Le temps a passé.
Il a tendance à faire ça, vous avez remarqué? Il y a des jours qui se traînent et d'autres qui filent, mais tous ont le même nombre d'heures et chacun vient de là d'où viennent les jours, où que cela puisse être, et s'en va là où ils s'en vont.
Chaque passion est intéressante pour celui qui en souffre. Et parfois on ne résiste pas à l'infliger aux autres.
«À la télé, les coïncidences c'est mauvais signe.
- Tandis que dans la vraie vie...
- Ça me casse quand même la tête. Mais il faut bien que ça existe, les coïncidences, sinon comment se ferait-il qu'on ait un mot pour elles?»
Le fonds comptait deux exemplaires de la nouvelle, un provenait des archives des Collier's, l'autre de celles de Scriber's. Il y avait des placards et des épreuves en page, ainsi que pas mal de correspondance portant sur la nouvelle. L'agent de Fitzgerald, un certain Swanson y était représenté par une demi douzaine de petits mots laconiques."
Tout est en voie d'extinction, aujourd'hui, à part les merdes dont personne ne veut.
Et comme Robin des Bois, il ne volait qu'aux riches.
-- A qui d'autre ? C'est eux qui ont quelque chose à voler. Quel branque irait perde son temps à voler les pauvres ?
-- Les propriétaires, a dit Carolyn. Et les hommes d'affaires, et .... ( page 95)
Le scotch y est peut-être pour quelque chose, a-t-elle admis. Ça fait ressortir ma chouette intérieure.
Plus on a de fortune, moins on est porté à l'engager (...) au service d'abstractions telles que la vie, la liberté et la recherche du bonheur. ( page 172 )
La nouvelle a la même idée de base que celle de Fitzgerald, un bébé qui naît vieux et rajeunit avec le temps qui passe, et Roda Roda l'a publiée une année entière avant que The Curious Case of Benjamin Button paraisse dans Collier's.
“Tirez la chasse et fini les ennuis !”