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Citations sur Chroniques de l'asphalte, tome 1 (16)

Dédé, c’était le type le plus gentil de la Terre. Il était serviable, généreux, disait toujours des trucs agréables aux gens, ne parlait jamais mal aux filles et faisait tout pour bien travailler en cours, bien qu’il était le plus mauvais de l’école. Et s’il était un peu plus con que les autres, c’était pas de sa faute. Fallait plutôt aller regarder du côté des mélanges dans sa famille. Parce que la mère et le père de Dédé, ils se ressemblaient comme deux gouttes d’eau, et la légende disait qu’ils étaient deux frère et sœur débiles qui n’avaient pas trouvé mieux qu’eux pour se marier.
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Non vraiment, Nathalie Lafine était pas jolie. Le truc, c’est qu’aucun d’entre nous n’osait vraiment se foutre de sa gueule, du fait que quelques années plus tôt, elle nous avait roulé une galoche à chacun.
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Les pires carnets de notes. Où les profs écrivaient des machins comme : Fantôme… Benchetrit élève inconnu… Touriste… Ouais. J’étais un touriste et je vous emmerde. Vous m’avez ennuyé. Je me suis fait chier à l’école. Vous ne m’intéressiez pas. Et je ne vous intéressais pas.
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- T'es sympa mais je peux pas ce soir ... Je vais dormir chez Cathy Frementa, elle m'a invité à passer la nuit, et j'ai pas pu refuser si tu vois ce que je veux dire.
Un peu que je voyais ce qu'il voulait dire.
Cathy Frementa.
La plus belle femme de l'univers.
Tout le monde rêvait d'aller dormir chez Cathy Frementa, et je crois même que si elle nous avait proposé de nous vautrer en chien de fusil sur son paillasson, les trois quarts du quartier se seraient jetés dessus.
.... Il n'y avait pas d'homme chez les Frementa, juste trois femmes. Trois beautés qui sentaient le sexe à des kilomètres et qui rendaient dingues trois générations de types dans les alentours.
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Tu sens la nuit tomber doucement dehors sur la banlieue électrique.
Il n'y a pas de bruit.
Ou juste cette rumeur éternelle qui existe seulement ici.
Un silence de banlieue, c'est un silence différent.
C'est un silence avec du bruit.
Ecoute le silence bruyant et ferme les yeux.
Tes rêves seront toujours d'asphalte mon petit Bench.
D'asphalte et de néons.
Ferme les yeux et endors toi enfin.
Tu es chez toi.
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J'ai bien aimé , c'est un roman plein de sensibilités .
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Tu sens la nuit tomber doucement dehors sur la banlieue électrique. Il n'y a pas de bruit. Ou juste cette rumeur éternelle qui existe seulement.ici. Un silence de banlieue, c'est un silence différent.
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Je n'avais plus rien à lire (j'attends la sortie d'un autre roman) et puis je suis tombée sur ce livre en parcourant le site. Couverture sympa, bonnes critiques... aller hop c'est parti.
Histoires à tous les étages, du drôle, du triste, des personnages étranges.... bref Bench le raconte bien, et c'est son histoire.
Je l'ai lu quasi d'une traite... je lirai sûrement le 2ème
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"Aujourd'hui nous sommes dimanche, il est dix-huit heures et je ressens à nouveau cette même mélancolie. D'où vient ce poids qui se pose si souvent sur mes épaules? Et si les autres filles semblent légères, c'est peut-être qu'elles n'ont pas à supporter ce sentiment d'amertume que je transporte en moi. Maman n'est toujours pas rentrée, elle travaille tant que je n'ose pas lui parler de cette tristesse qui m'habite parfois, et je sais qu'elle souffre à chaque minute du départ de papa..."
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Tout le monde rêvait d'aller dormir chez Cathy Frementa, et je crois même que si elle nous avait proposé de nous vautrer en chien de fusil sur son paillasson, les trois quarts du quartier se seraient jetés dessus.
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