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3,59

sur 175 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Si j'ai découvert la plume de Sonja Delzongle avec “Dust“, premier roman dans lequel on rencontre Hanah Baxter, je lui connaissais de précédents titres dans sa bibliographie, plus difficiles à trouver désormais. Après avoir eu la chance de pouvoir de dénicher “A titre posthume” au hasard d'un passage en médiathèque, c'est donc avec plaisir que j'ai appris la réédition de ce livre que je me suis volontiers procurée à l'occasion du formidable salon “Iris Noir” organisé à Bruxelles pour rejoindre “Le Hameau des Purs” sans délai !

Retrouvant sans difficulté cet habile talent de thrilleuse qu'on lui connaît, Sonja Delzongle nous entraîne cette fois-ci dans les ruines encore fumantes d'un étrange village isolé du reste du monde pour y dérouler une intrigue bien plus sombre et retorse qu'on ne peut l'imaginer, dans laquelle on se laisse volontiers embarquer sans même voir le piège se refermer : Parce que l'auteure a bien plus d'un rebondissement dans sa plume et ne manquera pas de vous déstabiliser jusqu'à la dernière ligne.
Dès lors incapable de lâcher ce livre avant de l'avoir terminé, c'est avec curiosité et intérêt qu'on découvre les souvenirs et suit les investigations de notre héroïne pour connaître la vérité… A nos risques et périls, il fallait s'en douter…
Servi par une plume fluide, dynamique et prenante, un style nerveux et attrayant, ce thriller est d'autant plus palpitant qu'il est nimbé d'une atmosphère inquiétante et nous tient ainsi en haleine de la première à la dernière page sans nous épargner.

En bref, un excellent thriller qu'il ne fallait pas manquer : Merci aux éditions Folio de l'avoir réédité !
Lien : https://deslivresetmoi7.fr/2..
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Je ne vous présente plus Sonja Delzongle qui est devenue une référence du polar français avec sa profiteuse Hanah Baxter et son inséparable pendule.

Ce livre est un one shot où on suit la journaliste Audrey Grimaud, dépêchée sur les lieux d'un incendie criminel, au Hameau des Purs, où 7 personnes ont perdu la vie. Enfant, elle passait tout son temps dans cette mystérieuse communauté dont ses grands-parents faisaient partis. Remontant peu à peu le fil de ses souvenirs, la terrifiante image de l'Empailleur s'impose rapidement à elle. Un cruel meurtrier dont l'identité n'a jamais été découverte...

L'ambiance au Hameau est particulièrement réussie : pesante et anxiogène. Les Purs sont une sorte de secte où les non-dits et secrets de famille sont nombreux. Les étrangers y sont interdits et Audrey n'a pas le droit de côtoyer les autres membres du groupe en dehors de ses grands-parents.

Consanguinité, inceste, meurtres irrésolus, les Purs ont de quoi donner des frissons dans le dos. Et vous n'êtes pas au bout de vos surprises... 🤫
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J'ai beaucoup aimé l'enquête chez les Purs, cette atmosphère pesante, prenante.
Pour la fin du roman difficile d'en parler ou de comparer sans trop en dévoiler. Disons qu'il n'y a pas longtemps j'ai lu un retournement assez identique mais beaucoup mieux tourné.
Après j'ai apprécié la plume de l'auteur donc je pense la lire à nouveau.
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Au hameau des Purs il n'y a ni eau ni électricité .On y vit coupé du monde ! Pourquoi ? Une secte ou bien y a-t-il des secrets qu'il ne vaut mieux ne pas connaître ? Ils sont habillés comme au Moyen Âge et les gens sont bizarres ! Audrey, journaliste est chargée d'en connaître un peu plus sur ce lieu car d'horribles crimes y ont été commis . Audrey a séjourné enfant dans ce hameau et elle a d'autant plus envie d'enquêter .
La première partie est un mélange de roman rural et d'intrigue .Et c'est ma préférée, j'ai aimé ce côté étrange, mystérieux de ces personnes.. Les purs qui vivent repliées sur eux-mêmes avec leurs secrets , comme La Crochue, La Grand Ma et le gars tous hostiles et rudes . Sonja Delzongle a fait des descriptions de paysages, du vent et du froid , je me suis retrouvée dans cette campagne retirée où j'ai entendu la burle . Magnifique !
La deuxième et troisième partie sont plus thriller et j'ai eu des frissons à certains passages car assez glauque . Et l'on se pose beaucoup de questions .Qui est l'incendiaire , qui est l'empailleur ?
L'auteur m'a bien embrouillé..mais j'ai moins aimé malgré les rebondissements .
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Ce roman est l'un des tout premiers de la romancière, réédité en version revisitée et modifiée.
La taxidermie,  vous connaissez ?
Mais si, ces animaux empaillés qu'on posait sur le poste de télévision (c'est comme ça qu'on disait). Aujourd'hui ces ornements ont disparu,  il faut dire que vu l'épaisseur de nos écrans, il faudrait qu'on empaille... les mouches.
Sonja Delzongle nous présente, dans son roman le hameau des purs, un taxidermiste un peu particulier. Ce ne sont pas les animaux qu'il éviscère mais les humains. Après tout pourquoi pas... on éventre, on vide et on remplit de terre et de cailloux. Voilà,  c'est fait, plus qu'à recoudre.
Audrey Grimaud, une journaliste, arrive sur les lieux d'un incendie d'origine criminel qui vient de faire sept victimes. C'est une partie de son passé qui ressurgit, en effet, elle le connaît ce Hameau  elle y venait en vacances lorsqu'elle était enfant, chez ces Purs, cette secte que son père avait quitté pour une femme.
C'est là aussi que rôde ce fameux tueur cité plus haut.
Dans un premier temps, l'auteure vous met dans la peau de la journaliste, entre l'enquête et le retour sur son passé, puis, tout bascule.
Telle l'araignée, Delzongle a tissé sa toile, elle vous y a attiré. Trop tard, vous êtes pris. Emmêlés. Vous cherchez l'issue. Vous l'apercevez. Vous vous précipitez. Oui... la lumière... Mais c'est Machiavel.
Vous n'avez rien compris.
Prisonnier je vous dis.
Vous voulez connaître la vérité ?
Vous n'avez pas le choix, il vous faut lire le hameau des purs jusqu'au bout.
Excellent thriller, avant-goût de ce qui sera le style Sonja Delzongle que nous sommes nombreux à apprécier aujourd'hui.






