Les sages savaient que le savoir n’est un bien que s’il est accordé avec toutes les vertus de celui qui sait ; qu’un savoir débordant, disproportionné, éclatant, versé dans une nature basse ou insuffisamment filtrée, non seulement n’est pas un bien mais est un mal total.
Accepter est bien plus difficile que forcer.
Les pacifiques ne sont pas ceux qui se tiennent tranquilles ; les pacifiques sont ceux qui font la paix au sens fort du mot faire.
Très naïf celui qui croit que l’Évangéliste est naïf.