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Un peu déçue par ce livre dont je n'ai pas relu le pitch, mais qui affiche plus ou moins le sujet dès le départ, attention spoil
J'ai deviné trop vite et j'ai pas aimé la goritude affichée trop souvent (il y a énormément de meurtres dans ce bouquin).
J'ai trouvé ça assez malsain.
Incompréhensible aussi le fait qu'après tout ce qu'il a fait comme coups bas, les gens croient encore à ses mensonges, à ce meurtrier. je sais pas, ça m'a paru vraiment énorme et pas cohérent.
J'ai lu un autre thriller il y a quelques années avec exactement le même pitch et bien meilleur, je ne me souviens plus du titre là de suite, mais bref, c'était bien mieux !
Pour moi, c'était pas très bon, et pas tellement bien écrit non plus.
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Original. Un tueur en série sévit à New-York en 1938. L'on suit les différentes pistes de la police. Un suspect difficile à attraper. Un tueur qui semble fanatique et semble se dédoubler. Petit à petit les runes semblent mener à un ancien rituel nordique.. l'ambiance du livre est très sympathique, bien traitée. Les personnages sont aussi bien développés, complexes. Quelques références à L Histoire comme avec le canular d'Orson Wells. Finalement la partie fantastique pour laquelle je l'avais choisi m'a moins plu que le policier. La fin est intéressante.
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Avis mitigé sur ce thriller fantastique.
Septembre 1938. Un serial killer appelé L'Inquisiteur sème la terreur dans New York. Deux flics de chocs, Jack Byrne ainsi que Scott Summers sont sur ses traces.
Le roman commence comme un thriller-polar. L'écriture est plutôt froide et ne dégage pas particulièrement d'émotion. Il y a comme une impression de film en noir et blanc. Pas désagréable mais pas transcendant. Et puis le récit prend corps et la couleur apparaît, celle du feu et du sang au milieu de la noirceur et de la grisaille. C'est glaçant, de plus en plus violent, les rebondissements sont nombreux, et l'histoire prend aux tripes.
À plusieurs reprises l'auteur nous fait croire que tout est terminé et que le tueur fou est neutralisé mais c'est pour mieux nous affliger et faire croître l'angoisse. J'ai tourné les pages en ayant envie de connaître la suite tout en la redoutant tant l'horreur allait crescendo.
Entre rituels sacrificatoires, mythologie nordique et cérémonial "magique" on est servi.
L'aspect fantastique n'apparaît en fait que très progressivement, d'abord par petites touches jusqu'à un déploiement de forces à la fin. Et c'est là que j'ai déchanté. J'ai trouvé que c'était too much d'autant plus que l'affrontement ultime dans un grand maelstrom fantastique m'a gêné, non pas en lui-même, mais parce qu'il fait naître des questions qui restent sans réponses. Qui sont vraiment les uns et les autres, d'où viennent-ils, comment sont-ils arrivés là et pourquoi ?
Je suis donc ressortie déçue de ma lecture en me disant "tout ça pour ça !?". Quel dommage !
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La couverture sublime (mais avec Aurélien Police aux pinceaux, ça semble d'une parfaite logique), et le pitch alléchant promettaient un thriller aux bons relents de roman noir, mâtiné de fantastique sombre. En réalité, il n'en est rien.

Ce qui frappe d'abord, c'est le style simpliste, voire horripilant, qui abonde en tics de débutants (notamment l'abus d'adjectifs ou d'adverbes pour décrire un personnage ou une situation, en enchaînant parfois cinq ou six à la suite dont certains se contredisent même), trop rarement traversé de fulgurances sur une ou deux lignes puis aussitôt disparues.
Forcément, les dialogues ne sont pas le moins du monde crédibles et naturels, truffés des mêmes mots ou expressions datés qui ne sonnent jamais justes et sortent de l'histoire (si tant est qu'on arrive à y rester plongé).
Pour dire, j'avais souvent l'impression de lire un script de comics des années 60, époque pas franchement réputée pour la qualité de ses scénarios.

