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Critique de Allantvers
Abandonné à mi-parcours, par ennui.
Je n'arrive plus, après La jeune fille à la perle qui m'avait plu, à entrer dans les univers de Tracy Chevalier dont c'est déjà le deuxième roman que je referme avant la fin. Ce n'est juste pas la bonne recette pour moi, je trouve à ces écrits quelque chose de fade qui ne me nourrit pas, malgré un fond historique toujours intéressant.
En l'occurrence, le quotidien d'une communauté quaker vers 1850 aux Etats-Unis. J'adore cette période - toute la deuxième moitié du 19ième aux US en fait - sur laquelle j'ai déjà bien lu et vu de plus relevé; la fabrication des quilts évoquée dans la première partie du livre ne m'a pas intéressée plus que ça; et je me console de rater l'évocation de l'underground railroad dans la deuxième partie en pensant au dernier Colson Whitehead lu cet été sur ce thème.
Cet étalage de justifications pour exprimer que je ne suis pas très fière de cet abandon que probablement l'auteur ne mérite pas. Mais les goûts et les couleurs...
Je n'arrive plus, après La jeune fille à la perle qui m'avait plu, à entrer dans les univers de Tracy Chevalier dont c'est déjà le deuxième roman que je referme avant la fin. Ce n'est juste pas la bonne recette pour moi, je trouve à ces écrits quelque chose de fade qui ne me nourrit pas, malgré un fond historique toujours intéressant.
En l'occurrence, le quotidien d'une communauté quaker vers 1850 aux Etats-Unis. J'adore cette période - toute la deuxième moitié du 19ième aux US en fait - sur laquelle j'ai déjà bien lu et vu de plus relevé; la fabrication des quilts évoquée dans la première partie du livre ne m'a pas intéressée plus que ça; et je me console de rater l'évocation de l'underground railroad dans la deuxième partie en pensant au dernier Colson Whitehead lu cet été sur ce thème.
Cet étalage de justifications pour exprimer que je ne suis pas très fière de cet abandon que probablement l'auteur ne mérite pas. Mais les goûts et les couleurs...
