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Critique de mariecloclo


J'ai l'impression d'avoir un peu perdu mon temps en lisant ce roman. Je ne comprends pas trop pourquoi les critiques sont si bonnes pour cet auteur. "La tresse" était pas mal mais déjà un peu artificiel, fabriqué, et plein de bons sentiments, mais là c'est encore pire.
Solenn est une avocate de 39 ans qui a une très belle carrière, un bel appartement au centre de Paris et est très riche. Lors du suicide d'un de ses clients, elle craque et fait un burn-out. Elle remet alors toute sa vie en cause, se rend compte qu'elle n'a pas suivi ses rêves d'adolescente (à savoir écrire un roman ou des poèmes) mais a fait ce que ses parents lui avaient recommandé de faire. Elle n'est pas heureuse, son ami a rompu car elle passait trop de temps à travailler. Elle consulte un psychiatre qui lui conseille de faire du bénévolat pour penser à d'autres personnes qu'à elle. Elle décide alors de devenir écrivain public au "palais de la femme". Il s'agit d'un foyer pour femmes qui a été créée par Blanche Peyron en 1925.
Le roman alterne alors la version contemporaine avec l'histoire de Solenn et l'histoire (vraie) de Blanche Peyron, son engagement dans l'Armée du salut, son combat pour les femmes sdf.
L'intention du roman est bonne mais tout m'a semblé faux, trop didactique, trop appliqué. Beaucoup de bons sentiments, de clichés. On devine dés le début comment cela va se terminer, ce qu'a voulu démontrer l'auteur.
Je sais que désormais je ne lirai plus de romans de Laetitia Colombani.
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