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3,72

sur 253 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
La première chose qui frappe avec ce roman c'est la façon dont il est écrit...
L'auteur en effet utilise la troisième personne pour parler de Temple, et pourtant c'est son point de vue subjectif qu'on partage.
De plus au niveau des dialogues l'auteur n'inscrit aucun signe de ponctuation ce qui est plutôt déstabilisant.
Mais on fini par s'y habituer à force de lire :)

La seconde chose qui interpelle sans gêner pour autant c'est que l'état du monde n'est jamais expliqué dans ce livre, impossible pour nous de dire d'où viennent les limaces, pourquoi ? comment? !!!!!
Mais je ne pense pas que ça apporterait grand chose à ce livre ...

Le livre est surtout axé sur la façon dont l'héroïne vit les événements, comment elle supporte ce qui lui arrive, c'est la le point le plus intéressant de ce livre , on suit la jeune fille , on la voit évoluer, on "l'entend" penser .
C'est elle contre le monde hostile et dangereux, on vit l'aventure à travers elle et c'est elle l'élément le plus important de l'histoire.

C'est une histoire que j'ai dû arrêter en cours de route je sais plus trop pourquoi, mais quand je l'ai reprise j'ai replongé tout de suite dedans.

C'est un livre très, très bien écrit, avec une histoire "forte", je veux dire par là que l'histoire apporte un sens à tout ce qu'elle fait , c'est un livre complet ...

Pas de déception venant de ce livre que j'avais décidé de lire complètement par hasard, une lecture agréable et fluide, et une héroïne hors du commun .

Lien : http://airedurat.blogspot.fr..
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Les histoires de zombies, j'ai appris à les aimer grâce à mon chéri qui a du me faire regarder tous les Romero, trop de nanars à mon goût, et d'autres films sur les zombies absolument pas connus mais vraiment sympas. Aussi, comme mon domaine c'est plus les livres, j'ai commencé à regarder pour des livres de zombies pour tous les deux, et je suis inévitablement tombée sur Les Faucheurs sont les Anges d'Alden Bell. Et c'est un livre que j'ai lu très vite, et que j'ai fini par plutôt bien aimé, alors qu'au début c'était vraiment très mal parti entre lui et moi.

Dans ce livre, on suit Temple, une fillette de 15 ans qui, malheureusement, m'a tout de suite semblé absolument insupportable, faisant preuve d'un détachement absolument pas humain, pas possible. En fait tout le problème de ce livre selon moi c'est que les zombies, l'apocalypse, ne sert que de background, de prétexte, et n'est absolument pas un personnage en soit, et absolument pas un personnage redouté. Quand je me plonge dans un livre post-apo comme celui ci, j'attends quand même un minimum d'horreur émanant de ce monde, alors que dans ce livre, ce monde est presque devenu comique à la longue, et c'est absolument pas ce que j'attendais. Temple est juste trop, trop détachée, trop garçon manqué, trop puissante, trop, trop, trop...

Mais passons. le fait est que, ce livre, au fur et à mesure de la lecture, nous prend aux tripes, nous pose des questions qui vont rester longtemps sans réponses, et bien entendu on continue à lire juste pour les connaître. le récit est un petit peu trop rapide à mon goût d'ailleurs (c'est pour ça que je l'ai lu si vite ce livre, il est vraiment court) j'aurais aimé rentrer plus en profondeur dans certaines scènes, connaître plus souvent ce qui se passe dans la tête de Temple. Mais l'histoire en elle même est vraiment sympa, bien pensée, mais encore une fois les zombies ne m'ont pas semblé utiles, un monde simplement post-apo sans eux aurait très bien fait l'affaire aussi.

