Bortnikov écrit des mots. Et avec des mots il fait des phrases, beaucoup de phrases. Oui. Et aussi des 'Et puis'. Il aime ça, les 'Et puis'. Oui, même que 497 il y en a!
Et pas que son style un peu prétentieux qu'il faut aimer. Ca non! Faut aimer les histoires que racontent ceux qui croisent 'Maria la patte d'ours', des histoires souvent bien noires, qui pourraient se passer n'importe où, dans un pays en guerre, et on aurait difficile d'accorder beaucoup plus d'empathie à Maria qu'à une caméra.
Ca se laisse lire mais c'est pas le genre de lecture que j'aime savourer.
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