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Un an après avoir mangé ses parents, avoir combattu pour les droits zombiesques, retrouvé l'amour et avoir été le zombie le plus adulé des States, Andy n'est plus rien d'autre qu'un vulgaire zombie de laboratoire mais sa verve et sa volonté de "non-vivre" sont toujours aussi présentes !
Le jour où un respirant partisan de la cause zombie aide Andy et ses colocataires d'infortunes à s'échapper, est vécu comme une bénédiction, seulement voilà, un an sans manger de chair humaine ça en ramolli plus d'un, malgré tout, Andy est le seul à ne pas se faire prendre !
Il décide de rallier d'autres zombies et aller sauver (encore) ses nouveaux amis, c'est sans compter sur sa rencontre avec une fillette qui répond au doux prénom de Annie, fillette qui s'accroche à ses basques et veut le garder pour elle, il faut dire qu'être affublé d'un costume de Père Noël, ça allait forcément ne pas être inaperçu émoticône wink

Aussi délirant, jouissif et du grand n'importe quoi que "Comment j'ai cuisiné mon père, ma mère et retrouvé l'amour" avec une touche de sensibilité qui n'est pas désagréable, encore un coup de coeur, un Grand même !!
J'aime vraiment ce personnage de Andy, il pue, se décompose et bouffe de la chair humaine, il ne peut s'empêcher de penser de quelle façon il pourrait bien nous cuisiner, ça ne fait rien ,je suis over in love with him émoticône heart Et j'espère, je croise les doigts pour que S.G.Browne n'ait pas fini de nous régaler avec ses aventures !!!
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« le jour où les zombies ont tué le Père Noël » de S.G. Browne est le deuxième opus sur la vie d'Andy Warner, mort-vivant fervent défenseur de l'éthique vis-à-vis des zombies. Bien qu'il se nourrisse de chair, il n'en veut pas particulièrement aux respirants. Si le livre invite à la plaisanterie franche, il nous paraitra un peu moins fendard que le premier volume.
(chronique complète sur le blog : http://livrement.com/2014/11/04/browne-s-g-le-jour-ou-les-zombies-ont-devore-le-pere-noel-tome-2/)
Lien : http://livrement.com/2014/11..
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J'avoue que je ne savais pas du tout dans quoi je me lançais avec cette lecture et si c'était du contenu pour adolescent ou pour adulte. Au final, j'en ai déduit que c'était pour les adultes vu les mots utilisés et les références. L'histoire est forte courte et à peine dedans, on a déjà terminé le livre. J'aurais bien voulu avoir plus de contenu pour savoir ce que vont devenir ces zombies.
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Sacré découverte, j'avais hésité à acheter ce livre n'étant pas fan des zombies. Mais les zombies de ce livre n'ont rien à voir avec ceux des films d'horreur.

J'ai tellement adoré cette histoire de Noël zombiesques que j'ai dévoré le livre en une soirée !

Je n'avais pas lu le premier livre et je vais rapidement corriger celà.

Je conseille vivement ce récit déjanté et drôle.
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J'aime Noël. Oui, c'est vrai. J'aime aussi les licornes, les fées, les paillettes, les mojito fraise, les trucs gore et le black metal. En revanche, je déteste par dessus tout les histoires débiles de Noël. Vous savez, le genre d'histoires où un type plein aux as tombe amoureux d'une pauvre fille, la fait monter dans sa Porsche et finit par lui faire 3 mômes. Je déteste ça, moi...

Donc, pour honorer mon challenge de Noël, j'ai décidé de chroniquer ce petit bonbon d'humour et de décomposition, qui patientait sur ma PAL depuis un bon moment, la suite tant attendue du sympathique "Comment j'ai cuisiné mon père, ma mère... et retrouvé l'amour" de l'américain S. G. Browne.

Si je devais adapter ce roman au cinéma, je choisirais Robert Rodriguez comme réalisateur tant on hésite à chaque page entre humour et horreur. On suit les mésaventures d'Andy Warner, zombie de son état, qui milite pour ses droits et ceux de ses potes putréfiés. Suite à une terrible méprise (Andy s'échappe d'un labo de tests expérimentaux grâce à un costume de Santa Claus), une petite fille se met à lui coller aux basques, persuadée qu'il s'agit du vrai père Noël... Et les morts-vivants, opprimés par les "respirants", le choisissent comme leader suprême dans la voie semée d'embûches de la liberté...

Que les âmes sensibles et les elfes de Noël s'abstiennent. L'auteur taille dans le gras, ça gicle et ça éclabousse, ça ne fait pas dans la dentelle. Une très jolie histoire de Noël, donc.
Lien : https://www.instagram.com/bi..
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Lu dans le cadre du Cold Winter Challenge, j'ignorais qu'il s'agissait d'une suite . Néanmoins, il est tout à fait possible de le lire en tant que one shot.
L'histoire a une bonne base mais elle n'est pas assez développée.
Un peu décevant, il y a avait beaucoup de longueurs. Les moments censés être un peu humoristique ne m'ont pas forcément fait rire.
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S.G Browne – le jour où les zombies ont dévoré le Père Noël
par Dareel
L'intrigue

Pauvre Andy Warner. L'ex-star contestataire des morts-vivants a passé une année entière soumis à des tests expérimentaux dans un laboratoire de recherches sur les zombies dans l'Oregon. Heureusement, un miracle se produit : à quelques jours de Noël, il parvient à s'échapper et fausse compagnie à ses poursuivants en enfilant un costume de Santa Claus. le déguisement parfait… À deux réserves près : des collègues de décomposition le reconnaissent et exigent de lui qu'il soit leur chef ; et une adorable fillette solitaire le suit partout, convaincue qu'il est vraiment le père Noël… Une comédie horriblement délicieuse à lire sous le sapin.


