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Block 109 : S.H.A.R.K.
Vincent Brugeas (Scénario) & Ryan Lovelock (Dessin)
• Akileos

Sixième volume se déroulant dans l'univers Block 109, et c'est celui ci qui aura été mon préféré.

Dans ce volume, direction l'Australie, dans une prison où des milliers de soldats nazis sont enfermés. C'est la que débarque Worth, un australien, membre du S.H.A.R.K, un groupe fasciste australien, fidèle aux nazis, sans pour autant être apprécié par ces derniers qui les considère comme inférieur.

Le but de Worth ? Prendre contact avec le caïd nazis de la prison afin d'organiser une évasion.

J'ai beaucoup aimé le personnage de Worth qui est vraiment intéressant à suivre, le scénario arrive à nous surprendre, et l'arrivée de Lovelock aux dessins fonctionne vraiment bien.
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Cet opus fait partie de la série uchronique Block 109 où l'Allemagne nazie domine le monde mais sans avoir totalement gagné la guerre. Hitler a été assassiné et remplacé par un pire que lui et l'Allemagne s'est servie du feu nucléaire pour anéantir les alliés. Bref, on perçoit les fantasmes d'une guerre gagnée par nos ennemis. Sur le principe, j'adhère assez peu. Les anciens combattants se retourneraient dans leur tombe.

De manière générale, la série est plutôt inégale dans son ensemble. Cela ressemble à un gros pétard mouillé. de bonnes idées mais assez mal exploitées, le paroxysme étant une attaque virale sur New-York transformant ses habitants en monstres sanguinaires. On aura tout vu ! L'histoire s'arrête en 1953 avec la destruction totale du monde. Bref, fin de l'histoire.

Pour autant, Shark sort plutôt bien du lot malgré un dessin toujours aussi approximatif. Bon, on devine tout de suite les intentions de notre héros balancé dans une prison australienne. A noter que l'Australie est l'un des rares pays à avoir échappé à l'holocauste nucléaire dans cet univers. le point fort est une construction linéaire qui va à l'essentiel dans ce huis-clos carcéral. C'est un peu différent des autres oeuvres de la série. Je reconnais que ce 6ème tome est plutôt une réussite dans une oeuvre globalement ratée.
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On retombe dans l'inégalité de la série. Après deux tomes plutot aboutis (par rapport au reste de la série) on retrouve les défauts que je trouve à la série : des idées, beaucoup d'idées, mais un traitement brouillon et superficiel.
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L'Histoire remaniée, un dénouement inattendu, des dessins et des couleurs très réussie.
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EXTRAIT "Cela faisait un moment que Ritter Germania, la dernier album de la série, avait été publié, il y avait donc de l'attente, à lire un nouvel opus. L'attente s'est avérée payante car Vincent Brugeas réussi à produire un récit encore différent de ce qu'il avait réalisé jusque là, une histoire qui m'a réellement surpris. Je me suis laissé embarqué par le fil du récit et lorsque le tournant est arrivé, je n'ai pas vu venir le ressort scénaristique. Alors même que j'avais quelques infos sur le scénario, via la page facebook du label Vinwatt du duo d'auteurs. C'est donc réussi. le lieutenant Worth est un excellent héros, ce genre de bad guy avec une énorme présence comme on peut les aimer. "
Lien : http://chroniquesdelinvisibl..
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S.H.A.R.K. s'avère être l'avant-dernier de l'univers unchronique de la série Block 109, dont nous avons chroniqué toutes les précédentes bandes dessinées sur Les lectures d'Arès. Si l'on retrouve une nouvelle fois Vincent Brugeas au scénario et Ronan Toulhoat au storyboard, c'est cette fois-ci Ryan Lovelock qui se colle au dessin. Et force est d'avouer que l'on se régale de son talentueux coup de crayon, qui campe parfaitement l'ambiance moite et hostile du camp de détention de Rabbit Flat. Car S.H.A.R.K. se joue une nouvelle fois de la véracité historique en nous amenant en 1946, à l'heure où les forces américaines du Pacifique ont trouvé refuge en Australie et Nouvelle-Zélande, alors que de son côté le Premier ministre britannique entame des négociations secrètes avec l'Allemagne. Cette dernière a en effet pris l'avantage dans le conflit mondial qui déchire le globe. Rabbit Flat, tout droit sorti de l'imagination débordante des auteurs, n'est rien de moins que « le plus grand camp de prisonniers d'Australie regroupant près de 4000 détenus de guerre allemands, dont une majorité de SS, ainsi que des activistes du S.H.A.R.K. », nouveau parti politique australien réclamant à corps et à cris un armistice avec l'Allemagne pour concentrer l'effort de guerre national contre le Japon.
Si, comme nous l'avons dit plus haut, Ryan Lovelock s'en sort brillamment au dessin, Vincent Brugeas peine cette fois-ci à nous proposer un récit haletant. Sans aucunement parler de déception, le personnage de l'infiltré incarné par le détenu Worth n'a rien d'une folle originalité. Cependant ne faisons pas trop la (...)
Lien : http://leslecturesdares.over..
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