En fait, je pense que je n'ai pas accroché avec Temple car elle est complètement mon opposé, et a fait des choix que je n'aurais absolument pas fait. Mais c'est un livre vraiment bien, avec une histoire qui vous tient en haleine très longtemps. Mais si je vous conseil ce livre, c'est aussi et surtout parce qu'il se finit très mal, et que ça, ça se fait plutôt rare, et que c'est quelque chose que j'adore, quand ça finit mal ahah
Lien : http://bookshowl.blogspot.fr..
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La première fois que j'ai vu "Les faucheurs sont les anges", c'est en librairie. Pas sur le net, non, en librairie. L'ouvrage est joli, le titre accrocheur, la couverture affiche des critiques dithyrambiques (peut-être même un peu trop), allez hop, il repart avec moi.

Il y a 25 ans, le monde a été englouti par des hordes de zombies, les limaces comme les appelle Temple. Depuis lors, l'humanité survit tant bien que mal, et mène une quête à la recherche de nouveaux repères. Temple qui n'a que 15 ans, n'a connu que ce monde dans lequel elle évolue, ne connait « l'avant » que par les dires des gens. Cet "avant" est un peu pour elle comme ces histoires, ces légendes que l'on raconte le soir pour s'endormir. Ce sont des rumeurs destinées à croire en un futur meilleur, une ode à la grandeur de l'humanité que l'on espère retrouver. Seulement voilà, l'humanité telle qu'on l'a connue n'est plus, et il faut reconsidérer l'ordre des choses.

Alden Bell, comme la plupart des romans du genre, nous livre un road-movie à travers l'Amérique. le mouvement est la clé de la survie.

Temple n'est pas ce qu'on pourrait appeler une héroïne attachante, cette gamine de 15 ans est aussi dénuée d'humanité que le monde dans lequel elle évolue, mais cela ne m'a pas dérangée, au contraire. L'auteur, au-delà de la description de ce monde post-apo, et de l'hémoglobine qui va avec, s'est attardé sur les interrogations suscitées par ce nouveau monde en construction, son absence de repères, sa quête de repères, et Temple, ainsi que les rencontres qui vont ponctuer son road-movie, ne sont que des éléments de ce monde qui se cherche et se construit. La religion est très présente par exemple, un peu trop à mon goût, mais je peux en comprendre la raison.

Certains ont reproché des raccourcis trop simples pour un ouvrage du type « survie » (exemple, elle met peu de temps à trouver une voiture, qui évidemment a de l'essence dans le réservoir, alors que les zombies sont là depuis plus de 25 ans…). Certes, je comprends que cela puisse déranger, mais encore une fois, la survie n'étant pas ce que je recherche d'abord dans ce type de romans, je n'y ai pas prêté attention.

L'écriture a également été pointée du doigt. L'absence de guillemets et de tirets pour les dialogues, le présent omniprésent, les phrases courtes, tout ceci semble avoir déstabilisé certains lecteurs. Je comprends également, mais pour moi, ils font partie de cet univers que reconstruit Alden Bell. Il n'y a plus de normes, tout n'est que mouvement. L'écriture est à l'image de ce monde en déconstruction/ reconstruction, et je l'ai trouvée très efficace.

Sans être à la hauteur de "La Route", Les Faucheurs sont les Anges est un roman agréable à lire, je ne sais pas s'il marquera le genre, peut-être pas, mais ce fut un bon moment de lecture, et c'est l'essentiel.
Lien : http://lelivrevie.blogspot.f..
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Récit très prenant, on s'attache avec facilité à l'héroïne Temple, jeune survivante à l'apparence frêle et menue qui cache un caractère féroce , une aptitude aux combats étonnante et un franc parler brut de décoffrage!!
Le style d'écriture me fait beaucoup penser à celui de la Route de Cornac Mccarthy mais aussi a celui de Justin Cronin le passage, quelques références à Dieu ( le seul point qui pour moi ne me fais pas mettre 5 étoiles) , un phrasés poétique, de beau dialogues, une belle façon de décrire les paysages mais aussi les âmes humaines.
Pour moi qui ai lu plusieurs romans de zombie et post apocalypse, je le classe facilement dans les meilleurs.
Je vous le recommande donc très fortement!Bonne lecture!
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J'ai terminé les faucheurs sont des anges, un bon petit livre. Rapide a lire avec une bonne petite histoire, même si certain passage, on se demande ce qu'il vienne faire là.
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Souvenez-vous, le mois dernier, j'ai publié un zoom sur Les faucheurs sont les anges où je livrais mes premières impressions suite à la lecture d'un extrait livresque. Par la suite, j'étais plutôt enthousiaste à l'idée de découvrir le roman dans son intégralité.

