L'
Arène, c'est
Paris, quartiers EST, les cités.
Benjamin
Grossman croit avoir réussi, il travaille pour un concurrent de Netflix mais …
Son portable disparaît, panique à bord, son job c'est TOUT ! Persuadé de se l'être faire dérober il course un jeune de la cité. La machine dérape.
Roman chorale, on passe d'un personnage à l'autre à un rythme effréné, à force de yo-yo entre les multiples personnages l'auteure m'a perdue, je ne me suis attachée à aucun protagoniste. Et pourtant la figure de @corky une lycéenne filmant le quotidien et balançant une vidéo virale sur les réseaux sociaux m'intéressait. Réussite sociale, politique, drogue, violences policières, médias, réseaux sociaux, migrants, sdf, cités, relation familiale, le roman est ambitieux, trop peut-être ça part dans tous les sens et du coup ça ne creuse pas assez profond. Tout est très visuel, découpé peut-être comme une série télé. La romancière est scénariste, c'est peut-être ça. Mais un roman n'est pas un scénario et celui-ci ne sonnait pas juste à mes oreilles. Rendez-vous manqué pour moi, une autre fois peut-être.