S.I.N., tome 1 : Last Resort

Mettre mes aspirations en veilleuse et mon bonheur entre les mains de quelqu'un d'autre, j'ai déjà connu cela. Je ne peux pas recommencer cette erreur. Je suis à la veille de réaliser l'objectif pour lequel j'ai tant travaillé, je dois d'abord m'occuper de moi.

Quand personne ne t’a appris à aimer, Callahan, tu te jettes sur le premier signe d’affection qu’on te manifeste et tu t’y accroches, même quand cela devient toxique.

Je ne joue à aucun jeu en général. Ce n'est pas nécessaire. Ce que je veux, je le prends... mais j'accepte de jouer, pour une fois. Une fois seulement. Je vais jouer parce que tu es sans doute le seul intérêt pour moi dans ce putain d'endroit.

Tu as une volonté de fer, Collins, parce que moi, je te le dis franchement, tu me tues à petit feu.

Merci, Callahan, de m'avoir fait comprendre l'importance de ne plus accepter l'inacceptable.

Il faut que je la trouve. Parce que lorsque je pense à Sutton, je vois tout ce dont je pense avoir besoin.

Par un hasard ironique de la vie, faire sa connaissance m'a fait suffisamment grandir pour être certaine que dire non est ce qu'il y a de mieux pour moi.

Il n'y a rien à négocier quand il s'agit de nous deux.
Jamais.

Tout dans la vie devrait nous faire un petit peu peur.
C'est comme ça qu'on sait qu'on vit vraiment.

[..] je prends conscience qu'une certaine forme de puissance réside dans la notion d'acceptation. Qu'une fois qu'on accepte les vérités qu'on a tenté de fuir, on commence à avoir un certain pouvoir sur elles.