Qu'arrive-t-il à notre planète ?

Peu importe notre nationalité, notre religion. Nous faisons tous partie de la grande famille humaine, et il est de notre responsabilité de créer un monde plus sur pour les générations à venir, voire pour celles des prochains millénaires.

Ainsi le consumérisme est la nouvelle religion du monde,une religion du succès. Chaque jour nous lui faisons allégeance avec nos cartes bleues.

Chaque fois que des arbres sont coupés pour l'exploitation forestière, chaque fois qu 'une centrale électrique brûle du charbon et libère des gaz à effet de serre, une entreprise fait des bénéfices. L' appât du gain est le premier responsable de la destruction de la Terre.

Ce processus de transformation est très pénible. Comment change t'on ? Nous savons que nous devons vivre différemment. Nous sommes très bien informés de la crise actuelle, pourtant nous ne faisons rien. Alors comment procéder ?

tous les êtres sensibles ont le droit de mener une existence paisible. En fait, tous les êtres vivants éprouvent les mêmes douleurs et de satisfaction, aussi ont-ils tous le même droit d’exister.

Quand seul l’argent compte, on se fiche de la planète et des conséquences de nos actes. Certains utilisent même leur pouvoir politique et économique pour freiner les progrès des sciences environnementales, qui constituent un obstacle à leur profits.

Une étude qu'Elke (Weber) connait sans doute montre que les gens les plus sensible au changement climatique sont celles qui ont un jardin. Les mutations se produisent sous leurs yeux. Peut être que si tout le monde cultivait son jardin, il prendrait conscience du bouleversement en cours. (p40)

Nous avons la responsabilité morale de faire naître cette conscience chez les gens, et en ce sens, j’apprécie les efforts de tous les intervenants ici présents, en particulier les scientifiques.

le meilleur des système économique dépend des intérêts des donneurs d’ordres, et si leurs motivations ne sont pas altruistes, le système ne résoudra rien.

les gens font comme s’il n’existait que l’économie de marché – alors que ce n’est qu’un modèle parmi tant d’autres. » « (…) nos modèles actuels sont bâtis sur le présupposé qu’une poignée de gens puissants exploitent la majorité des ressources – le schéma classique de l’individualisme insatiable d’Adam Smith