Ce livre est barbant à lire, un peu à l'image de son auteur qui est très mal coiffé sur la photo.
Si la syntaxe est au poil, l'histoire n'a pas le soyeux d'une moustache bien huilée.
Mais alors de quoi ça parle, finalement ? de la mort de JJ Goldman ou de politique ? Un peu des deux, camarades, c'est-à-dire que c'est aussi barbant à lire qu'une chanson de JJ Goldman réécrite par
Didier Barbelivien et corrigée par le parolier de
Demis Roussos.
Pour espérer vendre quelques exemplaires de ce tract politique, l'auteur, qui revendique une Mélanchonite aiguë (désolé, mais Pfizer n'a pas encore inventé le vaccin pour éradiquer le gauchiste donneur de leçon et moralisateur comme un maître d'école), a espéré que JJ Goldman himself service (comme disent les anglais dans une file de MacDo) allait accepter de donner son nom à un bouquin qui aurait imprimé sur sa couverture : La mort de JJ Goldman. Ben voyons... Et pourquoi pas : La naissance du fils caché de Pierre Palmade.
Ce qui aurait été une démarche normale de la part d'un capitaliste adepte d'un marketing opportuniste, l'est moins de la part d'un anticapitaliste déclaré. Mais bon... On peut comprendre le camarade Delsaux : pour ne pas raser les murs de l'indifférence, on serait prêt à tout pour se faire remarquer. Comme par exemple de ne plus se couper les poils du menton, à l'image d'un gréviste de la faim. Il est vrai que ce nouveau look fait plus ressembler le camarade Delsaux à un bucheron canadien qu'à un écrivain qui déclarerait vendre autant de livres que JJ Goldman vend de compil'. le point commun entre ces deux métiers ? Ils tuent les arbres. le bucheron en les tronçonnant et le camarade Delsaux en écrivant des livres.
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