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Un incendie criminel a été déclaré dans le hameau où Audrey Grimaud a passé toutes ses vacances lorsqu'elle était plus jeune... Hameau d'une campagne où l'Empailleur terrorise la population depuis quelques années...
Mais est-ce que cet incendie est lié aux meurtres en série ? Est-ce que les "Purs", habitants reclus du monde dans ce hameau, sont-ils aussi purs que leur nom ? N'ont-ils pas, eux aussi, de lourds secrets qui auraient pu être percés à jours par des personnes un peu trop curieuses ? Surtout lorsque la vérité est loin d'être celle à laquelle on s'attend.
Préparez vous à être embarqué dans un tourbillon de folie dans ce roman, où le dénouement ne va pas vous laisser de marbre..!
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Avis aux fans du film le Village, l'intrigue de ce thriller pourrait bien vous replonger dans l'atmosphère si particulière d'une communauté recluse, à l'abri de notre monde fou mais qui cache et nourrit ses propres démons. A la suite d'un incendie criminel, la journaliste Audrey Grimaud décide de retourner au Hameau des Purs, lieu-dit de son enfance. Sur les traces d'un meurtrier particulièrement cruel surnommé l'Empailleur, elle prend de nombreux risques y compris celui de se perdre dans les méandres de ses souvenirs…

Sonja Delzongle possède un talent incroyable pour créer des ambiances à la fois feutrées et monstrueuses. Dans Boréal, c'est l'intimité d'une expédition scientifique au Groenland qui sert de cadre à de mystérieuses disparitions. Dans le Hameau des purs, c'est une communauté en vase clos, aux abords d'une forêt. Avec des intrigues à l'écart du monde, la nature se fait grandiose et inquiétante en même temps. L'autrice joue avec les éléments ; l'eau semble toujours la fasciner (avec une banquise dans le premier roman cité, un lac dans le second) et le Hameau des Purs déroule le tapis rouge (c'est le cas de le dire !) à la terre et au feu, pour faire du thriller un genre presque sensoriel.

Ce que j'ai aimé dans ces livres, c'est l'exploration de notre animalité en parallèle de notre humanité. L'horreur est poussée à son comble, mais Sonja Delzongle tisse toujours un fil fascinant entre...