Le petit bémol soulevé dans mon précédent billet demeure toujours après la lecture. En effet, les dialogues sont mélangés dans les descriptions. Il n'y a pas de réelles distinctions. Personnellement, je n'ai pas apprécié cet aspect. Au début, il m'a fallut me concentrer pour distinguer nettement les deux éléments. Il fallait que je sois totalement immergée dans le récit pour que cela ne me pose plus de souci. Ainsi, je pouvais savourer les mots.

Même si je ne signe pas de coup de coeur, je suis quand même ravie de l'avoir lu intégralement. Surtout qu'il me tentait depuis sa sortie en grand format. Entre nous, si j'avais été dans un état d'esprit différent, j'aurai pu avoir un coup de coeur pour ce roman. En effet, ce récit est très bien écrit. C'est touchant, et terriblement poignant... Dans le sens où c'est certain qu'il n'a pas aidé à améliorer mon humeur. J'y retrouve une part de réalisme tout comme dans The Walking Dead.

Oui, c'est vrai que c'est une fiction. Au fond de moi, je le sais très bien mais je ne peux pas m'empêcher d'y voir une part de vérité ; de voir un futur éventuel - pas réjouissant, c'est clair. Cependant, cela permet à mon imagination d'établir des hypothèses, de travailler tout simplement. Au final, j'aime quand mon esprit imagine, s'évade... C'est un plaisir. C'est également pour cela que j'affectionne la littérature imaginaire.

Au coeur de ce récit, j'y ai trouvé de la tristesse, de la solitude ainsi que du mystère. Au bout du compte, je ne sais pas réellement ce qui a causé le déclin de cette société. Peut-être que je suis passée à côté du détail mais, je ne le pense pas. du coup, c'est ce point qui soulève du mystère à mes yeux. Ensuite, la solitude est un sentiment omniprésent... Qu'ils évoluent en groupe ou en solo, ils sont finalement seuls au monde. Je l'ai ressenti comme ça. Beaucoup de solitude et de tristesse. A aucun moment, je n'ai aperçu, vu une lueur d'espoir. C'est une fatalité, et chacun des personnages le vit de cette façon.

Si vous n'avez pas le moral, il est clair que ce roman ne vous aidera pas à le retrouver. Bien au contraire... Pourtant il est profond. Il amène à réfléchir. Vivre au jour le jour. Profiter de chaque moment comme si c'est le dernier pour ne pas traîner des regrets derrière soi.

En ce qui concerne la fin de l'ouvrage, je ne m'y attendais pas. Je ne peux affirmer que ceci me déçoit. Je n'irai pas jusque là mais je suis surprise. En même temps, comment peut-on conclure un ouvrage où l'espoir n'a pas de place ? Si vous avez des suggestions, je suis toute ouïe.

De plus, j'ai beaucoup aimé le personnage principal. Elle voyait de la beauté là où d'autres n'y prêtaient aucune attention. Peut-être que c'était elle finalement l'étincelle d'espoir. Après tout, pourquoi pas ?! Elle ne se contentait pas de survivre mais de vivre. Elle profitait de chaque seconde comme elle le pouvait. J'ai aimé sa maturité, son caractère ainsi que sa façon d'appréhender les choses. Finalement, elle pourrait être un modèle.

Alden Bell a une plume intéressante. L'histoire est bien menée. le récit est rythmé entre les descriptions et les dialogues. Il y a un juste milieu qui se révèle entraînant. Même si je n'ai pas pu apprécier ce roman autant que je l'aurai souhaité, j'y ai pris un certain plaisir à 1) plonger dedans pour ainsi satisfaire ma curiosité 2) conclure cet ouvrage. Si vous appréciez les zombies, je vous conseillerai de vous forger un avis sur Les faucheurs sont les anges. Personnellement, j'apprécie de découvrir de nouvelles histoires sur ce thème. J'aime la façon dont les auteurs traitent ce sujet. Entre nous, il me tarde de retrouver l'univers de The Walking Dead.

