Un homme capable d'exiler sa femme et sa fille ne plierait devant rien.
Vous viviez retirée dans votre jolie maison sans imaginer même que des gens pareils existent. Ils ramassent le houblon qui vous fait vivre. C'est la sueur de ces gens qui vous permet de porter de la soie et des diamants.
C'est comme un enfant qui mange une glace pour la première fois. On devrait le laisser en manger jusqu'à se rendre malade. La fois suivante, il manifesterait davantage de jugeote et ne se gaverait plus.
Ce n'est pas la beauté qui est importante, mais l'esprit...
Ce sont les personnes comme vous qui rendent les syndicats nécessaires. Les ouvriers sont de gens simples. Ils n'ont pas assez d'éducation ni de ressources pour pouvoir changer de travail sur un caprice. Ils ont des enfants à nourrir et à vêtir et ne peuvent pas se permettre de quitter leur emploi Aussi travaillent-ils sous la chaleur sans boire pour économiser quelques sous et ils tombent comme des mouches.
Sa vanité n’avait pas de limites. Il savait mieux que tout le monde ce qui était bien.
Pour votre gouverne, il se trouve que j'aime ma vie, j'aime la discipline, j'aime le sentiment d'accomplir des choses et, plus que tout, j'aime mon père et mon fiancé. Et quant à la liberté assurée par la Constitution, j'imagine qu'elle donne à tous les citoyens le droit de choisir. Et j'ai choisi, moi, d'avoir une vie réglée.
Il ne se rappelait pas avoir jamais été aussi furieux. C'était l'injustice qui le mettait en colère, pas les jolies filles. Il détestait voir les gens maltraités, exploités ou privés de leur liberté.
Elle était si jolie, nimbée par le clair de lune comme une créature féerique, avec sa robe blanche et l'ovale parfait de son visage.
Ma vie est très heureuse... J'ai ma famille, mon fiancé, mes livres. Que pourrais-je désirer de plus ? Cela lui suffisait sans doute, mais la plupart des femmes ne s'en seraient pas contentées!