Vox

le bandeau du livre me l'annonçait : « Si vous avez aimé La Servante écarlate, je vous garantis que vous allez adorer Vox ».
Et les premières pages le confirmaient, un départ fulgurant et captivant, promettant un excellent livre, hélas suivi de ratés dans le moteur, puis d'un changement de trajectoire et la dystopie annoncée se métamorphose en thriller de moyenne facture...
Bref, je n'ai pas adoré et la comparaison fait injure à Margaret Atwood !
le point de départ avait pourtant tout pour me séduire et rend plus cruelle encore ma déception.
Les Etats-Unis sont gouvernés par des fanatiques qui veulent reléguer les femmes aux tâches ménagères, et limiter leur discours journalier à maximum cent mots.
C'est une administration américaine pire que la dernière qu'a connu le pays.
Cette idée de base n'est pas exploitée suffisamment à mon humble avis, et le roman s'effiloche.
Je reconnais toutefois qu'il se laisse lire, cela reste un thriller.

Vox surfe sur l'engouement (tellement mérité !) pour La servante écarlate de Margaret Atwood. Pourquoi pas. Cette histoire de bracelet limitant toutes les femmes à cent mots par jour avait un gros potentiel, et j'ai plongé dans ce roman avec une curiosité enthousiaste… Qui pour tout dire, hum, n'a pas fait long feu. Des personnages caricaturaux et sans profondeur, une intrigue bancale, très vite on ne croit plus à la dystopie féministe. Quant au style, il est inexistant. Vox est un beau coup marketing, et une grosse déception.
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En Résumé : Je ressors de ma lecture de Vox plus déçu que franchement emporté. Ma lecture démarrait pourtant de façon percutante, avec des premières pages qui s'avéraient marquantes, pleines de colère et nous brossant un monde qui ne laissait pas indifférent. Sauf que plus j'avançais dans le récit, plus je m'en déconnectait. L'autrice cherchait trop à développer un univers qui manquait à chaque nouveau détail de cohérence, à vouloir construire son récit comme un Thriller / récit d'espionnage mais sans savoir comme faire ce qui donne l'impression d'une mauvaise intrigue et aussi à amener des personnages qui tombent toujours soit dans la caricature, soit dans le personnage vide d'intérêt. C'est dommage le récit avait du potentiel pourtant.

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Nous sommes aux Etats-Unis, dans un monde où les femmes n'ont plus accès aux livres, plus le droit d'écrire, et n'ont surtout plus accès au langage même, car limitées à 100 mots par jour. Une femme, scientifique spécialiste du langage, peut-elle renverser le régime ?
L'intrigue m'a parue originale et tentante, mais passés les chapitres du début, l'histoire s'enlise, et s'éternise… le style est très pauvre, convenu et sans charme, et la lecture très lassante … Décevant !

Très déçue de ce livre que je me faisais une joie de découvrir !

J'étais très intriguée au début par l'idée très originale et terrifiante de femmes dont la parole est bridée par un bracelet compteur de mots et une société dirigée par les hommes. Les femmes ont été privées de leur carrière, de leurs paroles, elles sont réduites à enfanter et à rester à la maison tout en ne dépassant pas quelques centaines de mots par jour. L'héroïne est une ancienne chercheuse spécialisée dans la recherche d'un traitement contre l'aphasie. Un jour, des porte-parole éminents du gouvernement lui demandent de l'aide : le président a eu un accident, il ne peut plus parler. Elle saisit alors cette occasion pour négocier sa liberté d'expression et celle de sa fille.

Jusqu'à ce moment, je trouvais que le livre s'annonçait plutôt prometteur. Puis c'est devenu du grand n'importe quoi. La narratrice oublie complètement ses objectifs, son plan et on assiste à des scènes de cul avec son amant retrouvé qui passe au premier plan. le récit s'accélère, et tout est bouclé assez vite sans que l'intrigue n'ait pu être bien développée, la fin est bâclée. J'ai trouvé que l'héroïne avait parfois certaines réflexions qui n'étaient pas forcément bienveillantes envers certaines femmes alors qu'elle se revendique choquée de ce qui peut arriver à ces mêmes femmes. Bref j'ai trouvé qu'il y avait pas mal d'incohérences, tant au niveau du développement des personnages que de l'intrigue.