Un grand merci à la collection Folio SF ainsi que Babelio pour cette lecture.
Lien : http://bookmetiboux.blogspot..
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le style de l'auteur est assez particulier puisque la narration se fait au présent et que le sujet principal reste « elle », comme si Alden Bell cherchait à se détacher de son héroïne, Temple, qui elle-même s'efforce de jouer les dures à cuire, sans liens ni attaches. Chose encore plus étrange : les dialogues ne sont ouverts ni par des guillemets, ni par des tirets cadratins. Au premier coup d'oeil, on dirait presque que le roman en est dépourvu, et cela m'a déstabilisée pendant quelques chapitres. Mais aussi particulière que soit la plume d'Alden Bell, elle est parvenue à me séduire.

Il plante un univers ambivalent, où l'horreur des morts-vivants et la beauté d'une nature reprenant ses droits se côtoient avec une aisance pour le moins surprenante. Il nous conte de petits miracles dans un monde où l'argent n'a plus la moindre valeur, mais le genre de miracles qu'il faut savoir contempler et apprécier. C'est un peu le rêve américain à l'envers : au lieu d'offrir la réussite sociale et pécuniaire à tous, ce monde post-apocalyptique prône un retour aux sources et le plaisir des choses simples, voire même rudimentaires. Ceux qui s'accrochent aux vestiges d'un passé révolu sont - d'après les dires de Temple - encore plus morts que les zombies.

L'héroïne est tout aussi atypique. Âgée de quinze ans à peine, elle taille sa route à coups de machette. Elle n'a pas froid aux yeux, ni la langue dans sa poche. Pourtant, on lit facilement en elle. On voit que derrière ce masque d'indifférence et ce côté sauvageon, se cache une jeune fille vulnérable, un peu perdue et tourmentée. Il n'y a qu'à voir sa rencontre avec Maury. Dès le départ, elle l'appelle « l'idiot », encore et encore, comme pour garder ses distances avec lui, émotionnellement parlant. Elle jure qu'il est un poids pour elle, qu'il la gêne et l'embarrasse, mais elle revient vite vers lui. Elle est incapable de l'abandonner à son triste sort.

Mais cette façon d'insister sur le mot « idiot » révèle d'autres choses à mes yeux. On peut y voir le reflet d'une adolescente n'ayant jamais été à l'école. Sans éducation, elle n'a pas pu apprendre à lire et donc encore moins à respecter les conventions sociales. le mot en lui-même est dur et sans concession, mais dans sa bouche, on sent dès le départ qu'il en est autrement. Il lui sert à dresser un mur entre elle et lui. Mais d'un autre côté, il l'en rapproche car elle ne connaîtra son identité que bien plus tard et il lui fallait bien un moyen de l'interpeler en attendant.

Temple est effrontée, casse-cou, rentre-dedans. Elle ne semble pas craindre grand-chose, en dehors de ce petit garçon, Malcolm, dont elle rechigne à parler. Dans cette Amérique en perdition, elle se fait son petit road-trip et parle un jargon bien marqué. Elle erre de-ci de-là et aimerait pouvoir se poser dans un des campements fortifiés de survivants… mais elle n'y parvient pas. le semblant de vie tranquille que ces derniers pourraient lui offrir ne lui convient pas, alors elle reprend la route et s'invente un nouvel objectif. Malgré son jeune âge et son sexe, elle n'a rien à envier aux grands chasseurs.

On apprend à travers son périple que les plus grands dangers viennent des vivants. Ne pas faire confiance. Ne pas s'arrêter. Ne pas lier d'amitiés. Mais continuer à rêver. Temple semble jouer le rôle de précurseur des générations à venir, qui s'adapteront bien mieux à la nouvelle face du monde. N'ayant rien connu d'autre que les limaces/zombies/sacs à viande, il leur sera plus facile de composer avec eux et de trouver un certain équilibre de vie.

