Le pays des contes, tome 1 : Le sortilège perdu

- Si vous voulez traverser, vous devez répondre correctement à ma devinette ! répéta le troll. mais si vous vous trompez , je vous croque la tête ! [...]
Qu'est-ce qui peut être aussi minuscule qu'un petit pois, aussi grand que le ciel et n'appartient pas à la personne qui l'achète? demanda-t-il.
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- L'un de vous aimerait des mouches avec son thé ? demanda-t-il en prenant un autre bocal plein d'insectes morts.
- Non merci, dit Conner. J'essaie d'arrêter.

Mais ce que le monde ne comprend pas, c'est qu'un scélérat n'est autre qu'une victime dont l'histoire n'a pas encore été racontée.

En ce moment, nous traversons un mauvais chapitre de notre vie, mais les livres s'améliorent à mesure qu'on les lit !

Le monde choisit toujours ce qui l'arrange, et non la vérité. Il est plus facile de haïr, d'accuser et de craindre que de comprendre. Personne ne veut la vérité ; les gens veulent du divertissement.

But what the world fails to realize is that a villain is just a victim whose story hasn't been told.

« En ce moment, nous traversons un mauvais chapitre de notre vie, mais les livres s’améliorent à mesure qu’on les lit ! »

"I think what I've learned from all of this is that villains are mostly just people villainized by circumstance,"

“I wonder what sleeping for a hundred years does to you. Every morning when I wake up for school, after about the fourth or the fifth time I hit the snooze button, I always think I can sleep for a hundred years. I wonder if you’d wake up super refreshed, or if you’d still be drowsy afterward.”

Les méchants sont souvent des personnes que les circonstances ont rendues mauvaises.