrages à ne pas mettre entre toutes les mains. Si je peux vous conseiller deux titres : le dernier monde cannibale et le fameux Cannibal holocaust. le reste est en-dessous de ceux-là. Dans un certains sens, Deodato était un génie. du moins un sacré faiseur. Quant au livre de Daniel Bastié, il est extrêmement complet et permet de se rendre compte de ce qu'on va visionner en allant acheter les DVD ou les BluRay du mondo Cannibale. Pesronellement, j'ai appris par mal de choses.
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Que leurs réalisateurs soient sincères ou qu'ils fassent n'importe quoi, les films de cannibales prouvent qu'ils savent user d'un cynisme sans vergogne, en ravalant toute fierté pour mettre en scène des films de brutes où le sang et le sexe se conjuguent pour offrir un feu d'artifice peu ragoûtant. Autant de portes forcées pour dessiner la cartographie d'un genre qu'on juge avec suspicion. Peut-on ignorer cette production ? Oui et non ! Oui, dans la manière où chacun est libre de visionner ce qui l'enchante. Non, parce qu'ils ont marqué les esprits et défrayé la chronique. Territoire violent où peu ont osé s'aventurer, le public en ressort généralement traumatisé en bravant des interdits : viol, anthropophagie, tortures. Comme ces films sont plutôt bien réalisés, la violence est ici exacerbée jusqu'au dégoût. Si vous aimez les nanars cinématographiques, le livre de Daniel Bastié a été écrit pour vous, plutôt bien fait et sans prétendre à quoi que ce soit, si ce n'est de baliser le genre et de passer en revue ce que les Italiens ont fait de mieux (ou de pire !) durant une dizaine d'années où ce type de récits a été financé.
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J'adore les films d'horreur. Comme tout le monde, j'ai découvert les films de cannibales en VHS. Mon frère allait louer chaque semaine des séries bis (Jess Franco, Jean Rollin, etc.) et il est tombé sur Cannibal Holocaust. le choc Après un électrochoc, j'ai été séduit par le ton neuf de ce film. Cash, gore, complètement frappé … avec une critique amère de notre société de consommation. Ruggero Deodato a réussi un film qui dénonce la violence en l'exacerbant. Comment faire un livre sur ce genre de production ? Daniel Bastié a réussi la gageure en présentant chaque film comme une nouvelle plus ou moins longue. Depuis, ils ont été réédité en DVD (pas trop chers) et à un moment vendus en librairie pour une dizaine d'euros. Je suis fan de gore.
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Rares sont les livres traitant du sous-genre peu défendu (peu défendable diront certains détracteurs) du film de cannibale, dans lequel se sont investis Umberto Lenzi, Ruggero Deodato, pratiquement même Bruno Mattei mais également des réalisateurs plus "réputés et renommés" tels que Eli Roth (Green Inferno) et S. Craig Zahler (Bone Tomahawk), voire même plus récemment avec le français "Grave" de Julia Ducournau.
Rien que pour ça , le livre mérite le coup d'être acheté. Les critiques positives que vous trouverez sur Youtube (https://www.youtube.com/watch?v=ZxyMGo2iPx4&t=17s) et ici-même sont fondées et si le sujet vous intéresse, n'hésitez pas, surtout que le prix reste relativement correct.
L'auteur porte un regard sur tout un pan de la culture Bis italienne, du bon et du moins bon, mais toujours avec de la passion et jamais du mépris pour cette culture, qui a accueilli parfois deux extrêmes: le grand Cannibal Holocaust et le nanar pur jus. Hautement recommandable.
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