Inspiré d'une histoire personnelle, le roman raconte comment la narratrice (=l'auteure) a « survécu » à une dénonciation aux services sociaux pour maltraitance vis-à-vis de ses enfants. L'auteure indique que c'est un fait qu'elle a vécu suite à une dénonciation (de voisins ?) aux services sociaux pendant le Covid.
La première partie relate les faits, puis on se dirige progressivement vers la fiction où la protection de l'enfance est personnifiée en un personnage appelé le « cousin ».
Il y a une oppression, une tension, la narratrice perd peu à peu pied jusqu'à en perdre sa personnalité.
Le pacte avec le lecteur est flou : on indique au lecteur que c'est une histoire vraie or on bascule dans la fiction dans la 2ème partie, cela crée un malaise.
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