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Citations sur Grandeur nature (27)

Tu m'emmenais ramasser les mûres l'été, la chicorée l'hiver. Elles sont à tout le monde, me disais - tu, c'est pour ça qu'elles sont bonnes.
Je n'entends plus les cigales que tu aimais entendre. Je m'invente leur son cette dernière fois ensemble.
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Je crois que le verbe convenant le mieux à la narration n'est pas écrire un livre mais le commettre, comme un délit. Un écrivain est aussi un accusé devant le lecteur. L'infraction commise est le gaspillage de son temps.
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L'humour n'a pas fait défaut même dans le malheur.Il contribue peut-être à la résistance.

( p.103)
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La langue yiddish ajoute un alphabet différent et un sens de lecture opposée, de droite à gauche, qui implique aussi le renforcement du livre, un total son dessus dessous.
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On tombe amoureux en descente, la tête la première.
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« (...) Dieu sait de qui tu as pris. »
De toi, aurais-je dû lui dire, de toi j'ai pris et laissé, en restant ton fils, crâne de crâne, livres, vin et montagnes. Ça ne m'est pas venu. L'écrire à présent, une fois sa vie enfuie, c'est se taire plus profondément.
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Dans les rares confessionnaux où je me suis agenouillé à l'âge des première, deuxième et peut-être troisième communions, j'entendais la question sur les actes impurs, si j'en avais commis. Je m'efforçais de la satisfaire en inventant que je me mettais les doigts dans le nez et jouais à faire des boulettes avec ce que j'en retirais. Que je faisais exprès de péter. Ce n'était pas suffisant. Une fois, j'ai reconnu que j'avais fait pipi contre un arbre du parc de la Villa Comunale.
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