Chronique

J'avais eu un coup de coeur pour le premier tome de cette série de S.G Browne, visible ici !

Si le coup de coeur ne s'est pas renouvelé ici, j'ai tout de même beaucoup apprécié ce livre qui se lit très rapidement et facilement.

Après la révolte organisée par Andy et les siens, nous le retrouvons emprisonné dans un laboratoire où il a passé plus d'une année à se soumettre à des tests spécifiquement ciblés sur les zombies. le but ? Découvrir comment fonctionne leur système de régénération des cellules pour guérir des maladies, voire atteindre l'immortalité. Andy n'est pas seul, d'autres zombies sont victimes de ces expériences, et lorsqu'il va finalement réussir à s'échapper grâce notamment à l'aide d'un ami, une seule chose va par la suite l'obséder : aller libérer cet ami qui n'a pas eu la chance de pouvoir s'échapper.

Dès lors, on est embarqué dans un tourbillon de péripéties toutes plus cocasses les unes que les autres.

J'ai aimé retrouvé Andy, et j'ai aimé en savoir plus sur ses sentiments vis-à-vis de sa famille qu'il avait perdue, même si le quiproquo était plutôt frustrant. On est replongé dans l'histoire d'un « gang » de zombies unis pour le pire et surtout pour… le pire !

Le tout avec une touche de tendresse grâce à l'histoire de la petite fille délaissée de sa maman, petite fille qui n'aspire qu'à une seule chose : aller acheter un sapin de Noël avec sa maman. Autant vous dire que cette gamine va faire fondre le coeur déjà bien décomposé d'Andy !

Alors oui c'est parfois dégueu, on est tout de même dans un univers de zombie, mais jamais trop, puisque la plume de l'auteur et le contexte rendent le tout humoristique. J'ai aimé retrouvé les petites phrases clin d'oeil, les jumeaux, l'univers en général !

Mais je ne sais pas trop pourquoi, même si on nous parle de laboratoire et d'expérimentations assez hardcores, le côté « condition des zombies » qui avait pu m'émouvoir et me scandaliser dans le premier tome (oui, faut le faire !), n'a pas du tout fait son effet ici, probablement parce que l'auteur nous explique bien que les zombies ne sentent pas grand chose côté douleur… le psychologique jouait plus dans le premier livre.

Bref, ça reste un moment de lecture très divertissant que je recommande !

Chroniques Livresques

En deux mots

Une suite réussie, toujours pleine d'humour et d'action !

Une touche de tendresse avec l'histoire entre le Père Noël et cette étrange petite fille.

A lire sans hésitation !

[Informations livre : S.G Browne – le jour où les zombies ont dévoré le Père Noël | Editions Mirobole | Horreur / Humoristique | 222 pages | 19€]
Lien : http://www.chroniques-livres..
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Un petit roman qui se lit en moins de deux, à caler entre deux pavés par exemple, ou lorsque vous avez besoin de vous détendre. Drôle et touchant, une comédie déjantée totalement adaptée à cette période de l'année.
Lire ma chronique :
Lien : http://www.limaginarium.fr/l..
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C'était... divertissant. Je n'ai pas d'autre mot en tête, ça se lit très vite, l'action est rapide, on s'attache aux personnages mais je trouve qu'on ne s'inquiète pas vraiment pour eux. le personnage d'Andy est très réussi je trouve, j'aime beaucoup sa façon de vivre sa "mort-vie", mais c'est vrai que je n'ai pas ressenti de besoin intense de lire la suite. Par contre si je peux donner un conseil : ne commencez pas à le lire pendant un repas.
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S.G. Browne et ses délires zombiesques m'avaient captivée dans le tome précédent. Avec cette suite, mon avis est, à ma grande déception, beaucoup plus mitigé.

Pour commencer, le roman est très court. Avec ses deux cents vingt pages, ça sentait un peu le roussi. Mais je ne m'attendais absolument pas à ce que tout soit aussi vite expédié.

Déjà, l'histoire débute un an après les événements de Comment j'ai cuisiné mon père, ma mère et retrouvé l'amour. Moi qui pensais, après la fin très brusque du roman, retomber ici dans le vif du sujet, je me sens un peu bernée et sur ma faim. On a l'impression qu'il y a un gouffre entre les deux histoires et peu de liens entre elles finalement. Ce sentiment est d'ailleurs accentué par le fait qu'on parle très peu des personnages de l'autre tome, qui avaient quand même une sacrée importance à mon sens.

Ensuite, l'auteur n'innove pas, ils se contente de reprendre deux trois éléments qui marchaient dans le tome précédent et de les accommoder ici à la sauce conte de fées de Noël. L'intrigue est très faible, ponctuée d'énormément de facilités qui ne laissent que peu de suspense.

J'ai de plus trouvé que l'histoire avec Annie, était mal exploitée, trop bancale. Ça n'a pas vraiment de rapport avec l'histoire principale et on se demande au final ce que ça vient faire là. Certes, c'est plein de bons sentiments, mais justement, peut-être un peut trop.
Au lieu de se concentrer là-dessus, j'aurais aimé que l'intrigue relative au centre de recherches soit plus poussée. Ça me semblait très important, et ce n'est pourtant que survolé. le personnage de Shanon aurait également mérité d'être plus utilisé.

Bref, vous l'aurez compris, je ne suis pas convaincue par cette suite que j'avais pourtant hâte d'attaquer. Si le cynisme de l'auteur est toujours plaisant et que j'étais tout de même contente de retrouver Andy, l'histoire m'a semblé creuse et assez vite pliée. J'en attendais beaucoup plus.
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