[...] I do not readily believe that any man, having once tasted the divine luxuries of opium, will afterwards descend to the gross and mortal enjoyments of alcohol [...] (p.5)
Pour dire la vérité, toutefois, il ne m'était jamais venu à l'esprit de songer aux travaux littéraires comme à une source de profit.
Ainsi donc, Oxford Street, marâtre au cœur de pierre, toi qui as écouté les soupirs des orphelins et bu les larmes des enfants, j'étais enfin délivré de toi !
l’opium, non l’opiomane, est le vrai héros du récit
Ces variations musicales vagabondes sur le thème – ces pensées, sentiments, digressions, qui grimpent et entourent avec force floraison le tronc aride
[...] we never do anything consciously for the last time (of things, that is, which we have long been doing in the habit of doing) without sadness of heart. (p.12)