[...la suite sur le blog !]
Lien : https://www.chezlaurette.org..
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Un « Sonja Delzongle » se trouvait dans la liste lors de la dernière édition de masse critique proposée par Babélio… J'aime beaucoup cette auteure, je n'ai pas résisté, j'ai tenté ma chance et voilà, je l'ai reçu et terminé. Merci pour cet envoi à Babélio et aux éditions Gallimard.
Audrey Grimaud est journaliste et revient à contrecoeur sur les lieux de son enfance à l'occasion d'un incendie dans le hameau dit des purs où elle venait enfant en vacances chez ses grands-parents qui appartenaient à la secte. Ces purs sont des personnes vivant à part de la civilisation, loin des nouvelles technologies. le père d'Audrey, né dans la communauté, l'a quitté pour épouser une non-pure. Il a trahi, il est parti, il est maintenant rejeté. Sa fille est tout juste tolérée chez ses grands-parents. Audrey, elle, aime venir voir son Papé et sa Grand-ma, malgré l'hostilité de la secte. Elle aime courir la campagne avec son ami Léman, dit le Gars, qui lui fait découvrir la nature, les animaux, la pêche et une partie de ses secrets. Léman vit avec sa grand-mère La Crochue, depuis le décès de ses parents et de sa petite soeur, en dehors du hameau des purs. Il est peu sauvage, étrange mais Mathilde l'aime beaucoup, c'est son ami d'enfance. Quand elle revient au hameau pour l'incendie pour le compte de son journal, un tueur surnommé l'empailleur sévit dans la région depuis une décennie sans avoir encore été arrêté. L'affaire de l'incendie est-il lié à l'empailleur ? Les meurtres s'accélèrent et se rapprochent dangereusement d'Audrey. Celle-ci replonge dans ses souvenirs malgré de terribles migraines qui la terrassent régulièrement. Peu à peu les secrets remontent à la surface et des liens apparaissent, s'entremêlent et expliquent peu à peu certains faits. Je ne peux vous en dévoiler plus sans vous ôter le plaisir à venir de la découverte de l'intrigue. La dernière partie du récit est assez étonnante et inattendue, un peu tirée par les cheveux à mon avis. Cependant, globalement j'ai bien aimé cette nouvelle histoire que sait si bien nous raconter Sonja Delzongle. A découvrir !

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Heureux qui, comme l'Oncle Paul, a fait un beau voyage dans l'univers littéraire tortueux du Hameau des Purs sous la houlette du guide Sonia Delzongle.

En effet l'intrigue emprunte des chemins sinueux, jalonné de chausse-trappes, de bifurcations, de ronds-points, de panneaux indicateurs signalant des retours en arrière, et autres vicissitudes vicinales propres à égarer le lecteur. Mais celui-ci, un peu obstiné comme tout lecteur friand de découvertes, prend des repères et arrive au bout de l'ouvrage tout en se demandant toutefois s'il ne s'est pas un temps fourvoyé.

Si je devais employer une métaphore mobilière pour décrire ce roman, je dirais qu'il s'agit d'un meuble à multiples tiroirs. Mais attention, pas du meuble industriel suédois, à monter soi-même, recouvert d'une feuille de papier plastique qui retient les particules de sapin, et qui s'effondre à la première secousse. Non ! Mais d'un meuble conçu et fabriqué par un ébéniste qui utilise du bois noble, le peaufine en élaborant des circonvolutions à l'aide de gouges de tailles différentes et le recouvre de marqueterie.

Par exemple par un André-Charles Boulle, un Charles Spindler, ou un Pierre Golle. du massif qui s'avère léger, avec des tiroirs apparents, des fonds secrets, des caches, qui recèlent toutes sortes de babioles et d'objets qui s'apparentent à des cadavres dans un placard.



Si je me suis servi de cette image sylvestre, c'est bien parce que la forêt en est l'un des décors plantés au fin fond d'une campagne dans laquelle se niche un hameau. le Hameau des Purs, une congrégation qui ressemble à celle des Amish. Une communauté qui vit quasiment en autarcie, ne fréquentant pas les villageois établis à quelques kilomètres du hameau, et qui ne sont pas assujettit à de petits plaisir modernes, tels que phonographe, radio, et autres bricoles pouvant les rattacher à un monde moderne considéré comme pervers. Ils sont vêtus à l'ancienne, les femmes de robes longues, grises, ternes, les hommes de chemises à carreaux, le chef recouvert de chapeaux à larges rebords. Et ils se déplacent à bord de carrioles, toujours en groupe, comme pour se protéger d'éventuelles agressions.

La petite Audrey est amenée durant les vacances par ses parents. le père, natif du hameau, s'est émancipé mais devenu avocat aide parfois les Purs dans leurs démêlés. Audrey vit entourée durant ces périodes avec Ma Grimaud et Abel, ses grands-parents. Elle fréquente, malgré que celui-ci ne fasse pas vraiment partie de la communauté, le Gars, Léman de son prénom. Il vit chez sa grand-mère, la Crochue, de rapines, braconne, et a pour compagnon un corbeau et est affublé d'un bec-de-lièvre. Il possède une technique rapide et impitoyable pour dépiauter les lapins et autres bêtes à fourrure qu'il attrape au collet. Cette inclination n'est pas du goût de tous, mais Audrey est une gamine indépendante. Elle fréquente aussi parfois Gauvain, un autiste, ou Isobel, une sourde et muette dont les parents bientôt interdiront toute visite de la part d'Audrey.