Difficile dans ces conditions de s'intéresser à l'intrigue, mais même là impossible de se raccrocher aux branches. Celle-ci s'avère simpliste et prévisible, ne sachant entretenir à aucun moment un quelconque suspense ou tension ; et la fin "over the top" est tirée par les cheveux histoire d'achever sur le plus gros affrontement final possible.
Difficile également de s'attacher aux personnages ou de se soucier de leurs sorts, tant ils se révèlent caricaturaux et creux, en plus d'avoir pour la plupart des physiques de demi-dieux ; mais forcément, quand on reste collé aux physiques des personnages de comics dont ils "s'inspirent"...
D'ailleurs, si au début c'est amusant, l'abondance de noms en référence aux comics ou à leurs créateurs finit par en être indigeste. Un néophyte ne sera pas dérangé, mais quelqu'un qui baigne dans les comics depuis des années les remarquera tous jusqu'à en être lassé, en plus de le faire sortir de sa lecture (en plus de douter de la légalité de la chose).

En toute honnêteté, ça a été une corvée de finir le bouquin, tant je levais les yeux au ciel, dépité/exaspéré, et c'est bien une des premières fois que je râle autant après l'auteur à la lecture du livre.
Je me suis même demandé à plusieurs reprises si je n'avais pas reçu une version différente des autres, vu les quelques bonnes critiques que j'avais pu lire.
Pire lecture de l'année 2016, et de loin, au point de me demander comment le livre a pu être publié en l'état. Constat difficile et qui reste personnel, mais qui a le mérite d'être honnête.
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De quoi ça parle ?
Un horrible tueur sévit dans le New York de 1938. Il signe ses meurtres atroces de mystérieuses runes gravées sur le corps de ses victimes. Scott et Jack, agents du FBI, se lancent à sa poursuite. Ils comprendront bientôt qu'ils ont affaire à bien plus qu'un simple psychopathe et que les crimes commis s'inscrivent dans un projet beaucoup plus vaste et démentiel qui menace jusqu'au Monde lui-même !

« Les Runes de Feu » de Cyril Carau paru aux excellentes Editions du Riez en 2015 est une merveille.
L'auteur nous convie à un thriller fantastique dont on ne sort pas indemne.
Son roman se présente en deux parties. La première que j'ai adorée, revêt les atours du thriller « classique » avec une enquête magistrale et pleine de suspense qui nous laisse haletant. Qui est ce mystérieux tueur ? Un psychopathe particulièrement retors ou plus que ça ? le rythme, l'écriture, vous portent comme dans un Page Turner de haut niveau.
La seconde partie est celle du fantastique pur. le lecteur bascule dans un autre univers ténébreux et d'une cruauté inouïe. Les scènes se succèdent à un rythme infernal jusqu'à une conclusion en forme d'apothéose, d'apocalypse morbide. L'auteur convoque alors la mythologie nordique pour un affrontement de titans intemporel.
La fin peut-elle être heureuse après un tel déferlement ? Je laisse le soin au lecteur de la découvrir.
J'ai donc adoré « Les Runes de Feu » de Cyril Carau. Son écriture est riche. Ce n'est pas celle d'un banal faiseur et même si parfois il abuse de certains effets et mots rares, je le tiens comme l'un des meilleurs stylistes de sa catégorie.
Le cadre historique parfaitement documenté, les personnages attachants, la belle culture de l'auteur, rendent en outre parfaitement crédibles les (mes)aventures de Jack et Scott.
Je conclurais en vous disant que ce roman, s'il est noir, n'en est pas pour autant dénué d'humour. L'amateur de comics se réjouira ainsi des nombreux clins d'oeil qui y figurent.
Bravo donc pour ses « Runes de Feu » qui vous marqueront, je n'en doute pas, du même fer indélébile que moi.
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Un excellent polar fantastique très addictif.
On assiste aux débuts du FBI dans un New York balayé par une tempête. L'intrigue à tiroir nous surprend et nous mène a un final dantesque !
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Un roman exaltant qui laisse une trace indélébile pendant quelques jours après sa lecture, il est vraiment difficile de passer à autre chose ensuite. Cyril Carau réussit un coup de maître avec ce thriller saupoudré d'une touche de fantastique. Il n'y a pas à dire les éditions du Riez sont une valeur sûre…

