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Citations sur L'Epouvanteur, tome 9 : Grimalkin et l'épouvanteur (39)

Quand j'atteins le centre du bois, j'enlevai le lourd sac de mon épaule et je le placai a terre devant moi. Puis je mis un genou a terre et défis la corde qui le fermait. [...] Je grimacai et enlevai ce qu'il contenait le tenant devant moi par ses cheveux gras et emmelés par la saleté.
Il faisait tres sombre sous les arbres et la lune ne devrait pas se montrer avant une heure. Cépendant, mes yeux de sorcière me permettait de voir clairement malgré les tenebres et je regardais la tete coupée du démon, le Diable lui-meme.
C'était une vue terrible a contempler. J'avais cousu ses paupières fermées pour l'empecher de voir. j'avais farci sa bouche avec une grosse pomme verte et amere enveloppée dans un entrelacs d'épines de roses, il ne pouvait donc pas parler. Mon ennemi était bien occupé, traité comme il le méritait. Malgré la puanteur, ni la tete ni la pomme n'avaient pourri. Le 1er à cause de son pouvoir, la 2eme grace a ma magie. Je répandis le sac à terre et posa la tete dessus. Puis je m'assis en tailleur en face, scrutant avec attention mon ennemi.
D'une facon ou d'une autre, sa tête semblait plus petite maintenant que lorsqu'elle avait étée fraichement coupée mais elle était tout de meme 2 fois plus grande que celle d'un humain. Sa contraction était-elle le résultat d'etre séparé de son corps ? Je m'interrogeais. Ses cornes, qui sortaient de son front, étaient enroulées et courbées comme celles d'un bélier. Son nez ressemblait à un bec d'aigle. C'était un visage cruel et il méritait la cruauté que je lui avais infligé a son tour.
Sur tout mon corps, une série de courroies en cuir portait les fourreaux qui tenaient mes armes et outils
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Le seul mal véritable est de se refuser ce que l'on désire. En ce sens, je ne commets jamais le mal, car j'importe toujours ma volonté. Ce que je veux, je le prends.
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Mon arme favorite est une longue épée.
Je l'utilise en combat rapproché.
Vous vous croyez capable de me vaincre?
Elle vous a déjà traversé le cœur!
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J'ai choisi de porter l'enfant du Malin
afin d'être à jamais libérée de lui.
Une fois ma décision prise,
rien n'aurait pu me détourner de mon but.
Maintenant, je veux le détruire.
Et personne ne m'arrêtera.
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"Pourquoi tuer le faible quand tu peux combattre le fort ?
Pourquoi mentir quand tu peux dire la vérité ?
Une tueuse doit vivre dans l’honneur et toujours tenir parole."
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Redis-toi chaque matin que tu es la meilleure,
La plus fort, la plus redoutable.
Tu finiras par en être persuadée.
Un jour, cela sera vrai.
Ça s’est révélé vrai pour moi.
Je suis Grimalkin.
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Pour toute réponse, un grand silence tomba sur la colline, le calme avant la tempête.
J’étais la tempête.
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Une tueuse meurt une arme affilée à la main,
en combattant ses ennemis.
Pourquoi en irait-il autrement pour moi ?
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À qui dîne avec le Diable, il faut une longue cuillère.
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Certains rendent un culte aux anciens dieux;
d'autres servent la lumière.
Moi, je vais seule.
Je suis Grimalkin.
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