Fake fake fake

"Fake, fake, fake" est un livre très prenant et très captivant, avec des personnages attachants (si on retire Henk et Constance, deux personnages que j'ai très envie de gifler avec Percy de "La Ligne Verte"), et surtout un titre très vendeur mais selon moi l'histoire promise au dos n'est qu'à moitié tenue...
En effet l'histoire de Jason et de toute cette machinerie ne sert que d'élément de résolution à l'histoire et permet quelques scènes comiques uniquement. Pour moi ce livre devrait s'appeler "L'aide à Tannenbaum" étant donné que ce sera l'objectif principal (je ne rentrerai pas dans le détail sinon, je vous raconte le déroulement de l'histoire et ce n'est pas ce que je veux).
Certains personnages, comme Pisseux, Raton ou la mère d'Edvard sont des ressorts comiques qui se démarquent bien. Pisseux et Raton, les deux frères vulgaires, fumeurs, stupides et absolument perchés sont des personnages qu'on adore ou qu'on déteste et la mère soucieuse, fan de Rage Against The Machine (l'une des grandes raison pour laquelle j'aime ce personnage), pensant à un moment que son fils est gay, directrice d'une galerie d'art, ayant squatté des maisons dans sa jeunesse et qui dessine le signe de l'anarchie en rouge sur des draps blancs pour se manifester, quand on compare son côté sérieux, son côté protectrice et son côté "gamine" de certains passages on obtient un personnage qui fera rire beaucoup de gens selon moi.
Un gros point négatif du livre ? La fin... Elle est beaucoup trop prévisible à mon goût. Mais sinon c'est un livre que je conseille beaucoup aux 5e, 4e, 3e car ils sont vraiment le public cible du roman et les plus aptes à se mettre dans la peau d'un jeune homme mal dans sa peau et un peu immature.
En bref, lisez-le !
Timéo 3ème

un ado mal dans sa peau créé un profil pour être en contact avec la fille de ses rêves qui ne le percute pas le moins du monde. Ce faux compte avec le profil d'un idéal fantasmé devient tellement populaire qu'il en devient encombrant, aussi le narrateur "tue" sa création. Mais du coup, le jeune fille amoureuse du jeune virtuel créée un page "souvenir" qui devient outrageusement populaire. En parallèle, le héros lui se retrouve à lutter pour le voisin qu'il ne pouvait pas sentir au début du roman. Deux histoires qui se développent indépendamment avant de se rejoindre et qui posent la compexité des relations humaines et la difficulté de lutter contre les apparences et les représentations mentales.

Une première de couverture au graphisme alléchant, une quatrième de couv qui me semblait coller à ce que je recherche : Un ado mal dans sa peau crée un faux profil facebook pour séduire une fille de sa classe : blonde, sexy, populaire... autant dire inaccessible. Edvard invente donc le beau Jason, un américain en échange scolaire en Allemagne qui gagne le coeur de la belle en deux temps trois mouvements. Ce qui se révèle être un vrai souci pour Edvard. Il le fait donc mourir sur le champ d'une allergie mal diagnostiquée. Mais facebook se déchaîne redemande du Jason, s'émeut de son sort, veut que justice soit rendu pour cette erreur médicale. Même mort Jason a toujours plus de popularité que son créateur. J'aimais beaucoup cette idée de faux profil car quel ado n'est pas tenté de faire un fake pour rendre sa vie sentimentale plus trépidante ou pour espionner en douce l'élu(e) de son coeur? Cela aurait été un bon point de départ pour un débat, une discussion.

le hic c'est que ce sujet n'est qu'une partie de l'intrigue, je dirais même une intrigue secondaire. Donc, le vrai noeud du problème c'est le voisin d'Edvard, un brillant professeur d'astrophysique qui vit reclus dans sa maison et qui est menacé d'expulsion. On est plus dans le combat social que sur les dangers du net. Ce petit roman, très plaisant au demeurant est plus un livre pour les 4èmes. C'est facile à lire, divertissant et humoristique. Bref Comment survivre quand on a des parents bobos végétariens et qu'on est allergique aux fruits et légumes crus, qu'on chausse du 49, aucun poil sur le torse et une voix de fausset. En aucun cas un sujet de débat. Alors pitié messieurs les éditeurs, arrêtez de faire des effets de marketing en surfant sur le thème des réseau sociaux car là tout de suite je me sens flouée.

J'ai apprécié ma lecture de Fake, mais je dois dire que je ne m'attendais pas à ça.

Dans le résumé on nous annonce une histoire virtuelle mais finalement le récit tourne plus autour des problèmes familiaux d'Edvard et de son amitié avec le vieux d'à côté. C'était simple et frais mais je ne le conseille qu'aux jeunes de moins de quinze ans, car je ne pense pas qu'il puisse plaire à tout le monde après cet âge là.

J'ai peu de choses à lire sur ce livre car c'est une histoire un peu banale, du genre qu'on lit quand on a neuf ans.