Fin 1930 à New York, d'horribles crimes rituels sont perpétrés, le tueur surnommé « L'inquisiteur » mutile atrocement ses victimes en leur gravant à même la chair des runes et les tuent dans d'atroces douleurs. Deux enquêteurs du FBI sont mis sur l'affaire pour tenter d'arrêter le tueur en série ; Scott Summers et Jack Byrne. Aidés par des archéologues dont l'intrigante et jolie Coraline Starlin dans la compréhension des runes, les enquêteurs pataugent face au meurtrier. Alors qu'une énorme tempête approche à grands pas des côtes américaines, le tueur semble user d'étranges pouvoirs obscurs pour nuire à ses victimes de plus en plus nombreuses.

Les personnages sont tous attachants, les bons comme les méchants, ils sont chacun fouillés, travaillés et bien dépeints. de superbes personnages mis en scène dans une ambiance polar des années 30 ; mystère, chapeau melon et jazz. Pour ne citer que les plus marquants ; Scott Summers est un géant, ancien vétéran de la premier guerre mondiale dont les tranchées l'ont gravement marqué. Il est fraîchement divorcé, vit seul et de caractère solitaire, on sent qu'il baigne dans la solitude. C'est un grand enquêteur qui a de la bouteille et qui dégage beaucoup de charisme, le genre d'homme aux stigmates physiques qui lui confèrent une aura rassurante et un charme sexy. Jack Byrne est le partenaire de Scott, jeune marié, il porte une beauté masculine que la gente féminine apprécie. C'est un jeune enquêteur prometteur, proche du génie, très protecteur, courageux et qui ne lâche rien, seul ses émotions peuvent le faire vaciller. Enfin, il y a Coraline Starlin, la jeune prodige archéologue, elle travaille sur les traductions des runes retrouvées sur les corps des victimes, c'est une belle jeune femme de caractère qui ne laissera pas un des enquêteurs indifférents. Les personnages secondaires ; membres du FBI ou proches des enquêteurs sont aussi soignés. Des personnages qui ne seront pas épargnés par les morts violentes, atroces, angoissantes, pas forcément sanguinolentes mais on ressent vivement l'horreur des meurtres.

Ce roman présente de grandes qualités et se lit aisément. L'écriture de Cyril Carau est fluide et n'abuse pas de fioritures, jamais le lecteur ne bute ou n'est ralenti dans sa lecture, les mots sont justes, les expressions fouillées et le vocabulaire pleinement travaillé. On ressent tout le travail d'écriture mais aussi de recherche de l'auteur dans ses thématiques principales ; l'historique du FBI et la mythologie sombre nordique. Cela induit un certain réalisme et une atmosphère inquiétante qui promet quelques moments effrayants. L'ambiance du roman est d'ailleurs ténébreuse et légèrement horrifique, la touche de fantastique subtile y est pour beaucoup. Les rites sataniques ou démoniaques donnent une aura incroyablement noire, des meurtres d'une extrême violence même si l'auteur dose ses descriptions, il ne joue pas dans la catégorie du « gore » mais plutôt dans la subtilité, « la peur de l'invisible », le tout empreint de mythes nordiques. Ajouté à cela l'une des plus grosses tempêtes qui vient mettre son grain de sel, et cela achève de créer cette atmosphère limite suffocante. L'intrigue est bonne, on croit deviner l'identité du tueur puis l'auteur nous désoriente, vient pimenter cette énigme, chaque fois que l'on croit trouver la solution, les interrogations et les surprises s'accumulent. L'auteur joue avec nos nerfs, nos émotions et ne nous épargne rien. On a envie de crier, de hurler même notre indignation, de pleurer face à certains sacrifices, parfois même de fuir en refermant notre livre, nos sentiments sont franchement malmenés. Par ailleurs, le thriller est intelligent et l'enquête est rondement menée. L'histoire est originale et surprenante, l'aspect fantastique est justement dosé et suffit à rendre crédible l'ensemble de l'intrigue jusqu'au final un peu plus alambiqué, époustouflant, majestueux ou grandiose, peu importe, la fin est juste énorme ! Certaines valeurs traversent le temps et les mythes…

