As nom d'une libené imaginaire, fatasnée, lj'ai tout lalssé derriere mol sans etats dme, tout ce qui auralit pu m'assurer une certaine stabliy, une continulités les appartements , les vlles, les objets.
A chaque déménagement-et il y en eut de tres nombreux, j'ai ai tout quitté sans un
regand en arriene, sans emporter le moindre souvenir. Je considérais les atta chements comme des entraves et n'en voulais aucun. J'ai perdu ou jeté tout ce que f'avais écrit, comme si je n'y croyals pas et que fétals sûre
que personne d'autre n'y eroiralt. J'ai fui
toutes les cérémonies, semises de diplômes, prix, promotions et autres moments de célébration, J'ai peu mis en avant mes publications, au lieu de me sentir hère de mes accompilissements J'ai été dure avec mes parents. Je me suis révoltée contre tout, y compris contre ce qui auralt pu me
Je redoute maintenant de commencer à avoir peur, quand je me suls tant battue pour ne jamais me laisser gagner par ce sentiment. Peur de vielillir, peur d'etre malade. Peur de la solitude, mol qui me suis toujours vantée de préférer etre seule que mal accompagnée, qui me moquais de toutes celles et tous ceux
qul acceptaient les compromis affectifs pour ne pas rester celibataires.