Dobbs offre une synthèse fidèle là où
Mathieu Moreau apporte une illustration des plus réussies. On peut se demander comment ils peuvent réussir en 56 pages à traduire Wells en BD alors que le cinéma multiplie les trahisons et les échecs.
Revenir à l'oeuvre originelle de
H. G. Wells ne m'a jamais emballé au point que je me sois contenté de "
La machine à explorer le temps" et de "
L'homme invisible". Au vu du travail de Dobbs et Moreau, je me laisserai bien tenter par leur adaptation de "
La guerre des mondes" et de "L'île du Docteur Moreau".
Un petit regret en refermant cette BD : qu'il n'y ait pas de suite aux aventures de cet explorateur du temps...
44ème Festival de la BD d'Angoulême (2017)
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