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Critique de rotsenamrub
Passionné par le Sud-Est asiatique, je ne pouvais passer à côté de ce roman mais, le refermant, je reste dubitatif.
Côté positif, l'auteur connait indubitablement bien la région qu'il dépeint de façon très réaliste. Grace à lui j'ai eu le plaisir de me remémorer ma lente remontée du Mékong en barge jusqu'à Luang Prabang dans les années 90.
Côté négatif, la facture s'alourdit !
L'intrigue d'abord, "espionnage /organisation secrète", tout ça n'est guère bien ficelé.
Ensuite, certains parachutages dispensables dans le contexte comme son autoportrait "Du côté de chez Proust" et sa critique, au demeurant tout à fait probante, de la nouvelle éponyme de Lyon Sprague de Camp et Lin Carter.
Jusqu'ici rien de grave ! mais m'ont viscéralement atterré ses velléités pathétiques de classifier les femmes en fonctions de leurs supposées compétence et caractéristiques sexuelles, étayées des clichés les plus ridicules prêtés aux Africaines et aux Asiatiques.
Pour finir j'ai évidemment fait le parallèle avec Conrad et "Apocalypse now", j'y ajouterai l'excellent "Le saut du varan" de François Bizot.
Thomas Day à encore du chemin à parcourir et devra resserrer son jeu pour me convaincre.
Ayant découvert ici qu'il sévissait aussi en Fantasy je lui donnerai peut-être une seconde chance.
Côté positif, l'auteur connait indubitablement bien la région qu'il dépeint de façon très réaliste. Grace à lui j'ai eu le plaisir de me remémorer ma lente remontée du Mékong en barge jusqu'à Luang Prabang dans les années 90.
Côté négatif, la facture s'alourdit !
L'intrigue d'abord, "espionnage /organisation secrète", tout ça n'est guère bien ficelé.
Ensuite, certains parachutages dispensables dans le contexte comme son autoportrait "Du côté de chez Proust" et sa critique, au demeurant tout à fait probante, de la nouvelle éponyme de Lyon Sprague de Camp et Lin Carter.
Jusqu'ici rien de grave ! mais m'ont viscéralement atterré ses velléités pathétiques de classifier les femmes en fonctions de leurs supposées compétence et caractéristiques sexuelles, étayées des clichés les plus ridicules prêtés aux Africaines et aux Asiatiques.
Pour finir j'ai évidemment fait le parallèle avec Conrad et "Apocalypse now", j'y ajouterai l'excellent "Le saut du varan" de François Bizot.
Thomas Day à encore du chemin à parcourir et devra resserrer son jeu pour me convaincre.
Ayant découvert ici qu'il sévissait aussi en Fantasy je lui donnerai peut-être une seconde chance.
