Algérie dans les années 90. Aïda 48 ans est divorcée, prof à la fac. Son fils unique, étudiant en médecine est assassiné par un islamiste. Ce roman est un cri de douleur, digne. Les mots sont pesés. Ils disent le poids des traditions et surtout le voile de la "réconciliation nationale" qui efface ces crimes.
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