Dans des Etats Unis modernes où un parti puritain a pris le pouvoir, les femmes sont dans l'obligation de porter un bracelet, qui les limite leur capacité à parler à 100 mots par jour. L'homosexualité est interdite, tout comme les relations hors mariages ou l'adultère, et les couples mixtes sont mal vus. Nous suivons Jean - ou Gianna, une neurologue spécialiste du language, sélectionnée pour participer à un programme de recherche secret.

Déjà, le scénario de base me gêne un peu. J'adore les dystopies, c'est mon genre de SF préféré, tout ça tout ça. Mais pour qu'une dystopie fonctionne, il faut qu'elle soit crédible. Ce livre ne l'est pas. Bien sur, on peut débattre du puritanisme grandissant aux Etats Unis, et du sexisme et du patriarcat rampant, mais ceci est juste TROP. Si tout le monde avait un bracelet, paradoxalement, je pense que cela serait bien mieux passé. Je n'arrive pas à croire un seul instant à la réalité du livre. D'autant plus à l'heure d'internet et de la mondialisation des informations.

Le livre est … Raté. Désolée, c'est surement très dur, mais c'est le meilleur mot, selon moi, pour décrire ma vision du livre. Une dystopie doit se construire sur des décennies, sinon plus, pour être crédible. On nous fait croire que la totalité (ou presque) de la population des USA est devenue ultra-chrétienne en l'espace d'un mandat présidentiel, et que les femmes se sont laissées bien gentiment mettre en laisse sans sourciller, et sans que la communauté internationale ne fasse quoi que ce soit. Je presse X pour douter. L'histoire n'est pas aidée par des personnages plats et fades, et par le fait que tous sont littéralement sauvés par un homme … Dans une histoire pseudo-féministe. Je ne suis certainement pas le public, car ce livre ne m'a juste pas du tout touchée. je l'ai just fini le plus vite possible pour ne plus rien avoir à faire avec. Dommage, car le prémisse est super intéressant, la couverture magnifique … Mais non. Désolée, au suivant !

N'est pas Margaret Atwood qui veut! L'idée de départ est plutôt bonne (bien que pas très originale) car elle fait penser à "La Servante Écarlate") mais j'ai eu l'impression que ce roman avait été écrit "à la va vite". J'ai trouvé le style très plat. J'ai été déçue et je me sui sdépêchée de le finir.

Non. Ce n'est pas parce que vous avez aimé " La servante écarlate " que vous aimerez ce livre ! Certes l'idée est intéressante : un régime totalitaire qui veut condamner les femmes à l'aphasie avec la complicité des hommes, voilà bien de quoi s'indigner ! Mais l'idée ne suffit pas pour devenir Margaret Atwood. L'écriture est fade, les personnages superficiels et l'action peu convaincante . Peut se lire jusqu'au bout malgré tout !

C'était bien parti. Un quatrième de couverture captivant, un début prometteur mais finalement le concept du bracelet n'est pas développé et ne mène à rien. La deuxième partie est basée sur les relations extra-conjugales du personnage principal et sur l'expérience scientifique. La fin est juste bâclée

Un sujet passionnant : faire taire les femmes. Assujetties, bâillonnées par le patriarcat.
Plus aucun droit (aucun accès aux livres).
100 mots. Pas un de plus. Munies d'un bracelet qui leur fournit une décharge électrique. Avec une option sans blasphèmes et grossièretés.

❌ Patin de bretzel de merle !!! (Référence à la série "the good place" 😉), j'ai plongé dans ce roman avec une curiosité aiguisée !

❌ Après quelques chapitres, la déception en a été d'autant plus cruelle...

❌ D'abord le bandeau... Un beau coup marketing ! Une publicité mensongère ! Dans "la servante écarlate" (que je vous recommande vivement), Margaret Atwood décrit avec brio une société, une idéologie...
Là, c'est plat...

❌ le roman aurait pu être angoissant, fascinant mais :
❌ L'univers n'est pas assez exploité, développé à mon goût. Oui, il y a quelques idées intéressantes mais elles sont traitées de manière superficielle.
❌ Les personnages m'ont semblé bien fades. Les méchants sont juste méchants parce qu'ils veulent que les femmes restent à la maison...
❌ L'histoire s'enlise autour d'une romance inutile.
❌ La fin m'a paru bâclé. Et les sauveurs, pour un roman qui se veut féministe, sont des hommes !

❌ Bref, une cruelle déception !
Mon avis n'engage bien sûr que moi 😅
L'avez-vous lu ? Connaissez-vous d'autres dystopies aussi intéressantes que la Servante écarlate ?
Belle journée et bonne lecture 😊