si on faisait un film sur toi, il s'appellerait "la fille qui pensait trop"
Tu es avec moi, [...], dans toutes mes pensées, tous mes projets, mes plaisirs, mes errements, mes réussites et mes chagrins. Ce que je vois, je le vois avec tes yeux aussi, et avec toi je suis plus déterminé et mieux que je ne pourrai jamais l'être sans toi. (p388)
"C'était à la réalité qu'il incombait de vous indiquer l'étendue de vos illusions."
"Elle comprit seulement alors et sut sans le moindre doute qu'il s'imprégnait en quelque sorte de sa personne, qu'il buvait ses paroles tant il avait soif d'elle"
Elle aurait aimé échanger ses jours contre ses nuits, la réalité contre ses rêves. Avait-on le droit de passer de l'autre côté ?
quand il n'y avait pas le choix, il fallait faire un choix. quand il n'y avait pas de solution, il fallait en trouver une. on ne pouvait pas laisser le monde imposer sa loi. cela faisait trop longtemps que Daniel la subissait.
On n'apprécie peut être pas à sa juste valeur ce qu'on possède, mais on souffre de ce qu'on perd.
Elle aurait aimé échanger ses jours contre ses nuits, la réalité contre les rêves.
Toutes mes vies commencent avec elle, mon péché originel. Je me reconnais et me retrouve à travers elle.
J'ai vu la beauté dans toutes sortes de choses. Je suis tombé amoureux, et c'est elle qui continue à vivre. Je l'ai tuée une fois et je suis mort pour elle plusieurs fois, et tout cela en vain. Je la cherche désespérément; son souvenir me hante. Je garde espoir qu'un jour ou l'autre elle se souviendra de moi et me reconnaîtra.