Quelques années plus tard, Audrey devenue journaliste, retourne sur ce lieu qui est le théâtre d'un double drame. L'Empailleur continue à perpétrer ses méfaits, à dates régulières. le cadavre d'un individu est retrouvé vidé de ses entrailles, de ses os, et l'enveloppe humaine, bourrée de pierres et de mousses, est recousu, telle une peluche. Des habitations du hameau ont été incendiées et dans les décombres ont été retrouvés sept corps dont l'identification est difficile à établir. Elle enquête pour le compte de son journal, malgré sa réticence à revenir sur les lieux qui ont marqué son enfance, en compagnie de l'inspecteur Frank Tiberge et de son adjoint Lagarde.

Ce retour aux sources fait resurgir toute une époque avec son lot de frayeur, de peur, de frissons, de petites joies indicibles dont le chat Dickens qui se couchait avec elle le soir lui réchauffant les pieds. Des interrogations aussi avec l'accident qui s'est produit au lieu-dit de la Femme Morte, et surtout la découverte d'un album-photos, d'une lettre en provenance d'Israël, et les révélations parcimonieuses de Ma Grimaud. Et surtout du docteur Bonnaventure, un Noir intransigeant, désagréable, qui n'accepte aucune compromission.

Et la mort rôde, s'infiltrant insidieusement dans l'esprit de la gamine, la hantant au point que « Depuis que j'avais appris qu'on pouvait mourir de rire, je ne riais plus ».

Les tiroirs s'ouvrent et se referment, dévoilant peu à peu les secrets qui se nichent dans les recoins, mais le fouillis indescriptible réside bien dans les caissons du bas, où tout est mélangé, emmêlé. Un embrouillamini qui s'éclaircit peu à peu tout en gardant quelques zones d'ombre. Un épilogue qui explique tout, ou presque car l'auteur joue finement avec les miroirs qui se reflètent les uns dans les autres, découvrant des pans d'histoire, invisibles au départ et qui à nouveau rentrent dans l'ombre au profit d'autres, au fur et à mesure que le lecteur approche du mot fin (qui d'ailleurs n'est pas imprimé).

Un roman qui flirte avec le fantastique, comme lorsque l'on tente d'explorer la psychologie de personnages vivant en marge de la société. Un roman prenant, que l'on ne peut lâcher avant de tourner la dernière page, et bizarrement, moi qui suis pour les romans courts, j'aurais aimé que l'histoire continua.



Lien : http://leslecturesdelonclepa..
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Je suis très agréablement surprise par ce livre : le résumé me tentait beaucoup mais je ne voyais pas trop où toute cette histoire pouvait nous emmener... Pour le coup, elle nous entraine vraiment très loin, très très loin même.



La réponse finale, on ne l'a qu'à la toute fin. Cela dit, commencer par le dernier chapitre (comme l'a fait mon père) n'aide pas plus : l'intrigue est plus que compliquée mais ce n'est pas pour autant que la lecture en est désagréable, au contraire !

Bien que j'ai su deviner le meurtrier assez rapidement - je ne suis pas mauvaise à ce jeu - l'histoire ne s'arrête pas là. Elle est totalement tordue, inconcevable mais pourtant je n'ai jamais douté un seul instant qu'elle puisse être vraie. J'aime bien le fait qu'à chaque instant, toute l'histoire est susceptible de s'écrouler pour nous dévoiler une nouvelle vérité...



Le personnage d'Audrey est vraiment très attachant. On la découvre enfant, puis jeune femme... Je ne dirais pas que je me suis identifiée à elle, mais je crois qu'elle a des valeurs communes à pas mal de monde. Elle est différente de nous, par sa personnalité et son histoire, mais elle reste assez proche de ce que nous sommes.

J'aime beaucoup sa curiosité et sa façon de foncer au devant au lieu de faire demi-tour : elle va toujours de l'avant. Bon dans les thrillers, c'est toujours la qualité principale des personnages, mais cela dit, si ce n'était pas le cas on s'ennuierait... Bref, j'aime.



J'ai apprécié la façon qu'à Sonia Delzongle de nous raconter cette histoire : avec simplicité et naturel. J'aime le fait que les petits défauts dans l'écriture deviennent un atout à l'histoire, en plus du charme qu'ils donnent à l'histoire ils nous donnent une impression de vérité. Après tout, les livres, c'est fait pour nous faire croire à des choses irréellement, non ?

Le Hameau des Purs est un livre très sympathique à découvrir !
Lien : http://lunazione.over-blog.c..
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