Il faut par ailleurs ajouter une mention spéciale à l'illustrateur de la couverture ; Aurélien police, qui a su parfaitement créer l'ambiance qui se dégage à la lecture de ce roman ; une ambiance énigmatique et oppressante, des couleurs au choix des images imbriquées les unes dans les autres. C'est juste splendide et très juste !

En bref, belle réussite que ce thriller fantastique à l'ambiance extraordinaire que l'on dévore. Difficile de ne pas être embarqué et happé dans cette enquête haletante, dépaysante et terriblement prenante au final incroyable. Chapeau bas à l'auteur !
Lien : https://songesdunewalkyrie.w..
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En 1938, aux États-Unis, l'inquisiteur de la Nouvelle Angleterre laisse derrière lui un chemin de victimes torturées, au corps scarifié de runes nordiques. le FBI mène l'enquête et tous ceux qui gravitent autour de l'affaire sont emportés dans un tourbillon de violence et de peur…

Les Runes de feu est un thriller mené tambour battant, un piège pour les lecteurs sensibles aux ambiances noires, aux plongées dans l'enfer intérieur des tueurs, car chaque fin de chapitre appelle à se jeter sur le suivant. C'est donc un livre qu'il vaut mieux débuter un soir de week-end sinon gare à la nuit blanche ! Quand on débute le récit, on prend l'affaire en route, l'auteur n'a pas finassé, de suite, il nous parle de l'autopsie d'une victime, interroge des témoins… on est plongé dans l'atmosphère du crime. Et déjà le danger, la folie, la noirceur s'invitent dans les pages. Très visuelles, violentes, ces premières scènes nous accrochent d'emblée. On est dedans. le style, aussi, efficace, évocateur, nous réserve aussi des pépites de sensualité, des phrases aussi bien tournées que porteuses de sens.

Je ne suis pas très souvent happée par ce type d'ouvrage à suspens, parfois les ressorts de l'action y sont trop factices. Dans ce roman, rien de tel, il fait partie des criantes exceptions. le procédé littéraire largement utilisé se laisse complétement oublié derrière la densité de l'histoire racontée. Elle est originale, très bien documentée, et portée par une intrigue rebondissante, mais aussi des personnages très attachants. Les protagonistes sont une force de ce roman. On ne suit pas seulement les enquêteurs du FBI, les archéologues consultés dans le cadre de l'enquête, mais la famille, les amis de ceux-ci, des suspects, des témoins, des journalistes. Tout un petit monde qui gravite autour des crimes, qui racontent son lot d'histoires parallèles… ou sécantes à l'intrigue principale, là où les destins se croisent dans le sang. Des personnages « vrais », complexes, intéressants, certains nous lancent sur des fausses pistes, d'autres provoquent l'émotion. Et on frémit pour eux, car le roman est habilement construit, parvient vraiment à nous faire peur, nous faire sentir le bord du précipice, nous bluffer : nous faire croire à certaines données de l'intrigue policière avant de lever un autre pan du mystère.

