Disgrace

- Si jamais tu dois retomber amoureuse un jour, s'il te plait, fais en sorte que ce soit de moi.

L'amour est un sentiment complexe qui ne suit pas une ligne droite. Il évolue en vagues et en boucles, a des hauts et des bas. C'est un sentiment tortueux qui peut, contre toute attente, continuer d'exister au sein des pires chagrins et des trahisons.

- Je pourrais te détruire.
- Ou me sauver.

Sans nos corps l'un contre l'autre, il y avait une réelle possibilité que nous noyions tous les deux dans le néant.

La seule personne responsable de toi, c’est toi. Tu dois te trouver toi-même. Tu dois être ton propre soutien. Sinon tu passeras ta vie à essayer d’être tout ce que tout le monde désire que tu sois, et cent pour cent du temps, ce ne sera pas encore assez. Donc, tu dois te trouver toi-même. À partir de là, tu dois te faire passer en premier. Sinon, tu vas sombrer.

Ça ne veut rien dire être presque mère. Tu as sept enfants, qu’ils soient nés ou non ne retire rien au fait qu’ils ont existé. Ils étaient tes enfants et ils furent aimés pleinement, ne serait-ce quelques brefs moments. Tu es mère, Grace. Je suis terriblement désolé que tu n’aies pas réussi à les garder jusqu’au terme, mais tu es, et tu seras toujours, une mère.

J'avais envie de m'asseoir dans le noir et d'accepter mes sentiments.
J'avais envie de me plonger dans les ténèbres et de laisser partir la lumière.
Je voulais être libre d'éprouver tous les sentiments que je voulais sans craindre le jugement des autres.
Je voulais être libre.
Ne serait-ce qu'une seule nuit...

Mais quand tu zoomed, quand tu regardes de plus près la personne qui se trouve à côté de toi, tu découvre un tas de choses similaires. L'espoir, l'amour, la peur, la colère. Une fois que tu zoomes, tu te rends compte que nous sommes tous semblables sur beaucoup d'aspects. Lorsque nous saignons, ce qui coule est toujours rouge, et même le coeur d'une brute peut se briser. Il ne faut jamais oublier de zoomer.

C’était le genre de livre qui vous serrait le cœur et, une fois que vous l’aviez commencé, même quand vous éprouviez la nécessité de le poser pour souffler un peu, vous continuiez à tourner les pages pour connaître la suite, plutôt que de vous préoccuper d’une chose aussi insignifiante que de respirer. Jackson avait raison, j’adorais cette histoire.

« Il y avait une époque où je croyais que mon père serait éternel. Une époque où il était mon héros et où je croyais qu’il pouvait terrasser tous les méchants du monde. Marrant de voir comment le temps avait fait de mon héros le pire méchant qui soit. Marrant de voir comment la vie avait détruit l’âme de mon père. »