Player one

"Player One" d'Ernest Cline est un voyage envoûtant à travers un univers où la réalité et la réalité virtuelle se fondent harmonieusement. Ce récit épique plonge les lecteurs dans un monde futuriste où l'OASIS, un univers virtuel, devient bien plus qu'un simple refuge, mais un terrain de jeu où tous les rêves deviennent possibles. À travers les yeux de Wade Watts, un héros attachant en quête de vérité et de victoire, Cline crée une expérience de lecture captivante, mêlant aventure, suspense et nostalgie des années 80. Chaque référence rétro est soigneusement intégrée, ajoutant une profondeur et une richesse à l'histoire qui raviront les lecteurs les plus avertis. Dans la pop-culture des années 80 pour le plaisir des nostalgiques et la curiosité des plus jeunes, tel un chevalier en quête du Graal, Wade poursuit avec détermination un objectif ultime au sein de l'OASIS. Mais au-delà de l'aspect ludique, "Player One" explore des thèmes universels tels que l'amitié, le courage et la persévérance, offrant ainsi une résonance émotionnelle qui transcende les frontières du monde virtuel. Avec une écriture dynamique et un rythme effréné, ce roman va au-delà des limites du simple divertissement pour devenir une expérience immersive qui laisse une empreinte durable dans l'esprit de ses lecteurs.

Je suis arrivée à ce roman après avoir vu le film. Je ne m'attendais pas à grand chose, sinon à revivre un copier coller des aventures de Wade Watts. J'ai pourtant été très agréablement surprise.
Si le film est truffé des références aux années 80, tout en mêlant des références bien plus modernes, notamment à travers les skis des avatars issus de jeux-vidéos bien de notre époque (Overwatch pour n'en citer qu'un), le livre l'est encore davantage. Les défis que Wade traverse, sont différents de ceux du film, même si le fil rouge reste le même et parleront à tout ado des années 80 un peu geek (ce qui n'est pas mon cas) où à ceux que l'esthétique des années 80 fascine, non sans rappeler une certaine série Stranger Things.

J'ai adoré découvrir l'Oasis, et suivre Wade dans cette aventure ! C'est prenant, rythmé, difficile de le lâcher. L'aventure est au rendez-vous ! de l'amitié, de l'amour, du suspense jusqu'au bout, de nombreuses références aussi. Beaucoup m'étaient inconnues mais ça ne m'a pas empêchée d'apprécier.
Si vous aimez l'univers des jeux vidéos, de l'informatique, de la culture geek, je n'ai qu'une seule chose à dire, foncez ! Une belle sortie de PAL.
J'ai hâte de voir l'adaptation.

J'ai eu un coup de coeur pour ce roman.
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Je viens de terminer ce roman. Prêt d'un de mes frères, j'avais vu le film que j'avais beaucoup apprécié mais j'avoue que j'ai préféré le roman. Une légère difficulté à rentrée dans l'histoire au tout début pour l'installation de l'histoire, des personnages et du décor. Mais une fois l'histoire lancée, pfff au top! Super moment, des petites références a certains souvenirs de mon enfance !

Informaticien, joueur et né en 1970, je coche toutes les cases pour apprécier ce roman.
Découvert après l'adaptation cinématographique, je souhaitais lire le livre à l'origine.
Bien m'en a pris.
En effet, si le film peut être assez léger voir tourner ses méchants en ridicule, ici le ton est bien plus grave et ne prête pas à rire. L'intrigue en devient donc beaucoup plus crédible.
Par rapport au film, les énigmes sont différentes et l'ont comprend pourquoi car elles font appel à des références bien plus pointues que celles évoquées au cinéma.
Au final, pour ceux qui, comme moi, ont vu le film avant d'ouvrir le livre, n'hésitez-pas à le lire pour découvrir une histoire bien plus profonde (comme toujours) mais aussi suffisamment différente pour ne pas avoir une sensation de déjà vu.

Ça ne m'était jamais arrivé de dire ça, je crois, mais cette fois j'ai préféré le film au livre ! Il faut dire que le film est bien plus dynamique et vivant, alors que le livre est (selon moi) trop lourd en descriptions et temps morts… Alors ça reste un bon livre, bien écrit et très documenté. L'idée principale est là, originale et pleine de « moralité »., et j'ai vraiment apprécié les 100 dernières pages !

