La saison des ventes s'annonce bien ; pondant les premières vacations qui l'ont inaugurée et en dépit de toutes les circonstances qui semblent si peu favorables à un grand mouvement d'affaires, les prix de vente se sont bien maintenus. Si on les compare à ceux des années qui ont précédé les événements de 1870, on ne verra pas sans quelque étonnement qu'ils ont dépassé souvent ceux des belles époques des ventes de l'hôtel Drouot.