Ce cinquième livre, je l'attendais tellement que le jour où je l'ai eu, je me suis retrouvée comme une conne avec cet ouvrage entre les mains. L'attente avait été si bien orchestrée que je m'étais mise à imaginer tellement de choses que j'étais fébrile aux premières pages, mais comme toujours Angela a su nous transporter bien au-delà de tout ce que l'on peut imaginer et cette fois encore, elle a ouvert les portes d'un plaisir et d'une douceur insoupçonnés.
Ce tome m'a littéralement retourné. J'ai eu chaud, très chaud même. J'ai adoré le rôle de voyeur qu'Angela donne à ses lecteurs sans pour autant utiliser les méthodes des films pornos et cette fin... Cette longue lettre. Mon Dieu c'est tellement beau, émouvant et si bien écrit qu'on regrette à cet instant que le courrier ne nous soit pas adressé personnellement.
Plus Angela avance dans ses tomes, plus le romantisme prend de l'ampleur sans pour autant empiéter sur l'érotisme.
Ce que je veux dire c'est que le fil conducteur "la Société" est toujours présent, mais les histoires se font tellement plus tendre, amoureuse, les personnages sont tellement poussés dans leur retranchement qu'on en oublie parfois, durant une petite période, l'endroit et l'origine de ces histoires pour ne se laisser bercer que par la douceur du moment.
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