Pour terminer je pense que pour les fans de culture pop des années 80, le livre est pour vous, mais je pense passer mon tour pour la suite. :)

Wade est un adolescent livré à lui-même dans un monde futuriste. Dans cette distopie, le monde va mal et les gens se refugient principalement dans l'oasis, un monde informatique complexe créé des année auparavant par James Halliday. Wade fait partie des chassoeufs, ceux qui à l',interieur de l'oasis cherchent le trésor qui y est caché. Wade, alias Parzival va réussi à percer le secret du premier indice.

on plonge très facilement dans cet univers qui ne m'est pourtant pas familier, n'étant pas joueuse. le rythme de l'histoire est trépidant, les personnages secondaires, Aech, Art3mis très riches et les méchants jouent bien leur rôle. L'oasis est truffé de références aux années 80. C'est très agréable à lire.


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Les fans de SF : ne réfléchissez pas, foncez !

Cela faisait un moment que je n'avais pas tourné des pages aussi rapidement. L'histoire est plus que prenante. le récit est ultra fluide et dynamique.

Si vous êtes un enfant des années 80 vous allez certainement nager dans le bonheur. le livre est gorgé de références. Certaines connues du grand publique, et d'autre un peu plus planquées.

On regrette légèrement que le côté dystopie ne soit pas très présent…

Ce roman est un chef d'oeuvre. Recommandé pour les fans de SF et plus encore pour les enfants des années 80.

Elle est pas facile à rédiger, cette critique d'un livre pour lequel j'aurais aimé être l'auteur, et parce que je « suis » le personnage principal.
Oui, je suis Wade Watts, ce jeune homme banal, physiquement, scolairement, émotionnellement, socialement, qui ne vit sa véritable vie qu'à travers un monde imaginaire qu'on appelle la pop culture.
Wade est un geek, un nerd ; moins la culture des jeux vidéos, je suis Parzival. Et son histoire personnelle, lui qui découvre in fine une certaine beauté dans le monde réel, fait écho à la mienne.
Arrêtons là l'auto centrisme, ça n'intéresse que moi et je ne suis pas le sujet.
Tout ça pour dire que Player One s'adressera à l'histoire de chacun pour peu qu'il ait grandi dans ces années 80 qui encore aujourd'hui, plus que jamais aujourd'hui, constituent un bloc culturel qui paraît - à tort certainement - n'avoir jamais été égalé.
D'ailleurs, Ernest Cline, malgré toute la nostalgie de son écriture, sous-entend l'idée que l'innovation de cette période a conduit, aussi bien culturellement que politiquement et socialement, à l'effondrement de la société par la perversion de ces avancées, par l'argent notamment ( et ce fameux quart d'heure de célébrité warholien).
On pourra reprocher à l'auteur une utilisation de la référence un peu trop facile, se contentant souvent de dire « c'est comme dans tel ou tel film ou jeu vidéo », laissant finalement peu de place à la propre découverte de ces références - quand le clin d'oeil est appuyé il perd un peu de sa substantifique moelle. Malgré cela, la structure de l'histoire, la narration, fonctionnent idéalement, même s'il reste un gros passage à vide au milieu du livre (entre les deux premières clés).
On comprend parfaitement enfin ce qui a tapé dans l'oeil de Spielberg, metteur en scène d'une adaptation folle et ô combien supérieure au matériau d'origine - la pop culture y est principalement cinématographique et musicale. le principal artisan des années 80 y dresse son propre miroir dans ce qui constitue un pur chef-d'oeuvre d'une richesse dingue.
Alors merci à toi, Ernest Cline !

Au début, quand je n'avais pas encore beaucoup lu, l'histoire m'a aussitôt effrayé. Dans le sens, où la conjecture actuelle du monde s'approche dangereusement de l'univers.
Pour avoir regardé le film d'abord et lu ensuite, je suis assez étonnée de remarquer qu'il y a de peu, voire zéro, de similitudes entre les deux. Bien sûr, l'univers et les personnages sont les mêmes, mais l'histoire est bien différente.
C'est un roman avec beaucoup de descriptions et d'explications, qui peuvent vite agacer. Je reconnais avoir sauté quelques paragraphes.
En revanche, ceux qui ont peu de connaissances liées aux années "d'antan" peuvent rapidement se perdre. Les références à cette époque sont nombreuses, présentes à chaque page.
En soi, c'est un bon roman qui peut aux premiers abords paraître gros. Ces 400 pages m'ont paru inatteignables lorsque je l'ai commencé. Mais j'étais toute surprise de le refermer !
Une fin malgré tout trop rapide. L'histoire est longue et très détaille, pour une fin expédiée. Mais cet excellent mélange d'univers virtuels et de science-fiction m'a plongé au coeur même de l'Oasis.