« Je savais que je ne serais jamais aimé comme ça par lui, et je m’étais résignée. Mais nous, les filles, on aime croire que l’impossible peut arriver... »
Je savais que je ne serais jamais aimé comme ça par lui, et je m’étais résignée. Mais nous, les filles on aime croire que l’impossible peut arriver…
As-tu jamais été amoureuse au point de frissonner à chaque fois qu’il te touche, de passer les nuits à imaginer comment les choses auraient pu se passer s’il avait su la vérité, d’avoir hâte de croiser son regard et de te sentir à l’abri dans ses bras ?
Le sentiment que j’éprouvais pour lui était tellement pur et vrai que j’avais moi-même du mal à y croire.
Il n’était pas difficile de comprendre pourquoi Dylan était tombé amoureux d’elle. Caroline était le contraire de moi, ce qui me rendait terriblement jalouse. Tellement jalouse que je décidai de dire à Dylan qu’il n’aurait jamais aucune chance avec elle et qu’il devait laisser tomber. Seulement, si je faisais ça, je me dégoûterais, et je finirais par lui dire que ce n’était pas vrai.
Vous connaissez cette sensation quand un matin, soudain, sans raison apparente, vous vous réveillez avec une incroyable envie de vous lever, sortir, aller à l'école, étudier, voir vos amis... une envie de vivre à plein régime, en profitant de chaque instant, même le plus insignifiant ? Eh bien, moi, je ne la connaissais pas.
"Dans la vie, il y a des risques qu'on ne peut pas se permettre de courir, et ceux qu'on ne peut pas se permettre de ne pas courir", disait Peter Drucker.
Je savais que je ne serais jamais aimé comme ça par lui, et je m'étais résignée. Mais nous, les filles, on aime croire que l'impossible peut arriver...
Une superbe citation de Confucius figurait en dessous : "L'esprit a beau faire plus de chemin que le coeur, il ne va jamais aussi loin."
As-tu jamais été amoureuse au point de frissonner chaque fois qu’il te touche, de passer les nuits à imaginer comment les choses auraient pu se passer s’il avait su la vérité, d’avoir hâte de croiser son regard et de te sentir à l’abri dans ses bras ?