Ils étaient cinq

J'ai lu de nombreux avis positifs sur cet auteur et Ils étaient cinq étant au format poche j'ai décidé de me lancer.

J'ai aimé la traque du commissaire Brémont afin de trouver les coupables dans les macabres meurtres que celui-ci reçoit sur son téléphone par des vidéos, de plus celui-ci semble personnellement visé pour faire la lumière sur ces différentes affaires.

J'ai aimé le rythme de ce livre, tout va en effet très vite et les pages se tournent à la même vitesse, j'ai aimé la chronologie courte sur le mois de Décembre et les pistes ou mènent l'enquête sur des faits réels.

Je n'ai cependant pas eu d'attachement particulier pour cette équipe qui mène l'enquête ce qui est dommage.

Une lecture plaisante mais qui à mes yeux n'apportent pas grand chose de nouveau dans le genre des polars, je lirai cependant les autres livres de l'auteur afin de me faire une idée plus précise de son écriture.

Attention cependant aux personnes sensibles les meurtres ici sont tout de même bien détaillés et plutôt très sanglant.

Toujours en recherche de nouvelles découvertes, en particulier dans l'univers des romans noirs, j'ai repéré Sandrine Destombes via Babélio et des chroniques très élogieuses. Ma première lecture, La faiseuse d’anges, m'avait laissée sur ma faim, mais avec de très bonnes idées donnant l'envie d'en découvrir un peu plus. Elle fait maintenant l'objet d'une belle exposition chez les libraires, exposition qui m'a permis de repérer Ils étaient cinq. le capitaine Brémont, enquêteur profileur au passé douloureux, ainsi que ses attachants acolytes y mènent l'enquête.
Ils font face ici à des tortures à la mise en scène soignée et particulièrement cruelle, filmées alors que les victimes sont supposées encore vivantes, afin de laisser une chance aux enquêteurs de déjouer le dénouement fatal. Courses contre la montre qui, à chaque fois, aboutissent à des découvertes le plus souvent funestes et toujours macabres.
Le récit est dense, file à tout allure, la thématique est originale, faisant référence à un pan de l'histoire des sectes, mais j'ai été gênée par la résolution de l'intrigue. Non qu'elle ait été malhabile, plutôt en décalage par rapport à mon éthique personnelle. J'ose espérer, dans le réel, que les victimes de sévices arrivent à trouver apaisement autrement que ce que leur propose comme modèle ce roman… Un gendarme qui laisse en liberté des coupables de meurtres, au prétexte de ce qu'ils ont subi en enfance. Cela flatte nos instincts primaires mais ne va pas dans le sens d'une évolution des sociétés civilisées qui supposerait de faire évoluer, notamment, les durées des délais de prescription.

Sans revenir sur le synopsis, je dirais que ce roman part sur de bonnes bases. Certes, un thème déjà vu chez d'autres mais traité un peu différemment.

Très facile à lire, on se prend à tourner les pages assez vite pour connaître la suite, signe d'un livre de bonne qualité.
Toutefois, je fus un peu déçu par la fin beaucoup trop rapide et l'impression que certains détails sont assez survolés et méritaient un développement bien plus conséquent. Il en ressort un certains nombres d'incohérences notamment sur les sévices subies par les victimes et les compétences des bourreaux...

Aussi, et c'est là où le bas blesse, la fin n'a fait que confirmer ce que j'avais deviné très rapidement. Dommage

Bon... C'est un bon thriller qui présente tout ce qu'on est en droit d'attendre de cette catégorie... Rebondissements, rythme, indices proposés au compte goutte, recoupement... sauf que (et manifestement je ne suis pas le seul), j'avais compris après 50 pages ! Évidemment, ça coupe un peu le suspense même si j'ai eu du plaisir à aller jusqu'au bout pour savoir si j'avais raison.
Un bon roman de gare mais j'en attendais un peu plus !

Au premier abord, ce livre se présentait sous les meilleurs hospices : un départ original puisque ce ne sont pas les hommes de loi (policiers ou gendarmes) qui sont appelés pour se rendre sur un lieu de crime, mais carrément les criminels qui contactent un profiler pour le prendre à témoin de leurs exactions. En plus d'une vidéo montrant les supplices infligés à des personnes, un message mystérieux semble expliquer leur méfait.

Les qualités rédactionnelles de Sandrine Destombes sont indéniables : la plume est fluide, avec du suspense, un rythme constant, des relances au bons moments pour conserver l'attention du lecteur. le personnage principal, le Capitaine Antoine Brémont, est fort bien construit, l'auteur pense à nous faire partager ses sentiments et ses ressentis de l'enquête.

Si cela est vrai pour le personnage récurrent des romans de Sandrine Destombes, malheureusement, cela n'est pas aussi vrai pour les personnages secondaires, que ce soient les autres enquêteurs composant l'équipe du Capitaine Antoine Brémont, ou bien les personnages centraux de l'enquête.

L'autre faiblesse du roman vient de l'intrigue pour dont je trouve la solution un peu trop évidente. L'auteure pense à ses lecteurs et laisse tout au long de son roman de nombreux indices menant à la clé de l'énigme, et dès le titre du livre, un peu comme le Petit Poucet afin de ne pas perdre son lecteur.

