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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Quelque part au-dessus du ciel… est bien passé au dessus de moi. Et j'en suis navrée. Surtout parce que c'est un roman qu'on m'a été offert et que la phrase dans la deuxième de couverture m'a parlée, m'a touchée, m'a submergée.

« J'ai su qu'un jour, je voudrai partager mon histoire. Parce que les maladies invisibles, la solitude et l'incompréhension des autres existent. Mais vous n'est pas seules. Il y a une victoire en chacune de nous ! »

Cette phrase m'a tellement donnée envie de me plonger dans cette histoire. Malheureusement, cela ne l'a pas fait avec moi.

Victoire est atteinte d'endométriose sévère. Elle quitte tout pour s'installer dans un chalet accolé à une forêt. La solitude pour seul réconfort. La solitude pour se construire d'une séparation.

Lu en lecture commune, selon nous, la maladie, sujet principal, n'est pas assez mise en avant. Victoire écrit dans un carnet sur sa séparation, ses émotions. La maladie est très lointaine, elle est une ennemie dont il ne faut pas parler. J'ai trouvé que ce roman était plus celui d'une femme qui tente de se retrouver, de se reconstruire après une séparation.

La maladie est plus qu'invisible dans ce roman. C'est dommage puisque cela me parle, me touche personnellement.

Je n'ai pas du tout accroché avec l'humour salace (qui n'apporte rien à l'histoire) et qui m'a beaucoup dérangé.

Je pense que ce roman sera parler à certaines. Je suis tellement navrée de ne pas avoir accroché.
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Victoire est atteinte d'endométriose sévère, elle décide de partir vivre en Normandie dans une maison isolée. Elle a pour projet de mettre fin à ses jours. Son amie Luce à elle un autre projet qui est de faire reprendre goût à la vie à son amie.

J'ai été attiré par la couverture du roman qui est très pétillante, joyeuse, jolie et par la quatrième de couverture. Et au final, je trouve que tout est résumé dans la quatrième de couverture. Il n'y a pas de surprise.
Je n'ai pas aimé le roman, je l'ai trouvé long avec beaucoup de répétitions.

Pendant quasiment la première moitié du livre j'attendais qu'il se passe quelque chose, en vain. Je ne me suis pas attachée aux personnages, celui de Victoire est assez noir ce qui est logique étant donné qu'elle est en dépression, je ne me suis pas attachée non plus à Luce ni à Johan qui eux sont plus joyeux.

La deuxième partie du roman est un peu moins noire mais cela n'a pas fonctionné avec moi. Nous sommes sur les codes d'une romance, on comprend donc ce qui va se passer entre Johan et Victoire mais cela ne m'a pas attiré.

On alterne entre des moments du présent où l'on suit les personnages et des moments de lecture du journal de Victoire. Ces morceaux du journal ne m'ont rien apporté, ils m'ont plutôt coupé dans ma lecture.

A la fin du roman, nous avons le journal de Victoire et pour ma part cela n'était pas nécessaire car il nous est redit ce qui a déjà été écrit dans le roman. C'est donc encore une répétition.
Au final j'en suis arrivée à passer des pages car c'est redondant à mon goût. Je me suis posé la question d'abandonner ma lecture je ne l'ai pas fait car c'était un service de presse et j'espérai qu'au bout il y aurait peut-être une petite chose qui me ferait changer d'avis, en vain.

Ce n'est que mon avis.

Le côté positif du roman c'est qu'il explique l'endométriose et le quotidien avec cette maladie.
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Je suis gênée de l'écrire mais je n'ai pas du tout accroché à cette histoire. Jai néanmoins terminé ma lecture pour décrire le plus précisément possible mon avis et ne louper aucun moment clé de l'expérience de Victoire.
C'est compliqué pour moi de mettre en mots ce qui m'a déplu. Voici un exercice complexe pour une chronique qui ne me satisfait pas totalement du fait que peu d'éléments positifs ressortent de mon article Je tiens à préciser que cet avis n'est que le mien, qu'il est aussi fonction d'un état personnel que l'auteure ne peut dominer. Quelque part au-dessus du ciel n'était pas pour moi, à cet instant précis.

Ma lecture m'a parue confuse.
La double écriture italique (en début de chapitre) et « normale » (pour la suite du chapitre) ne m'a pas apporté un plus dans la compréhension du personnage de Victoire. A certains moments, j'ai cru percevoir un mélange des deux écrits. Les voix sont tellement proches dans la forme que je me suis perdue., ne distinguant plus forcément les deux.

Ce qui est décrit dans le journal intime (en italique) m'a paru trop imprécis et lointains pour m'accrocher. Les allusions aux différentes maladies, à la dépendance, aux ressentis, aux personnages aussi, auraient bénéficié de plus de prise sur moi si les elles avaient été décrites dans des scènes détaillées et dans des faits plutôt qu'évoquées, tels des souvenirs portés comme des fardeaux.

La plume de l'auteure est mélancolique, certes poétique mais pesante. C'est le monologue d'une personne qui ne dépasse pas son état dépressif. La voix est triste… Elle se veut touchante par les mots. J'aurais souhaité plus d'ondulation dans l'expression pour savourer les moments aussi différents soient-ils : les périodes d'espoir comme les sombres moments où rien n'est envisageable pour ce personnage.

La relation entre Victoire et ce fils du propriétaire de la maison en Normandie a été le principal point de rupture dans ma lecture.
Les échanges sont courts, pas forcément étoffés, disséminés dans les ressentis de Victoire, analysés, disséqués comme si le lecteur avait besoin de ses explications continues pour les comprendre. Victoire et son « intrus » sont dans l'opposition, toujours. Quelquefois, l'humour pointe son nez, créant un décalage avec le ton généralement grave du roman. J'ai perdu le fil : avais-je affaire à un récit léger ou à un drame humain ?

L'amitié Luce/Victoire se densifie tout au long du récit. Luce investit la campagne alors que sa personnalité initiale contredit ce projet. Elle est cependant celle qui sauve son amie, un partenaire de qualité, un médiateur certain.

Pour le contexte, il me manque l'atmosphère de la Normandie. Ce roman aurait pu se dérouler autre part que cela n'aurait pas changé le récit. J'attendais davantage d'un dépaysement rural et de cette délocalisation parisienne.

Certains romans nous émeuvent, nous touchent, nous appellent ; d'autres nous échappent jusqu'à la forme et même dans le fond. Trop de choses m'ont empêchée de m'immerger dans Quelque part au-dessus du ciel : j'ai senti rapidement que ce roman ne s'adressait pas à moi. C'est dommage mais c'est ainsi… J'invite chacun/chacune à se faire sa propre opinion…
Belle découverte à vous.
Lien : https://alapagedeslivres.wor..
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