Je savourais les caresses de sa langue, je savais que je n’avais plus à m’inquiéter pour les marques rouges sur mes cuisses. Je me laisse aller, mais encore une fois, il s’arrêta juste avant l’orgasme. Je soupirais sans discrétion. Il me saisit par les cheveux et m’ordonna de me prosterner à ses pieds et de m’excuser. J’obtempérais, aussi vite que possible.
- Tu as l’air d’oublier que rien ne m’oblige à te donner du plaisir !
- Pardon, Maître… pardon…
- Qu’est-ce que je fais quand je te lèche la chatte comme ça ! ?
- Vous… vous m’accordez une faveur, Maître.