Attention: si vous n'avez pas encore lu "
Laisser l'oiseau s'envoler", ma chronique vous dévoilera quelques éléments du tome 1.
Mais quel plaisir de retrouver Lucy et de vivre à ses côtés de nouvelles aventures ! Nous l'avions laissé à l'aube d'une nouvelle vie, professionnelle et personnelle, mais dans ce tome, elle a encore du chemin à parcourir.
J'ai adoré retrouver son côté gaffeuse qui m'a voulu de sourire toute seule devant ma lecture, et voir toute la bonne volonté qu'elle met dans ses projets. Et quand Lucy a une idée en tête, elle ne lâche rien.
Quitte à se mettre dans des situations impossibles !
Alors que Lucy aide à domicile (je vous laisse découvrir pourquoi et comment),
Sam DeLuca nous emmène dans les années 80, dans des chapitres captivants, qui sèment autant de petits cailloux pour une intrigue que j'ai eu plaisir à décrypter. J'essayais d'assembler chaque pièce du puzzle, de faire des suppositions. Entre passé et présent, on s'attache aux personnages, les émotions sont au rendez-vous. Il y a une certaine mélancolie avec le personnage d'Albert, ses beaux souvenirs, un lieu qui n'attend que revivre. C'est beau, touchant.
Et Lucy va évoluer, encore, et se révéler davantage.
Je ne peux pas tout vous dire, mais il m'a manqué une certaine personne dans ce tome 2, son absence m'a surprise mais elle est bénéfique pour Lucy. J'ai ressenti davantage de maturité.
Et un autre personnage m'a soufflé, waouh, quel changement depuis le tome 1. J'ai même craint un certain scénario, je me disais, non, Sam n'a pas fait ça ! Quel revirement, il m'en est devenu sympathique.
Les dernières pages arrivent, trop vite malgré les nombreuses pages de cette suite, et je n'avais pas envie de les quitter. le suspens final laisse entrevoir que nous pourrions avoir prochainement des nouvelles...
Foncez, vous risquez vraiment d'adorer Lucy !