Impromptus' tant mieux. J'ai beaucoup aimé l'inconsolable, la joie de vivre et l'ennui. Et après......Beethoven et
le Joueur de
Dostoievski, je n'ai pas du tout accroché. On sent bien le passionné, l'érudit mais qui se fait plaisir en laissant le lecteur un peu de côté. C'est l'avantage des
impromptus on prend ce qu'on veut, on laisse ce qu'on veut. Je me suis arrêté là. Bon courage.
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