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Citations sur Sans raison... (49)

Un nouveau message. je clique dessus. "Il faut bien que le papa en profite. Sept". Juste en dessous, il y a un lien sur lequel je peux cliquer, ce que je fais. Je suis automatiquement redirigé vers un serveur qui contient une vidéo. Je lance la lecture du fichier. C'est le début de l'horreur.
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"Et il reconnaît ce regard, car ce n'est pas la première fois qu'il le voit. C'est le même qu'il a vu sur le visage de tant de personnes qu'il a croisées et qui avaient perdu un proche dans des circonstances horribles, ce même regard exprimant la tristesse et le désespoir, ce même regard assoiffé de justice."
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" S'il me restait une once d'humanité, elle vient de disparaître"
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« Papa, est-ce qu’ils ont retrouvé maman ? » Que dois-je répondre à cette question ? Comment réussir à le protéger le plus possible ? Et comment lui dire que quoi qu’il arrive, sa mère ne sera plus jamais la même ?
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Quand il rentre chez lui , Josey Kowalsky trouve sa maison en désordre et sa femme et sa fille ont disparu .... quelques jours plus tard , les 2 corps sont repêchés dans la Seine .
Avec les quelques éléments de l'enquête que la police possède, il va, aidé par son père , partir à la recherche de ceux qui ont fait ça et avec toute sa haine, les faire souffrir ...
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Comment se relever d’une telle épreuve ? La réponse ne tarde pas à venir. Je m’appelle Josey Kowalsky et en me regardant observer les cercueils de ma femme et de ma fille, mon père comprend. Il comprend que là, au milieu de cette chapelle, son fils est mort. Il vient d’assister, impuissant, à la naissance d’un prédateur.
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Pousse toi de là ! Tu es peut être un crack sur le terrain, mais devant un écran, tu me fais penser à Cro-Magnon découvrant un briquet.
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Dans la mythologie grecque, Cerbère était le chien à trois têtes qui gardait l'entrée des enfers. Je vais leur apporter le nocher. Je serais Charon le passeur. Et je vais prendre mon rôle très au sérieux.
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Nous approchons de notre petit pavillon situé dans un lotissement de Mérignac, en banlieue bordelaise, quand tout à coup les yeux me brûlent, une camionnette de couleur sombre circulant en pleins phares se dirige droit sur nous.
Je fais une embardée sur le trottoir et les quelques poubelles situées sur ma trajectoire volent au-dessus du capot.
J’immobilise la voiture dans un crissement de pneus, et après avoir vérifié que William va bien, je sors furieux :
« Arrête-toi, espèce d’enfoiré ! »
Le véhicule s’éloigne en faisant des zigzags. Impossible de lire la plaque d’immatriculation, il est trop loin.
Après avoir fait le tour des dégâts occasionnés par les poubelles, je reprends le volant et parcours les quelques rues qui nous séparent de la maison.
En arrivant, je constate qu’il y a des traces de pneus sur la pelouse et que la niche de Nemrod, notre chien, a été enfoncée.
Soudain, mon coeur s’emballe. La porte d’entrée est grande ouverte et la lumière qui vient de l’intérieur s’étale dans la petite allée de gravier qui traverse notre jardin.
J’arrête la voiture devant la maison et je me précipite. À peine ai-je passé le seuil de la porte que je reste paralysé par le spectacle qui s’offre à moi. Le salon est entièrement retourné, il y a des bouteilles de bière vides dans toute la pièce et la télévision est renversée avec le pied de la lampe halogène figé dans l’écran.
« Christine, Katie… CHRISTINE ! Où êtes-vous ?
– Papa, qu’est-ce qui se passe ? »
William vient de rentrer, il observe la scène, hagard.
« Papa, où est maman ? »
Sans prendre le temps de répondre, je monte à l’étage pour inspecter les chambres. Je regarde sous les lits, dans les placards, j’appelle ma femme de toutes mes forces.
Pas de réponse.
« Calme-toi et réfléchis, me dis-je à haute voix. O.K., d’abord les secours, ensuite… mais merde qu’est-ce qui se passe, elles sont où nom de Dieu ! »
Le téléphone, trouve le téléphone.
Mes pensées sont désordonnées.
Je redescends les escaliers en courant et j’aperçois William planté au milieu du salon. En voulant l’agripper par les épaules afin de l’entraîner dehors, je m’aperçois qu’à nos pieds le sol est maculé d’un liquide sombre. Je comprends tout de suite de quoi il s’agit et prends peu à peu conscience de la gravité de la situation.
Une fois dehors, je sors mon téléphone portable de ma poche et compose le numéro de police secours.
Le temps semble s’être figé, je tourne en rond en écoutant le message préenregistré qui me demande de patienter avant d’être mis en relation avec la police. L’attente est interminable.
« Commissariat de Mérignac, j’écoute.
– Oui heu… écoutez, je… je ne trouve pas ma femme, ma fille non plus, et la maison est complètement retournée, dépêchez-vous il faut…
– Attendez ! Attendez ! Calmez-vous, commencez par me donner clairement votre nom et votre adresse, ensuite expliquez-moi la situation. »
Je prends une grande inspiration pour essayer de ralentir les battements de mon coeur et j’essaye de répondre du mieux que je peux aux questions que l’on me pose.
Aussitôt la conversation terminée, je joins mon père. Là encore, impossible d’expliquer ce que je suis en train de vivre.
« Allô papa.
– Josey ? Mais, tu as vu l’heure qu’il est ?
– Papa, il faut que tu viennes chercher William.
– Quoi ! Qu’est-ce qui se passe ?
– Christine et Katie ont disparu, la maison a été mise à sac. J’ai appelé la police et j’aimerais que William ne soit plus là à leur arrivée, viens le chercher s’il te plaît.
– J’arrive. »
Je raccroche, je suis complètement sonné par la situation. Il m’est impossible de réfléchir de façon rationnelle et, tandis que je piétine, un filet de sueur coule le long de ma colonne vertébrale.
Je scrute les environs, sans savoir ce que je cherche exactement, et là, devant le garage, j’aperçois une flaque épaisse qui s’étale et qui grossit à un rythme régulier.
Je m’approche.
C’est encore du sang, et il vient de l’intérieur.
Je me jette sur la poignée et tire de toutes mes forces vers le haut, pour faire coulisser la grande porte.
William hurle, je pars à la renverse.
Pendu la tête en bas, avec la gorge tranchée sur toute sa largeur, Nemrod se balance au bout d’une corde fixée à une poutre de la charpente. Je me relève hébété et prends William dans mes bras pour l’amener sur le trottoir.
Mon père arrive enfin, et dans la foulée une voiture de police avec trois hommes à son bord. Ils nous découvrent prostrés contre le muret qui borde l’avant de la maison......
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S'apercevoir que l'on s'est trompé sur une personne est une chose qui peut nous arriver dans la vie de tous les jours, mais lorsque cette même personne vous faisait sauter sur ses genoux lorsque vous étiez petit, vos sentiments d'entrechoquent et c'est une partie de vous-même que vous ne reconnaissez plus.
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