- J'ai un peu de mal à m'habituer heureusement qu'il ya ce banc ( page 62 ) .
-P-S : Ne crains plus de débordements de ma part . Je respecterai ton besoin de ne plus mélanger les genres et les jens .
J'ai beaucoup aimé la page 41, le chapitre 7 car il y'a beaucoup d'amour j'ai tout aimé dans le chapitre 7 surtout le début ;
"Rencontre.
Regards.
Échanges.
Esquisse d'un possible différent..."
Ce livre raconte l' histoire de Tristan, un jeune homme de 15ans qui tombe éperdument amoureux de la nouvelle, un peu ringarde. Ce livre est un livre d' amour car il raconte leur histoire dans tous les détails. Moi en tout cas je n' ai pas aimé ce livre car une fois qu'on a lu les deux premiers chapitres, on connaît la fin : ils sont ensemble. Moi j'aurais aimé plus de suspense. Je vous le déconseille donc.
– Tu es injuste, mesquin et blessant, lança-t-elle. Je ne vois pas en quoi je serais responsable des insultes que l'on m'adresse gratuitement ! Et pour ce qui est du ridicule, cela fait longtemps qu'il ne tue plus ; regarde-toi, tu es en parfaite santé !
Ses yeux gris flamboyaient, et Tristan, soudain, se sentit penaud. Elle n'en avait pourtant pas fini avec lui.
– Je vais alimenter le moulin de bassesses que tu fais tourner avec tes amis. La phrase sur le ridicule n'est pas de moi, je l'ai volée à Raymond Devos. Tu ignores sans doute de qui il s'agit, puisque ce n'est pas un joueur de foot, alors je vais te traduire sa pensée avec un mot que tu pourras comprendre : merde !
Cité de béton. Façades anonymes.
Combat.
Injustice.
Solitude.
Les rêves se noient sous les larmes de la réalité, la pauvreté règnent sur les coeurs et pourtant...
... Je suis heureuse.
Si heureuse
Il la séduit, il lui fait miroiter le bonheur et, quand il faut agir en homme, agir tout court, il se dégonfle, il hésite, se lamente, fait mourir son fils, la fait mourir elle et n'a même pas le grand de se tirer une balle. Ce type n'est pas digne d'elle, c'est une lavette !
c'est elle qui prend tous les risques, qui se sacrifie, qui manque à sa parole parce que cet imbécile n'a pas assez de couilles, pardon, de courage, pour prendre les décisions qu'il faut. Il fantasme sur l'amour absolue, mais c'est surtout son nombril qu'il aime ! Un pauvre mec, je te dis !
Tristan rencontre une jeune Clélia dont il tombe amoureux. Par la suite, ils vont voir l'ancien ami de Clélia, l'arbre Tom Bombadil de son jardin, l'arbre qui illumine sa vie.
Citation: p35
"Ils sont tous si durs . Ils ont bâti des murs autour de leur coeur, il n'y a pas de portes. Pas de fenêtres"
Citation: p150
"Aimer c'est faire passer l'autre en premier "