Partout, il y a des bons et des mauvais.
En France, nous avons tout ce qu'il nous faut pour vivre, étudier et nous devrions le partager avec ceux qui ont tout quitté et n'ont plus rien.
Parfois, j’ai l’impression que personne en Europe ne veut d’eux.
Dans le silence imposé par la furie des essuie-glaces, entre les vitres couvertes de buée et les flaques de la chaussée, notre trajet s’est déroulé dans un univers aquatique.