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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Le roman commence par le meurtre d'un homme roux... Une ouverture des plus étranges et incompréhensible (on ne saura pourquoi il a tué cet homme que 500 pages plus loin )

Pour résumer :
Edward est élevé par Mrs Glyver qu'il pense être sa mère. Après son décès, il découvre les journaux intimes de cette dernière dans lesquels il apprend qu'il est en réalité le fils de Lord Tansor, donc le 26e baron Tansor. Au fil du récit, il découvre pourquoi sa mère l'a confié à sa meilleure amie pour l'élever, pourquoi son amie a accepté de se prêter à cette supercherie.
De son côté Lord Tansor n'ayant pas d'héritier se prend d'affection pour le fils adoptif d'une cousine par alliance Phoebus Dant. Ce dernier est un être machiavélique prêt à tout pour acquérir l'héritage de Lord Tansor (même à tuer).
Durant tout le récit, l'on sent la haine d'Édouard à l'encontre de Phoebus monté après tout ce que ce dernier à fait pour détruire sa vie (renvoi du collège, mensonge, vol....).

Le récit est une véritable pelote de laine où l'on voit notre personnage principal (Édouard) tenté de s'y retrouvé. Petit à petit, il arrive à amasser des preuves de sa filiation jusqu'au jour où il découvre le document ultime certifiant qu'il est Edouard Tansor . Malheureusement, il a le tort de faire confiance à la mauvaise personne ............

Le récit est captivant, mais par moment il tire en longueur dans des descriptions sans grand intérêt, des passages inutiles... Ce qui est aussi énervant c'est que l'on comprend très vite comment le livre va se terminer (la fin ne m'a pas étonnée ), ce qui est dommage vu le volume de l'ouvrage.
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Edward Glyver tue d'un coup de poignard un parfait inconnu, dans une rue de Londres, en octobre 1854. Quelle raison a poussé ce jeune homme, employé d'un office notarial, à perpétrer ce crime gratuit ?
Le récit débute sur cet épisode avant de retourner bien des années auparavant, dans l'enfance d'Edward. de nombreux personnages se croisent au fil du temps et de la vie d'Edward, vie qu'il croyait toute tracée. Mais il apprend qu'il n'est peut-être pas celui qu'il croyait être ! Débute alors des recherches, des questionnements, des rencontres... jusqu'au geste fatal.
Une vengeance à l'époque victorienne extrêmement bien documentée mais que j'ai parfois trouvée un peu longue.
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Un livre agréable, surtout pour son atmosphère et l'époque dépeinte de manière très convaincante (tout cela semble vraiment bien documenté). le style est aussi très bon. En revanche, le peu de sympathie qu'inspire le « héros », m'a fait me désintéresser tout à fait de son sort, et l'intrigue s'est révélée, en fin de compte, assez prévisible (et s'appuyant sur beaucoup de coïncidences tout de même). Dommage, j'en attendais plus sur le plan thriller. Je suis tout de même curieuse de lire la suite (indépendante du premier tome d'après ce que l'on m'a dit).
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J'ai envie de dire...tout ça pour ça ?
Ce livre m'attendait depuis un moment sur ma PAL. le résumé me tentait bien et en tant que « mordue » d'ambiance victorienne et de romans de Wilkie Collis, je me disais que j'allais passer un bon moment.
Alors on ne peut évidemment par retirer à Michael Cox qu'il écrit bien, et qu'il est très érudit. Mais que c'est loooong, et ça le reste pendant tout le développement de l'intrigue, que personnellement j'ai trouvé faiblarde. A moins d'être passé à côté que quelque chose, mais je ne comprends toujours pas pourquoi Phoebus Daunt prend en grippe le héros principal (il a objectivement de bonnes raisons, mais lorsqu'ils se rencontrent ils ignorent a priori tout l'un de l'autre).
D'ailleurs le héros m'a également déplu : imbu de sa personne et de son intelligence, il se fait berner comme le dernier des imbéciles, il court après un destin qu'il ferait mieux de laisser tranquille.
L'espèce de retournement final n'en est pas un – on le voyait venir depuis un bon moment quand même – les agissement de Lady Tansor sont complétement incompréhensibles (un coup je cache un héritier, et puis un coup non !), et Michael Cox rallonge la sauce encore, et encore, à grands coups de notes de bas de pages (plus de 230), très érudites mais qui n'apportent rien – sinon de montrer son grand savoir.

Pourtant j'ai tenu. Parce que jusqu'au bout j'ai espéré un switch final éblouissant. Ou du moins un affrontement final stupéfiant. Et bien au temps pour moi, parce que ça tombe complètement à plat.
Bref j'ai mis un temps infini à lire, pour être au final extrêmement déçue.
Du coup je pense que je ne lirai pas la suite (sans en être une).
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