Pleine de ressources, Temple devra néanmoins faire face à un colosse qui la poursuit sans relâche et rêve de la tuer pour venger la mort de son frère. Elle partira à la rencontre de différentes communautés de survivants, certaines bien attentionnées et solidaires, d'autres terriblement malsaines. Elle voyage à travers ces microcosmes et nous les décrit avec son regard d'enfant, candide et lucide à la fois. le regard d'une enfant qui a malheureusement grandi bien trop vite. Elle nous montre les différents visages de l'espèce humaine et nous brise le coeur dans un final mélancolique et assez inattendu.
Lien : https://dragonlyre.wordpress..
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Beau roman sur un monde post-apocalyptique. Beaucoup de poésie et une belle réflexion sur le sens de la vie.
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J'ai mis un peu de temps à m'habituer au style de narration parce que tout semble écrit d'une traite: c'est-à-dire qu'il n'y a pas de ponctuation particulière lorsqu'il y a des dialogues par exemple. Mais petit à petit, je suis rentrée dans l'histoire et j'ai été charmée par ce petit bout de femme qu'est Temple, seulement 15 ans mais un caractère bien trempé.

On suit donc Temple, lorsque l'histoire commence, elle est toute seule sur une île et décide de revenir sur le continent. le monde est infesté de »limaces » ou de »sacs à viande » comme elle appelle les zombies. Pour elle, les zombies ne sont ni bons ni mauvais, voire même pas un fléau car elle a toujours connu le monde avec eux et tente tant bien que mal d'imaginer le monde d'avant mais sans forcément le regretter. Temple a l'air d'être une solitaire, une fille sans coeur et égoïste mais au fur et à mesure du roman, elle fait des rencontres qui nous font changer d'avis sur son compte, notamment lorsqu'elle prend sous son aile Maury. Je ne parlerais pas trop de lui et vous laisserais le découvrir car il n'intervient pas tout de suite dans l'histoire.

Le livre est empreint d'une certaine poésie. La jeune fille cherche la beauté dans tout ce qui l'entoure, dans ce monde ravagé aux allures post-apocalyptiques. On se laisser emporter par sa manière de voir les choses, si simples et en même temps si dures. Elle a cette idée qu'elle est le mal car elle n'est pas fière de ses actions pour survivre, pourtant on la comprend, on compatit, on la plaint.

Je ne veux pas en dire trop sur l'intrigue, mais sachez qu'à un moment elle fait une mauvaise rencontre qui la force à fuir. Tout le livre se déroule comme un road trip, un voyage au but un peu flou et fluctuant, une épopée dans ces Etats-Unis ravagées et pourtant encore vivantes. L'ambiance est un peu celle de la série The walking dead, très dramatique, un peu far west et avec de grands principes sur l'humanité, ses actions, le bien et le mal. On ne sait pas comment on en est arrivé là et la limite, ce n'est pas le sujet le plus important du livre. On fait des rencontres terrifiantes, des créatures qui ne sont ni hommes ni zombies et j'ai été assez surprise par cette invention de l'auteur.

La fin est triste mais belle, j'y ai trouvé une certaine poésie. En même temps, je n'aurais pas imaginé une autre fin.

Vous l'aurez compris, c'est un roman que je vous recommande si vous aimez les road trips sur décor post-apocalyptiques, les héroïnes qui n'ont pas froid aux yeux et une grandeur d'âme qui nous dépasse, ou tout simplement si vous voulez lire quelque chose de différent sur les zombies. le livre est court, mais je suis bien contente de la découverte !
Lien : http://latetedansleslivres.w..
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Une histoire très noire. Au début j ai eu un peu de mal avec le style de narration et la manière de penser de temple. Puis finalement on s attache à cette héroïne qui a vécu dans un univers complètement particulier et qui a donc une manière de penser différente. Un bouquin qui fait réfléchir sur la beauté du monde
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