Ambrose Bierce. Je l'ai lu adolescent et je relis avec plaisir ses nouvelles pleines d'humour, de noirceur et de fantastique.
"A l'aube d'une journée d'été, en l'an de grâce 1872, j'assassinai mon père, acte qui, à cette époque, produisit sur moi une profonde impression."
A l'épreuve du feu.
Collection de nouvelles fantastiques d'Ambrose Bierce, complétée en fin de livre par le Club des Parenticides, bijou d'humour noir immoral. Notre cher Ambrose continue d'exploiter son obsession de la Mort, sans oublier d'employer un certain sens du ridicule qui fait honneur à ses nouvelles (et à son oeuvre en général).
A lire en parallèle du recueil Morts Violentes, toujours aux Cahiers Rouges (Grasset). Traduction de Jacques Papy.