En effet, l'intrigue n'est pas simpliste, ni clichée, et elle est encore enrichie par le cadre historique très recherché, référencé, de cette fin des années 30 : souvenirs guerriers, histoire du FBI, du journalisme et du crime organisé à New York, histoire de l'immigration, de certaines institutions, événements météorologique, culturel, apport de la science, de la mythologie… L'auteur est parvenu à recréer avec justesse une époque, une ambiance, une cité en distillant, de plus en plus nettement quand on se rapproche de la fin, des touches de fantastique. Car oui, si on aborde Les Runes de feu comme un thriller historique, l'atrocité, l'impossibilité des crime, nous font peu à peu entrevoir la participation du surnaturel dans l'exécution et les mobiles du crime… Les révélations finales, les derniers chapitres, encore plus fous, plus profondément ancrés dans la folie, la violence, la dramaturgie des destinées des héros nous entraînent très loin de là où on était en se saisissant de l'affaire de l'inquisiteur en compagnie des enquêteurs. Un roman mémorable, si riche qu'il semble en contenir plusieurs.
Lien : https://momentscritiques.wor..
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Dans un décor et une ambiance parfaitement dépeints des USA à la fin des années 30, l'auteur met en scène des agents du FBI durant une enquête aussi terrible qu'intense. le tueur surnommé par la presse « l'Inquisiteur de la Nouvelle-Angleterre » kidnappe et torture ses victimes de façon abominable, en gravant des runes incandescentes sur leur corps. La dernière victime est une jeune fille et tandis qu'un des héros, Scott Summers, croit avoir arrêté le coupable, des événements incroyables voient le jour. Avec son coéquipier, Jack Byrne, et d'autres agents, ainsi que des archéologues de l'université Columbia, dont la belle Coraline Starlin, ils se lancent dans une course-poursuite pour mettre fin aux sinistres agissements du monstre. Peu à peu les motivations de l'Inquisiteur sont dévoilées, les crimes seraient des rituels sacrificatoires.
S'ensuivent des scènes proprement apocalyptiques, avec le déluge de septembre 38, le grand ouragan qui a ravagé la Côté Est des USA, des filatures jusque dans les bas-fonds de New York, en passant par Ellis Island, l'île où arrivent les immigrés du monde entier, la visite des locaux du New York Times et la confrontation avec des journalistes retors, jusqu'à l'émission radiophonique d'Orson Wells « la guerre des mondes » qui joue un rôle surprenant. Meurtres indicibles, tension à couper au couteau, personnages charismatiques, émotions en tout genre, suspense et fausses pistes… rien ne nous est épargné ! Cyril Carau usant de l'art du page-turner avec brio, j'étais incapable de m'arrêter à chaque fin de chapitre et je devais impérativement lire la suite.
Grâce à son style clair, efficace, imagé, quasi cinématographique, j'étais totalement plongé dans cette enquête, ce New York des années 30. J'avais vraiment l'impression de me trouver au sein du FBI, avec leurs équipes, dans leurs locaux, ou à l'OCME (l'institut médico-légal de N-Y), ou durant l'ouragan, à Brooklyn, etc. J'ai frissonné durant les scènes d'angoisse ou de terreur pure ; car il s'agit bien d'un thriller dans le sens premier du terme : un roman effrayant. Si au commencement du livre, on évolue dans un monde totalement réaliste (l'ouvrage est extrêmement bien documenté), avec luxe détail, peu à peu des éléments déconcertants (ou surnaturels) voient le jour pour atteindre leur acmé à la fin, véritable final apocalyptique où tout prend son sens. Ainsi, on comprend enfin qui est qui, quel le but de l'ensemble, et ce qui se joue depuis le début.
Les Runes de feu, véritable roman-somme, est bien plus qu'un roman policier, de terreur ou historique… c'est du pur plaisir en même temps qu'une leçon sur la vie.
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Voilà le bouquin qu'il faut avoir dans son sac. Ces Runes de feu vont devenir vos meilleurs amis le temps d'une parenthèse fantastique. L'auteur nous emporte dans un monde de violence, de drame, de sacrifice et d'amour absolu, ne nous laissant aucun répit, à peine de quoi reprendre son souffle.
Vous tournerez les pages avidement, en tremblant et en maudissant ce dieu tout puissant qu'est l'écrivain. Gare à ceux qui osent vous déranger au milieu d'un chapitre, vous risquez de devenir aussi féroce que l'inquisiteur.
Emporté par toutes ces passions, vous terminerez ce livre en soupirant et la vie ne vous paraitra que plus belle. Alors merci monsieur Carau.


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