Chapitre 2 :
" - Vous êtes un séducteur, n'est-ce pas ?
- Quelle est votre définition du séducteur ? demanda-t-il sans cesser de caresser mon visage.
- Un homme qui trouve les femme interchangeables et accumule les conquêtes. il joue avec elles et le rend folles.
Qu'y avait-il de pire qu'un séducteur ? Un tombeur de touristes.
Sa main descendit et il glissa un doigt sous mon menton.
- Il y a deux choses que vous devez savoir à mon sujet, Victoria. La première, je vais jouer avec vous.
La chaleur m'envahit et se concentra entre mes cuisses. je déglutis.
- Quelle est la deuxième, mon grand ?
Il prit ma nuque dans sa main pour m'attirer vers lui. Il hésita, comme s'il savourait l'idée de m'embrasser.
- Mes jeux vont vous plaire.
Il se pencha et passa ses lèvres chaudes et fermes le long de mon cou."
Chapitre 2 :
" - Combien de fois vais-je devoir le répéter ? lança-t-il d'un ton mordant avec un fort accent. Il se tourna vers moi. JE NE SUIS PAS INTÉR...
Stupéfait, il laissa sa phrase en suspens. J'étais aussi ébahie que lui. Dmitri Sevastyan était renversant.
Son beau visage viril me coupait le souffle et me faisait suffoquer.
D'épais cheveux noirs, des pommettes saillantes. Un nez fin et fier, une mâchoire carrée. Des yeux de la couleur de l'ambre.
Une très belle bête. Je chancelai sur mes talons. Ça ne m'arrivait jamais, sauf pour faire les poches de quelqu'un.
Alors qu'il se détendait d'un cran, ses lèvres pincées prirent un pli irrésistible. De son regard vif, il m'inspecta de pied en cap.
- Vous... souffla-t-il.
Engage la conversation, Vice.
- Moi ?
..."
— Maintenant que je connais ton passé, je tiens encore plus à toi, Dmitri. (Piégée.) Après tous les risques que tu as pris depuis que nous nous connaissons, je vois quel homme courageux tu es.
Il me prit sur ses genoux – comme s’il s’était promis cette récompense une fois qu’il aurait accompli son devoir.
— Et fou aussi ?
L’était-il ? Oui, parfois. Et je n’allais pas le nier.
— Oui, en un sens, mon grand. (Je posai la main sur son cœur.) Mais je continue de préférer un toqué honnête à un menteur sain d’esprit.
— Comment peux-tu être aussi sûr à mon sujet ?
Il me dévisagea de son regard ensorceleur.
— Quand on a passé autant de temps que moi dans l’obscurité, moy ángel, on sait reconnaître la lumière.