Ou comment Edvard raconte dans son journal intime, et avec humour, l'ampleur que prend un petit mensonge sur les réseaux sociaux, ainsi que la solidarité adolescente.

Un récit plaisant et attachant.
Lien : http://delaplumeaucoeur.blog..

Pire livre de toute ma vie de lectrice ! Un personnage attachant ? Que nenni il mérite des baffes ce garçon ! Mal dans sa peau mais un esprit de justice et superfiel sa seule qualité est son engagement pour la cause du viel homme mais c'est tout ! Livre sans promesse, écriture épuisante, personnages inutiles rien ne m'a plu dans ce livre "moderne" ! Moi qui m'attendais à un livre sur les problèmes que peuvent engendrer le mensonge sur Facebook on se retrouve avec peu de contenu sur ce réseau social à part une légère histoire dérisoire et inutile !
Vite vite je vais lire des classiques car même si j'ai 18 ans je préfère les histoires pesantes de Zola ou Balzac que cette histoire légère que j'ai malheureusement lu...

Lien : http://emilivres.blogspot.fr..

Quand j'ai lu le résumé j'étais plutôt attirée par l'histoire du mensonge et le petit (grand) jeune qui s'enlise dans son bobard... Mais j'ai toute de suite déchanté au bout de quelques pages!! L'histoire est pas trop mal en elle même mais le résumé ne décrit que le début du livre. Dommage!

J'ai participé à la dernière masse critique jeunesse de Babelio et j'ai eu la chance d'être choisie pour lire ce bouquin des Editions Milan. "Fake ! Fake ! Fake!" me faisait de l'oeil depuis quelques temps mais j'hésitais à l'acheter car il est quand même tout fin. du coup, je suis ravie d'avoir pu le recevoir dans le cadre de cette masse critique. Je remercie donc bien fort Babelio et les Editions Milan pour cette réception.

Un prénom pourri, des chaussures taille 49 : Edvard, 14 ans, pas un poil sur le torse, est mal parti pour séduire Constance. Alors, sur Facebook, il devient Jason, Américain en voyage scolaire. La belle croque à l'hameçon et en demande toujours plus. de mensonge en mensonge, la machine s'emballe …

Alors je dois dire que je suis un poil déçue par ce livre parce qu'il ne correspond absolument pas à ce que j'en attendais. La quatrième de couverture est tout de même trompeuse, moi je pensais lire les aventures d'un garçon empêtré dans ses mensonges sur internet. Mais ce n'est pas ça, enfin pas que ça. Certes, l'auteure aborde cet aspect mais l'histoire principale du livre n'est pas du tout celle-ci.

On rencontre Edvard qui est un adolescent comme tant d'autres mais qui est le souffre douleur d'un gros bras du collège. Il est amoureux de Constance qui ne le regarde pas. J'ai bien aimé ces personnages mais je ne me suis pas attachée à eux, à aucun d'entre eux. Je ne sais pas si ça vient de l'auteure ou de la qualité de la traduction mais on survole les personnages. Bon, ça reste un livre jeunesse mais j'aurai apprécié qu'au moins la personnalité d'Edvard soit un peu plus travaillée.

Mais ça reste un livre facile à lire, plutôt agréable une fois passée la déception de ne pas avoir affaire à l'histoire qu'on aurait souhaité. J'ai beaucoup aimé la relation que le jeune Edvard va finir par nouer avec son voisin un peu étrange. Leur histoire d'amitié se développe sous nos yeux, c'est très plaisant. On se rend compte qu'il n'est pas nécessaire d'être identiques pour devenir amis.

C'est un livre qui peut donner le sourire aux ados. Moi, je n'ai pas été plus embarquée que ça par ma lecture mais je pense que c'est surtout dû au fait que je suis bien loin d'avoir l'âge des protagonistes du livre et que je suis donc bien au-delà de telles préoccupations.

Une découverte mi-figue mi-raisin mais que je suis contente d'avoir fait ...

Edvard, 14 ans est un adolescent victime de discrimination a cause de son physique. Il est mal dans sa peau et rejeté par les autres. Trop grand, trop maigre, aucun muscle et une voix de fille, rien pour plaire a Constance qu'il aime secrètement. Elle, l'ignore totalement, ne s'intéresse pas a lui.
Alors pour lui parler, Edvard se crée un compte fake et se fait passer pour Jason. Jeune Américain, brillant en voyage scolaire, le garçon parfait au yeux de Constance.
Vont-il se rencontrer ? Edvard va t'il révéler l'identité de Jason ? Jusqu'ou vont mener tous ces mensonges? La belle Constance va t'elle découvrir la vérité ?
Rien n'est jamais perdu.

Ce livre m'a plu parce que plusieurs morales en ressortes. Il fais réfléchir. de plus il est facile a lire.
La suite de l'histoire est vraiment inattendue. le livre étant présenter un peu comme un journal intime nous fais vivre en Edvard. On aperçois la maturité et le changement qui vient petit a petit chez Edvard. Une très belle histoire opposée au résumé en ressort.