Sans attendre la déclaration de Gopîchand, l'inspecteur arrangea lui-même les événements à sa façon : " Au cours d'une querelle, la veuve disparue aurait pris une corde dans une main et dans l'autre une cruche, elle serait allée au puits et, son pied ayant glissé sur la mousse qui poussait au bord de la margelle, elle serait tombée et se serait tuée. " Dès que Gopîchand eut délié les cordons de sa bourse, les exigences de la loi furent satisfaites. L'incident était clos. (p. 19)
Les gendarmes n'aiment pas avoir affaire aux pauvres gens .Tout au plus ,dans un cas semblable ,recourent -ils à quelques gifles, à une bonne semonce ou de bordée d'injures.Ils savent bien qu'avec eux ils perdent leur temps ,qu'il n'y a rien a en tirer.
C'est une trahison.. Une lâcheté .. Avant même de lui serrer la main Gopi à donné un coup à notre maître! Ce lâche a violé les règles de la lutte. Il n'en sortira pas vivant.