Mais ces défauts restent minimes, et sauf être un gros lecteur de romans policier et thrillers en tout genre, vous ne devriez pas découvrir trop vite le pot-aux-roses et passerez un agréable moment le temps de la lecture de ce livre.
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Alors, je découvre la plume de Sandrine Destombes avec ce thriller. On retrouve Antoine Brémont, capitaine de la DSC de Paris, qui reçoit un étrange lien sur sa boîte mail. Il l'ouvre et tombe sur une vidéo en direct de torture horrible faite à un homme et reçoit un message des tortionnaires qui lui indique où retrouver l'homme. Ça ne sera que le premier d'une longue liste…

J'ai aimé l'histoire de fond, qui nous emmène dans le gore, la torture, des drames, de la violence et j'ai aussi aimé l'intrigue.

Je me suis attaché à Antoine qui est quelqu'un d'écorché mais qui a un grand coeur. Mais… j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire car j'ai trouvé qu'il y avait pas mal de longueur, on peine à avoir de nouveaux indices, on attend page après page que l'enquête accélère, qu'ils trouvent quelque chose pour avancer un peu.. On devine d'ailleurs, à l'avance, qui est le véritable tortionnaire et ça m'agaçais d'autant plus de devoir attendre qu'il se passe quelque chose pour avancer dans l'enquête. Et bien sûr au 3/4 du livre, tout s'accélère et ça devient intéressant.

C'est une lecture en demi teinte pour moi, j'ai aimé le fond de l'histoire qui pour moi a un gros potentiel, autant parfois je m'ennuyais, à me surprendre même à regarder combien de pages il me restait pour finir et passer autre chose.. c'est dommage.

Alors, est-ce que se n'étais pas le bon moment pour moi de le lire ou le bon mood ou est-ce vraiment les longueurs qui m'ont peiné ? 🤷🤷

Je donne 3 étoiles en hésitant d'en donner que 2. Mais j'avoue que la fin m'a fait changé d'avis, pas parce qu'elle est spectaculaire, elle reste classique, mais parce qu'elle nous touche jusqu'aux nos sensibilités.
Je ne me plaisais pas en lisant ce thriller .. je l'ai trouvé un peu ennuyeux et tournait autour des faits qui n'ajoutaient rien au roman.

Je ne veux pas qu'avec ma critique démotiver les lecteurs, mais si vous êtes patients, ce livre peut vous plaire.

Dernier livre de la saga Max Tillier, mais là c'est le personnage d'Antoine Brémont (découvert dans "L'arlequin")et son équipe que l'on retrouve. C'est un bon page-turner. Nous avons à faire à des bourreaux qui mettent en scène leurs crimes barbares. C'est une course contre la montre. Toutefois, je suis restée un peu sur ma faim, car j'ai trouvé que la résolution de l'énigme est un peu trop rapide et que certains points ne sont pas assez développés ce qui entraîne des incohérences à mon avis. de plus, je n'ai pas eu d'attachements aux personnages en particulier à l'équipe d'enquêteurs.
J'ai préféré les autres romans avec Max Tillier.

Avis mitigé. Lecture différente, mais je ne suis pas totalement convaincue et emballée.
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En soit c'est une lecture facile, fluide. Je ne sais pas trop comment me positionner, j'ai trouver ce roman froid, austère. Malgré que j'ai dévoré ce livre je reste incapable de dire si j'ai aimé tout ce côté gendarmerie, cette sensation d'autorité, de froideur et de distance.
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Pour le côté histoire du roman. J'ai adoré en demi-mesure. L'histoire ce tiens, et est plus que prenante. J'ai adoré suivre cette enquête aux côtés de ce capitaine de gendarmerie, de cette équipe de profiler. J'ai juste été déçue de ci vote arriver à comprendre qui était le coupable. Trop facile j'ai trouver. Trop évident.
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📌 Mon avis : des meurtres horribles, des victimes atrocement mutilées, des assassins sans pitié difficiles à cerner, un mobile quasi impossible à déterminer, il y avait tous les ingrédients pour me captiver. Et pourtant, je n'ai pas réussi à apprécier ce roman. En fait je crois que j'ai rejeté d'entrée le Capitaine Brémont, pourtant un as du profilage. Il m'a plutôt agacée, j'avais envie de le secouer ou de le sortir de l'enquête. Son attitude a gâché une partie de ma lecture. Pourtant il s'agit d'une histoire tordue, du genre qu'on aime trouver quand on commence ce genre de bouquin. Et la suite du bouquin le confirme.
Bref, si j'ai adoré le prieuré de Crest et Les jumeaux de Piolenc, je n'ai pas réussi à me laisser entraîner dans celui la, même si je ne me suis pas ennuyée pour autant. Je crois que j'ai focalisé sur Brémont et que ça m'a gâché la suite. Quand on vous le présente comme l'as du profilage et que vous constatez qu'il n'en est rien....
Dommage, l'auteure m'avait habituée à mieux