Gamin, j’avais toujours l’impression que les adultes savaient toujours où ils allaient et que ce monde n’avait pas un secret pour eux. Mais j’ai grandi et je suis devenu adulte à mon tour et là, j’ai réalisé que je ne savais rien, ni de ce monde ni de moi-même.
Passé la quarantaine, il faut vraiment peu de choses à un homme pour ranger ses tourments au placard…